Analyse Discours De Créon Antigone

Sophocle dans Antigone. Il met en balance la loi des hommes et une loi plus universelle. Il met en récit une contradiction entre les deux lois (des hommes et universelle). Conflit entre une norme posée par la cité et le devoir d’un citoyen (conscience moral) Créon, Roi de Thèbes a interdit qu’on donne une sépulture à Polynice qui selon lui avait désobéit à la cité. Antigone, sœur de Polynice, a désobéit aux ordres de la cité en application de son devoir moral, face aux tyrans, Antigone oppose les

règles de droit. Ces règles de bienséance sont des règles de civilité ou de courtoisie. Elles correspondent aux codes d’honneur : s’incliner devant une femme mariée en lui tenant la main ; se lever lorsqu’une autorité entre ; ne pas offenser dans son discours la morale en employant des mots et expressions desquels sont exclue la trivialité, la familiarité etc. La distinction entre les règles de bienséance et la règle de droit ne tient pas en ce que les premières seraient dépourvues de sanctions : la sanction

que Zeus a assigné aux hommes est l’observance de la justice qui les empêche de se dévorer. Les nomoï humains sont nourris par le nomos divin selon Héraclite. Les lois humaines sont censées être l’émanation ou l’imitation divine (cf. Antigone) Créon condamne Antigone à être enterrée vivante. En Grèce, il n’y a pas de prêtres qui sont chargés d’interpréter la loi divine. Les lois ont pour garant, le jugement moral des individus. Le sens de ces lois est enfoui dans le cœur de chacun des hommes

Maynard : d’excellents résultats Honorat de Racan, la voix de son maître Le temps des académistes Le club de Richelieu Vaugelas verrouille les tours Balzac, le grand épistolier Descartes : le moi doute des idées Une nuit au poêle en Allemagne Son discours de l’âme étonne Chapitre 9 - Le goût de la démesure Le fiévreux, le généreux baroque Mathurin Régnier, ennemi du travail Saint-Amant, le paresseux… Un surdoué pressé : Charles Sorel Le prince du burlesque : Paul Scarron Cyrano de Bergerac : un Parisien

que circonscription « publique» détachée d'un ensemble fait l'objet de confusion ( déjà au Moyen Age ) avec le fief ( simple élément patrimonial impliquant le partage des terres ). Féodalité et régime des terres Dernière remarque enfin ! Comment analyser le fief ? S'agit-il d'une propriété à part entière ou encore d'un démembrement de propriété? La chose est plus subtile. La« possession » d 'un bien féodal serait à mi-chemin entre l'étude objective de la propriété c' est-à-dire la propriété classique

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certains sont transmués en normes. Par sa volonté, l’idée devient loi. Le problème est que tout ne se décrète pas, que toute solution ne ressortit pas à l’ordre du discours politique : Le verbe e t l’État Dans sa panoplie de moyens pour gouverner, le plus sûr dont dispose l’État est le verbe. Selon les circonstances et les besoins, le discours devient norme, le verbe se fait loi, l’État transforme la promesse en réglementation. Alors l’écoute devient autre. En se faisant droit, le verbe interpelle le

exactement comme un juge qui doit résoudre la situation qui lui est présentée. C’est la raison pour laquelle on a pu considérer que le texte de la stèle d’Hammourabi se présentait comme un recueil de jurisprudence. Il y a également une autre analyse qui peut être faite de cette formulation. Elle repose sur la comparaison des écrits contemporains à ce monument du droit. Il existe également, contemporain du roi Hammourabi, des traités de médecine, qui présentent eux aussi des articles sur le même

ces drts demeurent car ils se confondent avec la dignité humaine. L’illustration la plus célèbre de cette conception c’est une tragédie antique de Sophocle : « Antigone ». Ce pt de départ antique est une décision prise par un roi Créon, qui avait décidé de pv de sépulture un de ses sujets Polymice qu’il considère comme un rebelle. Or Antigone décide de ne pas respecter la décision du roi et décide d’enterrer son frère car elle considère qu’au dessus du drt positif il y a des lois non écrites mais éternelles

les grecques il pouvait y avoir un conflit entre règle inférieure et règle supérieure, mais le conflit devait s’adapter à la règle supérieure. Antigone de Sophocle parle de ce problème du conflit des normes. Créon promulgue une loi qui interdit d’enterrer le frère d’Antigone car il était révolté. Antigone considère qu’il ne faut pas respecter la loi de Créon car il y a une loi suprême (thesmos), supérieure à la loi du roi (nomos), qui vient des anciens, de la tradition, d’inspiration divine, et qui