Analyse Théorie Des Sentiments Moraux

                  Pauline Hieu  Introduction à la morale utilitariste de John  Stuart Mill                    Université de Nantes, Année 2012  Directeur de mémoire : M. Patrick Lang  [2]    Introduction à la morale utilitariste de John Stuart Mill Table des matières  Eléments de biographie ................................................................................................................. 3 Introduction ..........................................................................

Dans cet extrait de son œuvre théorie et pratique datant de 1793, Kant s’interroge sur deux notions indissociables : la morale et le devoir, comme nous pouvons le voir lorsqu’il dit : « on n’en a pas le droit, c’est-à-dire : cela contredit le devoir ». Il nous en expose sa vision très clairement en l’illustrant d’un exemple précis qui compose la majeure partie du texte. S’il commence par un cas plutôt simple auquel toute personne pourrait s’identifier, son exemple prend au fil du texte

impératives quoique non juridiques. Les normes familiales peuvent s’imposer par exemple aux enfants sans même avoir jamais été énoncées. Et leur non respect peut entraîner des sanctions physiques mais aussi psychiques : la plus banale est sans doute le sentiment de culpabilité. De même, dans la vie sociale de tous les jours et dans la vie professionnelle, il existe des choses qui " se font " et d’autres qui " ne se font pas " dont la sanction peut être autant voire plus dissuasive encore. La crainte de perdre

Résumé: La morale est une notion plus philosophique que juridique, c'est en quelque sorte la science du bien et du mal. C'est un ensemble d'obligations que le sujet s'impose à lui-même et qui a pour but le bien.  Le droit, doit être pris ici dans son sens objectif, comme l'ensemble des règles qui régissent la société.  Introduction  I. Les divergences entre le droit et la morale  A. Des domaines différents  B. Des sanctions différentes  II. Les convergences entre le droit et la morale  A.

rôle positif pour le pouvoir du roi. La création de l'Académie française en 1635, puis d'autres Académies, conduit à codifier la langue et à réglementer la composition des œuvres. Ce sont les œuvres des doctes, comme Vaugelas* qui définissent les théories du goût classique, à travers des lettres, des traités, des arts poétiques. Ils diffusent ce goût auprès du public mondain des salons qu'ils fréquentent. Les canons littéraires sont définis aussi dans des ouvrages non théoriques, œuvres littéraires

sociologie I) La constitution progressive de la sociologie (fin XVIIIème – 1910) 1) Les origines de la sociologie, « fille de la modernité » La sociologie est dite « fille de la modernité » car les premiers sociologues tentent d'inscrire leurs analyses dans le prolongement des réflexions philosophiques de siècle précédent, en révélant « ce qui est » et non « ce qui doit être » (en s'appuyant sur les faits, ce qui relève du positivisme). Les prémices de la sociologie : la « science de l'homme »

d'incertitudesjavascript:void(0)javascript:void(0)(11). Les choses se compliquent lorsque l'on se tourne du côté du préjudice. La jurisprudence se montre ici très libérale puisqu'elle n'hésite pas à réparer non seulement le préjudice matériel mais aussi le préjudice moral causé par « la déception (qui) est à la mesure de l'espérance de gains que la victime avait pu entretenir »javascript:void(0)javascript:void(0)(12). Dans quelle situation d'Onofrio se trouvait-il au lendemain des heureux résultats de la course ? Il

son anatomie ect...) Pas de régime politique sans Constitution ; Constitution est cristallisation du contrat social. Fétichisme de la loi aujourd'hui. Carré de Malberg, La loi, expression de la volonté générale (1931) Théorie de Kelsen sur la hiérachisation des normes (Théorie pure du droit) On va alors passer au contrôle de la loi par rapport a cette Constitution ; Constitution devient la « norme fondamentale, le « grand fétiche ». CC protège les droits fondamentaux (1971 liberté d'association

d'analyse (étude psychologique des personnages), mœurs (donne l'image d'une société), policier, épistolaire (uniquement constitué de correspondances multiples), autobiographique (comporte des éléments relatifs à la vie de l'auteur), engagé, didactique (théorie et techniques de l'enseignement) Les fonctions du roman : ● Divertir : Le lecteur prend plaisir à suivre le parcours des personnages. ● Dépayser : Faire évader le lecteur dans un autre monde. ● Instruire : Donner une image, et des connaissances

réflexion théorique sur notre rapport à autrui s'avère ainsi avoir une dimension ontologique et une signification pratique. Il s'agit de séparer l'être du paraître, pour savoir ce qui est vraiment, entre l'identité et la différence. Mais l'enjeu, moral et politique, est de comprendre ce que c'est qu'être humain, pour parvenir à vivre ensemble. Faut-il en effet qu'autrui me ressemble pour que je voie en lui un homme ? Y a-t-il un modèle d'humanité ? Comment composer les différences pour vivre en société