Amure

pour se défendre (épée, bouclier…).  Dieu connaît bien les ruses de cet ennemi, alors il te propose une armure pour pouvoir résister au mal, avoir la victoire sur le péché.  Cette armure ne se voit pas, elle est une image, une comparaison avec l‟amure d'un vrai soldat.  Justin a 12 ans, il a vu sur le marché un homme qui vend des canifs. Il passe chaque semaine au marché pour regarder celui qui lui plaît et un jour… il vole ce canif tant désiré et il ment à ses parents prétextant que c‟est un copain

pour se défendre (épée, bouclier…).  Dieu connaît bien les ruses de cet ennemi, alors il te propose une armure pour pouvoir résister au mal, avoir la victoire sur le péché.  Cette armure ne se voit pas, elle est une image, une comparaison avec l‟amure d'un vrai soldat.  Justin a 12 ans, il a vu sur le marché un homme qui vend des canifs. Il passe chaque semaine au marché pour regarder celui qui lui plaît et un jour… il vole ce canif tant désiré et il ment à ses parents prétextant que c‟est un copain

léger et sûr tu vois fendre les ondes, Est le seul que jamais Amphitrite ait porté, A. CHÉNIER. Amphitryon : (an-fi-tri-on), n. m. Celui chez lequel, ou aux frais duquel on dîne. Le véritable amphitryon Est l'amphitryon où l'on dîne, MOLIÈRE. Amure : (a-mu-r'), n. f. Terme de marine. Cordage fixant le point d'en bas, nommé point d'amure, d'une basse voile qui se trouve au vent. Anacamptique : (a-na - kan - pti-k'), adj. 1° Terme de physique. Qui réfléchit, en parlant du son ou de la lumière

great political insight, in Le Rhin: Conclusion (published in 1842). portemanteaux, davits, on which the boats are slung. grelin, a hawser or warp. palans, tackle for raising heavy weights; block and pulley. NOTES 148 La Legende des Siecles amure, rope by means of which the lower corners of a sail are held, 'tack.' se le passaient, passed it along, i.e. the ship. Nemrod. Nimrod is in Hugo the incarnation of the spirit of war. Cf. especially La Fin de Satan: Le Glaive. pavois, as a naval term

un moment, j’avais perdu du terrain ; mais maintenant, redoublant mes efforts, je commençais de nouveau à la rattraper. Je n’étais pas à cent yards d’elle quand le vent est revenu brusquement, comme une gifle. Les voiles se sont gonflées à babord amure et elle est repartie, prenant du gîte et rasant les flots comme une hirondelle. Mon premier sentiment a été de désespoir, mais mon second d’allégresse. La goélette virait jusqu’à se présenter de travers – virait encore jusqu’à couvrir la moitié, puis

de descendre et la ligne cassera. Ah! tu viens dans ces parages pour la première fois! Pour la première fois. Eh bien, en ce cas, écoute, patron. L'accent de ce mot, écoute, était si impératif que le patron salua. Seigneur docteur, j'écoute. Amure à bâbord et borde à tribord. Que voulez−vous dire? Mets le cap à l'ouest. Caramba! Mets le cap à l'ouest. Pas possible, Comme tu voudras. Ce que je t'en dis, c'est pour les autres. Moi, j'accepte. IV. ENTRÉE EN SCÈNE D'UN NUAGE DIFFÉRENT DES

de descendre et la ligne cassera. Ah! tu viens dans ces parages pour la première fois! Pour la première fois. Eh bien, en ce cas, écoute, patron. L'accent de ce mot, écoute, était si impératif que le patron salua. Seigneur docteur, j'écoute. Amure à bâbord et borde à tribord. Que voulez−vous dire? Mets le cap à l'ouest. Caramba! Mets le cap à l'ouest. Pas possible, Comme tu voudras. Ce que je t'en dis, c'est pour les autres. Moi, j'accepte. IV. ENTRÉE EN SCÈNE D'UN NUAGE DIFFÉRENT DES

descendre et la ligne cassera. Ah ! tu viens dans ces parages pour la première fois ! – Pour la première fois. – Eh bien, en ce cas, écoute, patron. L’accent de ce mot, écoute, était si impératif que le patron salua. – Seigneur docteur, j’écoute. – Amure à bâbord et borde à tribord. – Que voulez-vous dire ? 70 – Mets le cap à l’ouest. – Caramba ! – Mets le cap à l’ouest. – Pas possible. – Comme tu voudras. Ce que je t’en dis, c’est pour les autres. Moi, j’accepte. – Mais, seigneur docteur