Analogie

dans l’esprit que l’idée abstraite qu’elle symbolise). (deuxième paragraphe : Les connaissances humaines) D’après La Fontaine les fables sont un vecteur de connaissances morales. La comparaison avec la géométrie constitue un raisonnement par analogie « point.. ligne… surface ». Avec l’image du ciel et de la terre, il souligne combien les petites connaissances permettent l’accès à une pleine mesure du monde. Il compare le ciel et la terre avec le jugement et les mœurs et la fable à la définition

comparées implicitement à des flocons. Il y a aussi une substitution de la neige par l’«argent» car quand la neige tombe elle brille (on retrouve une substitution semblable dans «La Chanson du Mal-aimé»). V.16-17 on remarque une comparaison par analogie (rapport de ressemblance) : les petites ondulations des cheveux crépus dont penser aux ondulations de la mer (vagues) et aussi à la laine des moutons (verbe moutonner). On pense alors aux brebis et cela créé un jeu d’écho. Tout ces éléments sont

réalité la sagesse divine véritable est que tout les hommes naissent égaux. M ; dénonce le fait que les esclavagistes se déchargent de leur responsabilité sur Dieu. Ce sont des manipulateurs. Puis il en fond deux autres sur un raisonnement par analogie liés à la sagesse des nations de la ligne 11 à la ligne 17: Pour les arguments 5 et 6 ils utilisent des comparaisons avec d’autres peuples : La couleur de la peau est bien quelque chose d’important puisqu’il y a d’autres peuples que les occidentaux

jusqu’au boutiste ; Ch recherche « sécurité » p 108 et normalité (métaphore du « couteau dans le cœur »= « pensée la plus bizarre ») c) Credos différents : hiérarchie de valeurs opposée : Ch s’appuie sur une éthique : pour lui (raisonnement par analogie) : « il y a des actions plus belles que d’autres », alors que pour C « elles sont toutes équivalentes » p109. Ch a « une autre idée de ses devoirs » p 109 qu’il rapporte aux lois de la famille et de l’amitié -> Ch juge C en 4 qualificatifs dépréciatifs

une répression de la tentative. B. La répression de la tentative: un domaine et un régime spécifique Tout d'abord, il faut noter qu'en l'absence de texte, le juge ne peut assimiler l'infraction tentée à l'infraction consommée. Ce raisonnement par analogie est contraire au principe de légalité qui prévoit qu'en l'absence de textes législatifs sanctionnant les faits, ceux-ci ne constituent pas une infraction. Il en va de même pour la tentative d'infraction. Ainsi, seul un texte de loi peut incriminer

d’abord que l’inégalité entre les hommes et les femmes est une Une inégalité contre nature : il s’agit en effet de montrer qu’il ne s’agit pas d’un fait naturel mais bien d’un usage imposé par la société . l’argument procède d’un raisonnement par analogie établi entre les rapports entre les hommes et les femmes et les rapports tels qu’ils existent dans la Nature. Les verbes fouiller, distinguer etc renvoient à une démarche expérimentale telle qu’on la voit à l’œuvre dans les scinces naturelles naissantes

devient le sujet du verbe « mirait » au troisième vers(quand le sujet de ce verbe était « mon beau soleil » au premier) et « mon soleil » devient au quatrième vers le complément du nom « Rai » comme « grand soleil » l'était au deuxième vers. Cette analogie est d'ailleurs clairement établit par une comparaison de l'action des deux Soleil ; ainsi l'adverbe « aussi », placé à la césure pour montrer l'importance de l'analogie, est ici l'outil de comparaison permettant de rapproché l'action du « grand soleil »

abstraite par une image concrète. Cette idée doit être largement reconnue. Ex. : Je vis cette faucheuse [la mort]. Elle était dans son champ. Elle allait à grands pas, moissonnant et fauchant Noir squelette laissant passer le crépuscule. (Hugo) ANALOGIE (une): Mise en lien de l’identité de rapport unissant deux à deux les termes de deux couples de mots. A est à B ce que C est à D. Ex.: Un repas sans vin est comme une journée sans soleil. COMPARAISON (une): Rapport de ressemblance entre deux

montre un effort de généralisation ; Sépulvéda s’inscrit dans une vieille lignée connue pour sa malhonnêteté). Noter aussi, à cette ligne 11, l’utilisation méprisante du pronom indéfini « on » pour désigner Sépulvéda. Va suivre un raisonnement par analogie : la situation des Indiens face aux Européens est comparable à celle des Gaulois face à César qui « s’aveuglait » (l.15), et donc mentait ou au moins se trompait. b. Par la suite, Sépulvéda procédant surtout par exemples, Las Casas lui oppose des

s’opère dans la solitude. Une psychologie basée sur l’introspection ne peut pas bien saisir cette séparation entre le moi et l’autre. Mais l’Autre n’est pas absent chez Descartes, puisqu’il en traite dès sa 3ème Méditation. c- Le raisonnement par analogie C’est surtout Malebranche, disciple de Descartes, qui va travailler la connaissance d’Autrui par l’analogie. Ainsi, c’est par l’exercice de l’intelligence, par un raisonnement que j’arrive à démontrer l’existence d’Autrui, à savoir qui il est