Analogie

L’analogie a souvent pour effet de valoriser ou de dévaloriser : une situation, par exemple, est jugée sérieuse ou dérisoire parce qu’elle est rapprochée d’une situation antérieure. 2) le précédent : on évoque un exemple passé dont on se sert par analogie à propos d'une situation postérieure. 3) la règle de justice : elle consiste à demander qu'on traite de la même façon des cas semblables, qu'on ne fasse pas deux poids deux mesures. 4) l'argument "a fortiori" : renforcement de la règle de justice

fait de l’Homme vrai. → Je ne fais jamais l’expérience d’autrui immédiatement : il faut un échange de paroles ou d’actions pour être sur de communiquer librement avec un autre esprit, une autre raison et donc une autre conscience. Raisonnement par analogie : comparaison avec soi. MAIS, la vérité indubitable du cogito ne permet pas à Descartes de comprendre qu’il ne s’agit jamais de prouver l’existence d’autrui à partir de manifestation objective car je perçois immédiatement autrui hors de moi comme

conséquence(s) s’applique(nt) ou non Donc Souvent, un seul syllogisme ne suffit pas, il faut décomposer la question en sous-questions, qui nécessiteront chacune un syllogisme. Le raisonnement juridique, la pesée des intérêts et le raisonnement par analogie 1. Quand faut-il recourir à une pesée des intérêts ? Ex. pp 127-128, 137-138 Dans le 1e exemple, une dispense de piscine pour des filles musulmanes, plusieurs droits fondamentaux sont en cause, et la même majeure peut donner lieu à plusieurs conclusions

combien il en coûte à un mari’’ l 3 - de plus, la mode perturbe les familles, les enfants ne reconnaissent plus leurs parents : paragraphe 3 - champ lexical de la contrainte : ‘’ obligés’’, ‘’exigeait’’, ‘’asservis’’ - raisonnement par analogie : d’abord, cette satire touche toute la société : les français sont dépensiers et influençables - puis, aggravation de la critique, qui passe du social au politique 2 – Soumission du peuple - idée donnée dès la phrase un : le peuple

contrée » l.15 /16 gradation le sauvage rappelle à l’homme civilisé le rôle qu’il doit tenir, dénonce la démesure de sa violence • « Chef des brigands qui t’obéissent » l.1 périphrase, dénonce les intentions de Bougainville • Raisonnement par analogie « qu’en penserait tu ? »l.14, et l.15/16/17/ le tahitien dénonce l’absence de logique de Bougainville incapable de comprendre qu‘un “sauvage“ puisse raisonner et réagir comme lui. •b) Une dénonciation de la société européenne pour faire réfléchir

explicitement un concept donc l'auteur utilise la définition sans le nommer expliquer une connotation Faire une analyse des arguments : dégager la progression logique de l'argumentation dégager les procédés rhétoriques utilisés (raisonnement par analogie, emploi d'un registre ironique ou indigné, utilisation de figure de styles...) illustrer d'un exemple concret une thèse générale réciproquement, déduire la thèse visée par l'auteur à partir de la situation concrète qu'il décrit expliciter un sous-entendu

figure de style, c'est une façon pour l'auteur d'exprimer une idée ou un sentiment grâce à l'utilisation particulière des mots. Il peut ainsi jouer sur le _____ lexique, la syntaxe , le rythme, les sons...________________________ Les figures par analogie (ou les figures d'images) : La comparaison : deux éléments sont rapprochés à cause d'un point commun. Le rapprochement s'effectue grâce à un mot-outil de comparaison: comme, tel, sembler, pareil à... Ex : II est beau comme un dieu. Elle avait des

Mais un au- ou plusieurs idées générales, pour dégager une proposition particulière. n Le raisonnement par induction ou inductif part d’une ou plusieurs observations particulières pour aboutir à une conclusion générale. n Le raisonnement par analogie opère par rapprochement et par contagion. On glisse d’un domaine à un autre. n Le syllogisme est une forme particulière de raisonnement déductif. Il consiste à énoncer deux propositions (les prémisses) et à en tirer une conclusion (possible parce

sens qu'il dénonce le fait de "prendre la partie pour le tout, à conclure, du fait que certains aspects de deux civilisations offrent des ressemblances, à l'analogie de tous les aspects". En d'autres termes, l'auteur condamne le raisonnement par analogie, qui conclue d'une ressemblance connue entre deux choses à une ressemblance encore inconnue. Ainsi, il nous avertit sur le risque constant de voir un rapprochement entre deux coutumes, deux techniques primitives, et de voir donc une généralisation

« villageois... » (rythme ternaire) caractère universaliste de la réflexion moraliste (« tous », « partout ») -M est un humaniste et argumente de manière + implicite=>utilisation d'adj mélioratifs et hyperboliques -les 2 ont un raisonnement par analogie (par association d'idées, combinaison et synthèse) même si M utilise une métaphore CONCLUSION : Dans les 2 textes, M et LB défendent une idée similaire. Ils considèrent tous deux que l'Occidental voit l'étranger immigré comme un barbare. Pour