Analyse De Petite Digression

La réflexion sur le roman (1) : La parenthèse Gousse ............................................ 20 Introduction............................................................................................................................20 I) Analyse des épisodes consacrés à Gousse..........................................................................20 1) Un personnage illogique (p 89 à 94)................................................................................. 20 2) Un escroc escroqué

déterminée par ses sentiments que sa raison. Un critique moderne a ainsi écrit que c’est justement « cette curieuse liaison entre le sentiment, la littérature et le politique qu’il faut dévoiler ». Analyser l’œuvre à la lumière de cette affirmation reviendra donc à cerner ces trois sortes d’influences et analyser de quelle manière Rousseau les imbrique dans sa réflexion. On verra ainsi tout d’abord en quoi il s’agit véritablement d’une œuvre littéraire et non simplement d’un ouvrage à caractère philosophique

résumé ne doit pas nécessairement être proportionnelle pour le nombre de mots à la partie correspondante du texte original. Cela reviendrait à mettre sur un même plan l'essentiel et l'accessoire, à ne donner en place d'un résumé qu'une juxtaposition de petits paragraphes dérisoires. Distinguer l'essentiel de l'accessoire demande de distinguer le type de texte. Pour résumer un texte argumentatif, il est essentiel de dégager la thèse principale, les thèses secondaires, arguments et contre-arguments éventuels

plus qu’il accuse les riches commanditaires privés amateurs de réduire les grands artistes en esclavage et ce sont ainsi les artistes médiocres qui réussissent dans les œuvres publiques…) • Dialectique grand-petit : « Ce luxe qui dégrade qui les grands talents, en les assujettissant à de petits ouvrages, et les grands sujets en les réduisant à la bambochade ». • Reprise de schèmes philosophiques : l’analogie de la ligne de Platon à travers le portrait de la femme la plus belle qu’on connaît pour représenter

visage", "Esthétique et sociologie"). Découvrir Simmel n'est donc pas toujours aisé du fait de ce refus des frontières disciplinaires traditionnelles . Ajoutons à cela la structure particulière des articles de Simmel qui n'hésite pas à faire des digressions plus ou moins longues sur un sujet à-priori sans lien avec le problème central (ainsi un article sur le secret peut donner lieu à quelques pages sur la parure). La lecture de Simmel est donc à la fois extrêmement riche et séduisante mais dans le

rapport avec le sujet, un chiffre, un événement récent qui rappelle le sujet, etc. Elle est suivie d’une phrase qui explique le rapport entre ce fait et le sujet. Ce petit effort est très apprécié du correcteur, qui entre tout de suite dans le vif du sujet ! Analyse des termes : s’il est essentiel de prendre du temps pour analyser les termes du sujet, il est également fortement conseillé de définir ces mots dans l’introduction : cela permet Problématique : une problématique, c’est une phrase qui

abouti, il y a des faiblesses. Chapitre 1 Micromégas : a) Pourquoi ce nom pour le personnage éponyme ? Il est grand par rapport aux hommes mais minuscules par rapport à quelqu'un de plus grand. Il n'existe pas de grand en soit ni de petit en soit : tout est relatif. b) Ses proportions 38 880m pour Micromégas et 1949m pour le nain. Chiffres fantaisistes, si on vérifie dans le détail, on trouve des erreurs de calculs. D'où vient-il ? D'une étoile

central par un personnage, un thème récurrent ou un simple écho. Tentons donc cette analyse. Quatre motifs s'entrelacent dans Jacques le Fataliste avec une malignité irritante : le voyage picaresque vers "nulle part", tantôt raconté à la troisième personne par le narrateur, tantôt disposé en dialogue entre Jacques et son maître (→); le récit discontinu fait par Jacques de ses amours avec Denise (←); les digressions auxquelles se livrent les personnages ou les histoires que racontent certains

: Primo Levi, Robert Antelme et Jorge Semprun, ayant écrit, respectivement, Si c’est un homme, L’espèce humaine, et L’écriture ou la vie. Des extraits de ces œuvres qui ont toutes pour point commun le vécu des camps nazis permettront en effet une analyse plus poussée des avantages de l’autobiographie sur les autres genres littéraires. Un premier avantage marquant qu’on trouve à l’autobiographie est évidemment son intérêt historique. En effet, la garantie de véracité de par le vécu (à supposer

Bernard Tapie : dominant, carriériste, très bon communicant, c’est l’archétype du patron "rouge". En vogue depuis une dizaine d’années, cette méthode se révèle une aide précieuse dans la négociation. Pour se montrer persuasif, il faut en effet savoir analyser et prévoir le comportement de son interlocuteur. Le rouge veut du concret et des résultats probants Ambitieux, exigeant et guidé par le résultat, l’individu "rouge" n’est pas un client facile. A la première rencontre, sa poignée de main est