Analyse Contes De Fées

PSYCHANALYSE DE CONTES DE FEES I/ Généralités a) Définition Récit commençant par « Il était une fois », c’est une histoire teintée de merveilleux, magie où interviennent des fées, rois, princesses, sorcières, dragons et qui enchante l’enfant. La fin est généralement heureuse. b) Origines La littérature ne sait pas qui a inventé le premier conte de fée mais on sait en revanche que Charles PERRAULT a été le premier à les transcrire. Il le faisait dans le but d’amuser la cour du Roi au XVIIème

Anouilh "Le chêne et le roseau", Fables 1973 •B_Michel Tournier "Taor, Prince de Mangalore" dans Gaspard,Melchior et Baltazar, 1979 •C_Bernard-Marie Koltès, Combat de nègre et de chiens, scène 4, 1979 •Anexe_Bruno Bettelheim, Psychanalyse des cones de fées, 1976 sujet : Dans "Taor, Prince de Mangalore", de Tournier, Rizza dit : "La bouche servait de temple vivant [...] à la parolequi se nourrit et à la nourriture qui enseigne, à la vérité qui se mange et se boit, et aux fruits qui fondent en idées,

la légende de « Rhodope », Cendrillon grecque du III ème siècle jusqu’à nos adaptations artistiques contemporaines (opéras, ballets, films, dessins animés et comédies musicales) mais également les kilomètres, en s’adaptant aux traditions locales (contes chinois, vietnamiens, américains…). Malgré leurs points d’écarts, ces différentes versions gardent les composantes importantes du conte en question, telles que l’avilissement du héros (on recense quelques versions de Cendrillon au masculin !), la

Les origines du conte. L’oralité: Les contes transmettent une figure emblématique de rêve par la parole et le bouche à oreille. L’écrit: Propp définit le conte par un héros ou une héroïne, malheureuse qui va être entrainé dans des péripéties multiples et à la fin il y a ce personnage récompensé par un mariage ou une nouvelle vie meilleure. Les contes passent de l’orale à l’écrit à partir de la renaissance, grâce à Charles Perrault qui instaure ce genre littéraire à cette époque. Propp et

caractéristiques essentielles du conte : 8 12) Différences avec d’autres types de récits proches : 121) Le mythe : 122) La légende : 10 123) L’épopée 124) La fable 11 125) Les autres types de contes 13) Le conte, issu de la tradition orale : 131 Les sources populaires orales dans les contes de Perrault 132) Les sources du recueil des frères Grimm 14) Le conte inventé 141) Andersen 142) Les écrivains conteurs contemporains 2) le conte merveilleux à l’école ? : 21) Le conte merveilleux

Goldstein : Elle est née en 1969 à Tel Aviv en Israël, en 1976, elle a émigré au Canada, elle a donc la nationalité canadienne. C’est une photographe. Elle est très connue notamment grâce à sa série Fallen Princesses, crée en 2007, pour placer les contes de fée aux jours modernes. Sa carrière en photographie débute en 1993 avec le photojournalisme et des travaux documentaires. A partir de 2000, elle travaille pour des magazines et des publicités. En 2001, elle expose publiquement pour la première

1. IntroductionL'abbé de Choisy : plus connu pour ses travestissements que pour ses écrits, et plus connu pour ses mémoires que pour ses contes. Mais le sujet de ce travail sera tout de même consacré à Histoire turque[1], un des contes rédigés par cet homme d'esprit et de talent, écrivain du XVIIème siècle, François-Timoléon de Choisy. Il s'agira, dans ce travail, d'analyser ce conte, dans son fond et dans sa forme, en s'aidant de divers travaux et recherches élaborés par des spécialistes de la

PERRAULT : CONTES : LE PETIT CHAPERON ROUGE Introduction : Charles Perrault publie ses "contes" pendant la période classique où les contes de fées sont particulièrement appréciés car ils permettent une double lecture, une destinée aux enfants pour leur apprendre une morale et une autre pour les adultes car l'on trouve beaucoup de passages ironiques et de sous-entendus. Cette oeuvre s'inscrit dans l'objet d'étude sur l'argumentation et plus précisément sur l'apologue. Les "contes" de Charles

. . . . . . . . . . . . . . . . . 12 3 Trois exemples de démarche commentée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19 – Analyse d’un seul texte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19 – Analyse de plusieurs textes documentaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 – Analyse de plusieurs textes littéraires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34 3 Méhodologie de la partie

science fiction a pu prendre l’allure d’une littérature dont les héros sont des idées, les inventions et les autres mondes »2. De ce point de vue, la présentation du cadre théorique de ce genre, qui fait l’objet de cette première partie de notre analyse, s’appesantira, sur une délimitation de la science-fiction dans ses rapports avec certains genres et concepts qui lui semblent proches ; une historique qui cristallise les différentes étapes de l’évolution du genre, une topographie du texte science