Analyse De Diérèse

texte : v.1-4 : se décrit en situation (vautré dans son lit) v.5-9 : exprime ses pensées (ou plutôt son absence de pensées) v.9-14 : ce qu’il aime (dormir et manger) + ce qu’il n’aime pas (le travail) Ton : registres mélangés + autodérision IV- Analyse linéaire v.1 : « accablé » = il subit la paresse, or elle se décide (vécue comme un tourment) sens caché de la paresse : c’est le symptôme de la mélancolie mélancolie = « bile noire » -> abattement extrême, état suicidaire, spleen (auj.dépression)

Bien cerner l'enjeu de la question, ce qu'il est attendu de vous * Les questions peuvent porter sur : - la compréhension du sens des textes, - les enjeux des textes (apologie, dénonciation...), - le thème des textes, - la forme des textes (analyse du style...), - etc. * Repérez les points communs entre les textes, les liens qui en font un corpus cohérent (mouvement littéraire ou culturel, thème, situation, place dans une œuvre, personnages, visée argumentative...) * Notez toutes vos

Il analyse la tirade de Tartuffe qui apparaît comme un séducteur flatteur et hypocrite, démasqué par son argumentation. Texte analysé: Ah ! pour être dévot, je n'en suis pas moins homme ; Et lorsqu'on vient à voir vos célestes appas, Un coeur se laisse prendre, et ne raisonne pas. Je sais qu'un tel discours de moi paraît étrange ; Mais, Madame, après tout, je ne suis pas un ange ; Et si vous condamnez l'aveu que je vous fais, Vous devez vous en prendre à vos charmants attraits. Dès que

Dans ce livre on trouve les Sonnets pour Hélène, écrit à l’an 15781 pour une femme fictive, mais inspirée par une femme fatale réelle nommée Hélène de Sugère. D’abord on va expliquer aussi la Pléiade et son importance. Après on va principalement analyser le IX Sonnet du premier livre de Sonnets pour Hélène. Ci-après on va parler de l’amour pour Hélène, qui se reflète dans tous les sonnets de ce livre, du langage non-verbal entre les deux partenaires et des allusions mythologiques. Pour finaliser

de syncope lorsque l’e à l’intérieur d’un mot n’est pas compté. Ex :[samdi] pour samedi. 3. Diérèse et synérèse La diérèse relève du problème posé par la rencontre à l’intérieur du mot de deux voyelles phoniques dont la première est i, u ou ou. Ainsi, le mot quatrième se prononce en diérèse dans le langage courant. Par contre, troisième est prononcé en synérèse dans le langage courant. Alors que la diérèse fait entendre deux phonèmes vocaliques, la synérèse fait d’abord entendre une demi-consonne

rêve et ce qui relève de la réalité Quel rôle le poète attribue à la femme ? Qu’est-ce qui fait le charme un peu triste et l’harmonie de ce sonnet ? (sonorités, rythmes, phénomènes de reprise, ruptures, suggestions,…) Analyse du poème « Mon rêve familier » de Paul Verlaine I. Situation Poèmes Saturniens: Saturne symbole de la mélancholie Section Melancholia Inspirations romantiques: femme idéalisée II. Plan Contraste rêve/réalité Problème

hommes d'équipage Prennent des albatros, vastEs oiseaux des mers, (Baudelaire)  la diérèse : il y a diérèse quand on prononce en 2 syllabes séparées un groupe de voyelles qui se suivent et qui sont prononcées habituellement en 1 seule émission de voix. SYNÉRÈSE ≠ DI-ÉRÈSE ex : lion (1 syllabe) ≠ li-on (2 syllabes) vio-lon (2 syllabes) ≠ vi–o–lon (3 syllabes) in-quiet ( 2 syllabes) ≠ in-qui-et (3 syllabes) La diérèse attire l'attention sur le mot, mis en valeur par sa prononciation inhabituelle, par

lignes) : -Bilan + Réponse [+] - Connecteurs logiques : ainsi, donc,c'est ainsi que, par ailleurs, par conséquent alors que dans ce txt. - Vers : .Strophes : distique/tercet/quatrain/quintil .Vers : octosyllabe/décasyllabe/alexandrin .Diérèse : 2 syllabe au lieu de 1 .Synérèse : 1 syllabe au lieu de 2 .Rimes : Plates(AABB) → Rythme neutre/Croisées(ABAB) → Rythme Pétillant/Embrassées (ABBA) → son du milieu mis en avant. .assonance : répétition d'un même son .allitération : répétition d'une

généralisée. Une analyse phonétique fine des données des enquêtes PFC devrait permettre de documenter cette question. 3) La diérèse Ce phénomène, courant dans les variétés de français de Suisse romande et de Belgique, consiste à prononcer une séquence vocalique en deux syllabes (ex. "mouette" [mu-ɛt] ou "nuage" [ny-aʒ]) plutôt qu'en une syllabe constituée d'une semi-consonne suivie d'une voyelle (ex. "mouette" [mwɛt] ou "nuage" [nɥaʒ]). Quelques exemples: - le mot "lion" prononcé avec diérèse [li-jõ]

comme une maladie. Mais il ajoute par l’adjectif « seuls » et le fait que ces gémissements n’ont une action que pour les bois qu’ils « font retentir », l’idée qu’il est abandonné de tous, personne ne vient le secourir. Il est « oublié » v 552 (diérèse permet l’insistance sur ce verbe). Il fait allusion également à « ces coursiers » qu’il juge oisifs, ils n’agissent pas pour le sauver. Pour figurer la violence de son amour, Hippolyte se construit un récit, une image mentale: Souffrant au fond