Analyse De Lipovetsky

réduisent l'individu au modèle d'un agent économique qui maximise une fonction d'utilité lors des échanges : c'est une forme d'individualisme méthodologique. Elle est différente de l'individualisme méthodologique des sociologues car cette dernière analyse un phénomène social en termes d'ensembles de comportements individuels dictés par des motivations plus complexes qu'une simple maximisation d'un gain financier. Dans les deux cas, les phénomènes sociaux ne résultent pas de déterminismes extérieurs

niveau de gamme. Cela devient totalement confus pour les consommateurs. Les marques ont aussi des stratégies semblables en termes de distribution (présence des flagship stores dans les mêmes avenues), recours aux œuvres de charité… Marie-Claude Sicard analyse ce phénomène et le rapporte à « une crise d’indifférenciation ». Selon elle, s’il y avait un marketing du luxe, son premier objectif devrait être de différencier la marque des autres, créer l’écart. • Le luxe invisible Le luxe aujourd’hui

des fiscalités. Donc cette association d'idées entre droit et bonheur ne nous semble plus aussi claire qu'au début, et si nous écartons désormais l'hypothèse juridique et politique comme nous refusions l'interprétation égocentrique, il nous reste à analyser l'idée d'une éducation au bonheur : avons-nous le droit d'apprendre à décider de notre propre bonheur ? C'est ce que suggère Alain quand il ouvre ses Propos sur le bonheur en écrivant : « On devrait bien enseigner aux enfants l'art d'être heureux

on pollue. d. Postmoderne Rejet du moderne : peur liée au progrès, à la société de consommation, en l’avenir, les individus sont blasés, il y a une certaine désillusion, désenchantement, une monotonie du nouveau (selon Lipovetsky) : le nouveau ne surprend plus et ne satisfait plus. L’individu critique, il se sent impliqué dans la société, dans son environnement. 2. Contextualisation Cette notion de post-modernisme prend place dans un contexte

............ 26 B. La communication autour des produits de commerce équitable ............................... 27 C. Le produit équitable : une approche politique et symbolique ................................... 27 IV. L‟acte d‟achat responsable analysé au sein de la société .......................................... 28 A. L‟achat des produits engagés considéré à travers les couches sociales de la société. 28 B. Le rôle identitaire de la consommation .............................................

nouveau visage de l'économie et de la firme ; - le second insiste sur les effets et l'extension d'un nouveau mode de socialisation, le processus de personnalisation qui traverse désormais peu ou prou tous les secteurs de nos sociétés occidentales (Lipovetsky, 1983). Cette redéfinition commande progressivement l'exclusion de totite une série d'agents économiques peu enclins à s'adapter à l'abstraction (travail sur des supports intangibles), à l'interactivité (rapport homme/machine), à laflexibilitéet

des fiscalités. Donc cette association d'idées entre droit et bonheur ne nous semble plus aussi claire qu'au début, et si nous écartons désormais l'hypothèse juridique et politique comme nous refusions l'interprétation égocentrique, il nous reste à analyser l'idée d'une éducation au bonheur : avons-nous le droit d'apprendre à décider de notre propre bonheur ? C'est ce que suggère Alain quand il ouvre ses Propos sur le bonheur en écrivant : « On devrait bien enseigner aux enfants l'art d'être heureux

d'autre pour obéir = naturelle. FAMILLE --> TRIBU (sociologie ? ). C'est un enssemble de famille et l'enssemble des tribus = cité. Raisonnement tres grec, trop grec, rassemblement = besoin ? Nous ne vivons pas dans la meme societe qu'Aristote. Gilles Lipovetsky L'étude du vide. DARWIN : Etudier l'homme nous aspect biologique. Homme pas favorisé par la nature. La force de l'homme est tres limitée. La vitesse de l'homme est très limitée. Pas d'armes naturelles. Il nous faut donc un principe de compensation

travailler, Hannah Arendt peut dès lors tirer les conséquences, tragiques, de son analyse de la "société de travailleurs", de la société dans laquelle et pour laquelle, on le comprend désormais, il n'y a quasiment plus que des travailleurs : “ ce que nous avons devant nous, dit-elle, c'est la perspective d'une société de travailleurs sans travail, c'est- à-dire privée de la seule activité qui leur reste." Concluant ainsi son analyse et renouant, dans le même mouvement, avec son constat initial qui portait

de la communication du vingt et unième siècle et ont compris les complexes rouages du Marketing. Soit, un heureux hasard chronologique a poussé nos trois « jeunes cyniques » dans une aventure qui paraît un peu folle au premier abord mais qui après analyse, était finalement un pari plutôt judicieux (puis juteux). Aucun élément ne peut permettre de répondre à mon hésitation, cependant Innocent détient une stratégie de marketing efficace, capable de séduire n’importe quel consommateur, même le plus réticent