Analyse De Lipovetsky

 CAS FIAT SOMMAIRE Introduction I) Le groupe Fiat, confronté à un environnement difficile A. Analyse SWOT B. Bilan Interne/ Externe C. Analyse de Porter II) Les enjeux de politique générale et réponses stratégiques pour répondre à la crise que traverse le groupe A. B. C. III) La Fiat 500 : un projet qui permet au groupe de renouer avec la réussite A. Constat B. Stratégie mise en place C. Moyens utilisés D. Mix marketing

chacun position pour résoudre le problème en question. (...) Le choix de ces points de confrontation doit témoigner tout à la fois d’une bonne intelligence des textes, dont ils retiennent les aspects majeurs, et d’une vue d’ensemble du problème, analysé dans ses composantes essentielles. Il réclame aussi de l’ingéniosité, car il n’est pas toujours facile de découvrir la structure logique qui permettra de rendre également justice aux trois textes. Quoi qu’il en soit, un peu comme se monte un jeu de

communauté, les individus recherchent des produits et des services, moins pour leur valeur d’usage, tant fonctionnelle que symbolique, que pour leur valeur de lien. Dans un univers postmoderne (Maffesoli 2003, Cova 2003) ou hypermoderne (Pagès 2004, Lipovetsky 2004), le produit ou le service n’isole pas forcément, mais il peut être au contraire un vecteur de communication entre les individus. C’est là où se situe une stratégie possible pour l’entreprise, celle du positionnement social auquel elle accède

du plaisir, moins le sens du devoir, vivre au présent car on ne connait pas le futur, nouvelle expression des émotions Recherche du plaisir permanent et instantané Boom des petits plaisirs au quotidien, société de l’entertainment Gilles Lipovetsky – Michel Maffesoli (tribus, internet) Tendances de fond Indifférence de masse, autonomie privée, nouveau est accueilli comme l’ancien, innovation banalisée, futur plus = progrès Confiance en l’avenir ↘, vivre maintenant tout de suite Optimisme

(cf citation de Camus sur Kirilov) Tout se passe comme si le projet absurde de l’homme moderne de prendre la place de Dieu l’avait conduit à la perte du sens suite à son échec pathétique… Comme l’a parfaitement montré le philosophe Gilles Lipovetsky dans L’ère du vide, la postmodernité se caractérise par la montée de l’individualisme hédoniste. Mais cette tendance ne signifie pas pour autant l’abandon de toute quête du sens. Depuis le début de ce nouveau siècle qu’André Malraux pronostiquait

s'intéressant à la théorie de l'animus/anima jungienne, la deuxième en analysant les images romantiques qui parcourent le roman. 2 la modernité. L'époque post­moderne, par contre, est marquée par une forte tendance à l'euphémisation( Gilles Lipovetsky)10. Le symbole du progrès est alors évincé par un autre, Hermès, dieu des passages et de la transmutation, l'androgyne en qui fusionnent les contraires. L'analyse des archétypes présents dans une oeuvre

L’objectif de cette première partie est de cerner le cadre de notre analyse, c’est à dire la société de consommation, de son émergence aux axes de réflexion qu’elle a engendrés. Tout d’abord, nous cernerons son contexte d’apparition, cadre actuel du comportement d’achat dans les sociétés dites développées, en prenant l’exemple de l’Europe et des Etats-Unis. Dans un deuxième temps, nous analyserons les théories qui sont apparues autour de cette société, d’un point de vue à la fois économique et

la plus-value pour les marxistes... On aborde ici le registre de la violence symbolique qui, plus généralement, pourrait qualifier toute forme de pouvoir, même - et surtout dirait BOURDIEU - quand celui-ci avance "masqué" (le rapport pédagogique analysé comme l'imposition d'une violence scolaire dans La Reproduction). Un tel glissement sémantique interdit toute définition rigoureuse de la violence. De plus, cette extension progressive de sens pourrait contribuer à accréditer l'idée que le phénomène

s’achemine elle-même à ce qu’elle désigne, à la différence du signe conventionnel, qui est une représentation arbitraire du réel. Ca ne confirme pas obligatoirement la figure de l’hyper-modernité décrite par Baudrillard (« Insurrection des signes ») ou Lipovetsky (« Ere du vide »), celle ou la profusion des signes indiquerait une dissociation avec le sens. « At t ent ion ! Pour vot re sécurit é, vous êt es int erdit ! » Techniques de moulage : La première technique de moulage utilisée pour ce projet

appréciaient comme traits hors du commun. La beauté de la femme a attiré l’attention de l’être humain depuis fort longtemps, des peintres, des sculpteurs ont essayé de transposer son image dans leurs œuvres. Il n’empêche, comme le montre bien Gilles Lipovetsky, que “la troisième femme”, celle qui caractériserait la deuxième phase de la modernité, post-moderne ou hypermoderne selon les interprétations, 1 Baudrillard J., La société de consommation, ses mythes, ses structures, Paris, Denoël, 1970,