Amour Folie Phèdre

reste.) -> "emportée, jalouse, furieuse" -> apposition d'adjectif qualificatif. jalousie et fureur, moteurs récurrents de la tragédie, impliquant une démesure de l'âme et des actes. (exemple, Phèdre). -> la soif de meurtre qui anime Henriette est aussi un élément tragique fort, poussant au goût du sang, à la vengeance. il s'agit d'un plaisir goûteux, d'un lien très sensitif entre la mort d' autrui et l'exaltation des sens. C'est aussi du même

Conclusion = Si Zola a mis en scène ici les spéculations de Saccard, c'est parce qu'il exprime avec lucidité bouleversement de vie économique sous Napoléon III et qu'il cherche à ouvrir les yeux de son lecteur sur les dangers de cette spéculation. La folie qui gagne Saccard peut être comparée à celle de Gobseck mais chez Zola, l'attention est tout autre car son personnage renvoie à une image plus complète des pratiques spéculatives à cette époque alors que Gobseck reste un individu isolé. Séquence

discours rapportés : le rôle du monologue rapporté dans la mimèsis psychologique de l'héroïne. Le vocabulaire des passions Syntaxe : types et formes de phrases. Phrases simples et complexes. La période classique. Prolongement possible théâtre : Phèdre, Racine Texte 2 : L'illusion épistolaire du roman au XVIIIème siècle : Masques et transparences narratives du personnage féminin : l'héroïsme libertin Les Liaisons dangereuses, Choderlos de Laclos, page 177, Hatier Prolongement possible : Manon

cette imitation n’est pas un plagiat : il s’agit de s’inspirer d’un auteur antique connu pour rivaliser avec lui. Quantité de fables de La Fontaine sont ainsi empruntées aux fabulistes grec Ésope (Ve  siècle av. J.-C.) et latin Phèdre (Ier  siècle après J.-C.). Phèdre, tragédie de Racine, est la troisième version d’un mythe déjà mis en scène par Euripide (dramaturge grec du Ve siècle av. J.-C.) puis Sénèque (auteur latin du Ier siècle ap. J.-C.). Racine s’inspire aussi d’Euripide pour sa tragédie

que cette imitation n’est pas un plagiat : il s’agit de s’inspirer d’un auteur antique connu pour rivaliser avec lui. Quantité de fables de La Fontaine sont ainsi empruntées aux fabulistes grec Ésope (Ve siècle av. J.-C.) et latin Phèdre (Ier siècle après J.-C.). Phèdre, tragédie de Racine, est la troisième version d’un mythe déjà mis en scène par Euripide (dramaturge grec du Ve siècle av. J.-C.) puis Sénèque (auteur latin du Ier siècle ap. J.-C.). Racine s’inspire aussi d’Euripide pour sa tragédie

Ton de la pièce | Dénouement | Réactions des spectateurs | Exemple | Tragédie | Haute noblesse | Historique, antique ou biblique | Fatalité | Tendu | Triste | Pitié mais admiration | Roméo et Juliette,Phèdre de Racine | Tragi-comédie | Noblesse ou haute bourgeoisie | (seconde moitié xvie ‑ xviie siècle) | Hasard, liberté | Tendu | Heureux | Sympathie | Le Cid de Corneille | Comédie d'intrigue | Noblesse, bourgeoisie

cette imitation n’est pas un plagiat : il s’agit de s’inspirer d’un auteur antique connu pour rivaliser avec lui. Quantité de fables de La Fontaine sont ainsi empruntées aux fabulistes grec Ésope (Ve  siècle av. J.-C.) et latin Phèdre (Ier  siècle après J.-C.). Phèdre, tragédie de Racine, est la troisième version d’un mythe déjà mis en scène par Euripide (dramaturge grec du Ve siècle av. J.-C.) puis Sénèque (auteur latin du Ier siècle ap. J.-C.). Racine s’inspire aussi d’Euripide pour sa tragédie

cette imitation n’est pas un plagiat : il s’agit de s’inspirer d’un auteur antique connu pour rivaliser avec lui. Quantité de fables de La Fontaine sont ainsi empruntées aux fabulistes grec Ésope (Ve siècle av. J.-C.) et latin Phèdre (Ier siècle après J.-C.). Phèdre, tragédie de Racine, est la troisième version d’un mythe déjà mis en scène par Euripide (dramaturge grec du Ve siècle av. J.-C.) puis Sénèque (auteur latin du Ier siècle ap. J.-C.). Racine s’inspire aussi d’Euripide pour sa tragédie

personnages qui provoquent en nous différentes émotions. La pitié dans un premier temps, à travers le personnage d’Oreste : ambassadeur des Grecs, celui-ci est dévoué cœur et âme à son amour pour Hermione, victime d’un amour tragique qui le consume, prêt à tout pour se faire aimer en retour, et sombre dans la folie en se rendant compte que ce ne serait jamais le cas. La terreur, à travers Hermione, personnage fatal, manipulateur, violent et orgueilleux qui sème la mort autour d’elle et finit par se

faisait souffrir », « je cherchais cette souffrance », « je respirais ton air avec des délices cruelles », p. 60) permet également de définir la relation de Thérèse et Laurent comme une passion. Enfin, on peut voir également un lien entre passion et folie (« rires sauvages », « passion folle », p. 68) qui laisse présager le caractère tragique de cette liaison. ❾ Le portrait de Camille que peint Laurent au chapitre 6 a une valeur prémonitoire. Analysez les images et les adjectifs employés qui annoncent