Analyse De Diérèse

une imploration, donc encore un espoir. Puis, à la faveur de la comparaison (« Ainsi que des esprits … »), la « furie » se transforme en plainte sourde, à la fois affaiblie (comme l’indique le verbe « geindre ») et continue (« opiniâtrement » avec diérèse). On peut parler d’éclatement de la crise dans la mesure où le phénomène hallucinatoire, jusque-là rampant, surgit dans toute sa force : ces cloches peuvent bien sûr être des cloches réelles (le glas qui annonce l’enterrement de la cinquième strophe

et phrases exclamatives + interjection v.9/11 : anaphore + phrase injonctive + épizeuxes → souligne la passion, l'exaltation de Torquemada. Un discours saccadé. Mesure de vers : hexasyllabes coupé par des didascalies. 2 diérèses : v.21 et 30. Rythme : rejet/contre-rejet. Analyse du rythme des vers 2,5,9. Un discours manichéen. Antithèses : bien//mal, pas de nuances, pas d'intermédiaires, que sous l'angle de la religion. Une démesure du personnage. Il se croit plus qu'un homme. v.14 : il se compare

alexandrin du poème contient une déclaration d'amour dans son premier hémistiche et l'affirmation de sa souffrance à la manière des romantiques. " Et mon mal est délicieux " renvoie à " vous aimer à peine " (cf vix -> à peine / -> avec peine).      Le diérèse dans" délicieux " insiste sur le plaisir trouvé dans la douleur. Apollinaire vit dans l'incertitude donc dans l'inquiétude.       D'ailleurs le quintil suivant justifie cette inquiétude déjà évoquée au début du poème : tout passe, tout change. Dans

la petite bourgeoisie commerçante parisienne, pas « riche » mais avec un peu d’aisance et une mentalité « bien pensante » (que va remettre en question cette « partie de campagne »). © Cned, Français 4e — 3 c c c Séquence 1 B - Analyser la description de la campagne 1- En voyant la campagne, Mme Dufour est émue : elle « s’était attendrie sur la nature » (l. 14). 2- a) Le cinquième paragraphe donne une image méliorative de la nature, qui est décrite comme un lieu magnifique

rayonnant ; – perfection morale et sagesse. Cf. Étude des procédés d’écriture. 3 2210441163_001-035_Ch5_LDP_Fr1.indd 3 11/07/11 14:01 Français 1re – Livre du professeur On retrouve des manifestations de cet Humanisme dans le premier texte : – analyse fine de l’âme humaine ; – leçon de sagesse ; – recours à une écriture qui témoigne d’une culture (allégorie et référence à Platon). La permanence de l’éloge peut s’expliquer de plusieurs façons : – une réputation exceptionnelle non démentie à travers

même visible. Toutes ces parallèles renforcent le sentiment d'une structure parfaite. Seule la dernière, septième colonne, touchant la distribution des rimes finissant par une voyelle (V) ou consonne (C) reste isolée. Strophes Le poème ci-analysé étant en forme du sonnet italien, il est divisé en deux quatrains et deux tercets. Il n'y a pas d'irrégularités, le poète obéit aux règles poétiques de son époque, ce qui contraste expressivement avec le thème du poème, où il accuse ces mêmes vers

de « passion d'une intensité extraordinaire + violente ») > Voir remarques précédentes (II. 1 : les violences de la passion). V. 1, Hippolyte suggère le caractère monstrueux de l'aveu voilé de Phèdre : il parle d'« effet prodigi-eux » avec diérèse sur « prodigi-eux » > mise en valeur du terme à la rime (rappel : « monstre » vient de monstrum en latin qui signifiait « miracle, prodige »). Phèdre se désigne elle-même comme un « monstre » v 71 et 73 avec l'hyperbole « monstre affreux »

 communes. Enterrement dépourvu de pompe. Pas de  pierre tombale. Evocation de nombreux animaux et insectes qui se repaissent sur les cadavres.  ­ Corps abandonné : « v3 "vieux os", v14 "vieux corps" v8 "carcasse immonde" , v12 "ruine" avec une  diérèse pour insister sur le délabrement du corps : alors que le poète est jeune , il se représente comme un  vieil homme.  ­ les terme triviaux abondent , saigner , carcasse , pourriture , pour évoquer un spectacle qui révulse tout un  chacun  ­ La mort 

décasyllabe Ver mêlé, poème hétérométrique, Toujours regardez son travail sur la longueur des vers (effet sur le lecteur) Recueils : 1)1668-1694 livre 1à 6 2)1678-1679 fables plus complexes 3) 1694, livre 12 plus sombre, Analyse du texte : Le rat en a marre de la vie avec son père, La javelle : céréales coupés qu’on laisse dans les champs, Case : pauvre/méchante petite maison. Apennins et Caucase, montagnes Taupinée : mode de terre Canton : endroit reculé

laid ». Le parnassien voue un culte à l’art, et à travers de multiples techniques il tente d’atteindre le beau. Ce mouvement s’accompagne donc avec la théorie de Théophile Gautier : « l’Art pour l’Art ». Portrait de Théophile Gautier 3. Lecture et analyse : La section Spleen et Idéal. Quelles images principales Baudelaire utilise-t-il pour décrire le Spleen ? D’où vient le « spleen » ? En Anglais le « spleen » désigne la rate. A l’époque on croyait, selon la théorie d’Hippocrate, que la mélancolie