Analyse De Campagne Pub

communication SOMMAIRE RANDRIANAINA Cassandre BLANQUEFORT Julie L2 Communication Interculturelle INALCO Identité de l’annonceur Etude de marché Problématique Positionnement Objectifs Cibles Message Moyens de communication Campagne Budget Conclusion Sources Maisons du monde : spécialiste de la décoration et de l'équipement

politiques économiques, le rôle de l'Etat intervient de plus en plus. A.Laffer dit que " trop d'impôts tue l'impôt " car plus les gens travaillent plus il paye d'impôt, donc c'est normal qu’ils ne veuillent pas travailler beaucoup. C. Analyse de la micro et macro-économie Document 3 : Distinction entre micro et macro-économie. - La micro-économie prend pour point de départ l'analyse économique à l'échelle d'un agent (consommateur et producteur). Elle choisit un agent puis pour passer

facteurs capables de le séduire : sexe, standing, exotisme… Elles sont souvent mises en évidence pour vendre un produit, plus que les qualités du produit lui-même. Exemple : LAVAZZA, campagne 2002 : mise sur l’originalité, l’expression de soi (« Express yourself ») plutôt que sur le goût du café. Exemple : CORAYA, campagne 2001 : mise sur le côté « nature », l’envie de bien-être du consommateur qui est sensé se retrouver en bord de mer en consommant ces produits. Ainsi, le consommateur ne va pas vraiment

communication. 1. 1) Quelques définitions 2. 2) Comment la publicité agit sur le consommateur 2. B - Le budget de communication 3. C - Stratégie de communication 4. D - Analyse du processus 5. E - L'axe marketing 3. 1) Objectifs et stratégies de campagne 4. 2) Eléments de marketing 5. 3) Les objectifs de marketing 6. 4) Infos sur le marché en général 6. F - L'axe de communication 7. 1) Définir les objectifs

consommateur n le comprend encore très mal, s'appuyant en grande partie sur les théories du comportement du consommateur. La publicité est ainsi considérée comme un stimulus parmi ceux auxquels il se trouve confronté. Les modèles qui ont spécifiquement analysés les effets de la publicité supposent l'existence d'une hiérarchie des effets de la communication publicitaire. Le plus connu est le modèle AIDA. Ils proposent tous une hiérarchie allant des effets cognitifs (la connaissance du produit) aux effets

déclarent avoir une activité principale lié à la publicité. Annonceurs, agences et médias forment la trilogie de base qui structure l'univers de la publicité : * Les annonceurs commandent, orientent et paient les campagnes produites pour leurs comptes *Les agences conçoivent les campagnes *Les médias vendent leurs emplacements disponibles pour la publicité. Ces définitions sont, en réalité, trop simplistes pour décrire l'ensemble des acteurs qui opèrent sur le marché de la publicité et l'évolution

Nutella > 2 500 000 contacts (pas de possibilité de le mesurer) > d’où l’utilisation des GRP (je touche 10% de la cible) Le GRP varie selon la cible Une campagne moyenne : on peut calculer des GRP sur tous les médias Presse – GRP 200 Affichage 1500 Ciné 40 Radio 700 > il faut que les personnes écoutent au moins 7 fois une pub pour la mémoriser Tv 350 Net 200 >Chiffres qui représentent la qualité de MEMORISATION du média (mémo différente selon le M) Couverture = individus

1-1-1-Origine de la crise. 1-1-2-Échec du système. 1-1-3-Amplification de la crise. 1-1-4-La crise actuelle. 1-2-(...)dans la sphère de la communication. 1-2-1-Bilan d'investissements publicitaires en France. 1-2-2-Analyse pluri médias. 1-2-3-Analyse de la baisse des investissements publicitaires 2- "La pub est morte, vive les RP!" 2-1-Les modes de communication. 2-1-1-Chez les annonceurs 2-1-2-dans les PME/PMI 2-2-Apparition des Relations Publiques. 2-2-1-Des précurseurs: les Etats- Unis jusqu'en France. 2-2-2-L'évolution

capables de le séduire : sexe, standing, exotisme… Elles sont souvent mises en évidence pour vendre un produit, plus que les qualités du produit lui-même. ❖ Exemple : LAVAZZA, campagne 2002 : mise sur l’originalité, l’expression de soi (« Express yourself ») plutôt que sur le goût du café. ❖ Exemple : CORAYA, campagne 2001 : mise sur le côté « nature », l’envie de bien-être du consommateur qui est sensé se retrouver en bord de mer en consommant ces produits. Ainsi, le consommateur ne va pas

invoque les normes, les principes incontournables, mais aussi qui juge, accuse et ordonne : - le parent critique positif prescrit (ordonne) ce qui va dans le sens de la vie sociale, du respect d’autrui et de soi. Exemple : Campagnes anti-tabac (se référer alors à toutes les campagnes de prévention). Pour une entente fumeurs/non fumeurs, l’argumentaire repose sur le concept de liberté individuelle inscrit dans la loi collective. Le ton, souvent d’apparence diplomate et adouci par le visuel, n’en reste