Anaphore Chez La Fontaine

pour lui est qu’il a la naïveté de croire que la Belette peut-être sensible à ses arguments. III. Dimensions symbolique et critique A/ Caricature de la justice Raminagrobis : fait semblant d’être grave/ sérieux / important Grippeminaud : chez Râblais, c’est l’archiduc des chats dans la littérature Hypocrisie de ce juge « un saint homme de chat, bien fourre, gros et gras »  un saint homme de chat sonne déjà faux « gros et gras »  laisse paraitre le péché de gourmandise Périphrase 

réciproque et simultanée qui existe entre eux. » Pour Buffon, le style, c'est l'homme même, c'est-à-dire que le style, c'est l'écart par rapport à la norme linguistique. Cet écart peut être de différents ordres mais il vise à produire un effet chez le lecteur (ou chez l'auditeur). Georges Mounin distingue le style comme écart, le style comme élaboration (cependant, précise-t-il, tout écart ou toute élaboration ne fait pas nécessairement style) et le style et la connotation. Michael Riffaterre défend

invités à se reporter à ce texte, en particulier pour sa partie introductive qui n’est pas reprise ici. La sélection 2004 compte 300 titres. 33 suppressions ont été opérées dans la liste 2002 ; elles concernent principalement des titres indisponibles chez l’éditeur ou des doublons pour un même auteur, exceptions faites des grands conteurs. Les 153 nouveaux titres se répartissent dans toutes les catégories, mais on a veillé à renforcer celles qui comptaient le moins de références en 2002 : bandes dessinées

« La vie de Jean Racine. Faire repérer les liens entre œuvre Racine », p. 124-126. Racine et le pouvoir royal. Faire chercher • Documents d’autres exemples d’artistes liés à complémentaires : Louis XIV. photographies du château de Versailles ; La Fontaine, « Les Animaux malades de la peste » ; extraits de Saint-Cyr de Patricia Mazuy (2000) ou de Si Versailles m’était conté de Sacha Guitry (1954). Axe d’étude 2 : la composition de l’œuvre Découvrir la vie théâtrale au e XVII siècle 3 Étudier l’exposition

m’appartiens plus Depuis l’heure où elle me laissa regarder dans ses Yeux, en un miroir qui me plaît beaucoup. Miroir, Depuis que je me suis miré en toi, les soupirs profonds M’ont tué, car je me suis perdu comme se perdit Le beau Narcisse en la fontaine. Les dames me mettent en désespoir, jamais je ne me Fierai en elles, autant de les défendais, autant je les Attaquerai puisque je vois qu’aucune ne me vient en Aide auprès de celle qui me détruit et m’humilie, je Les crains toutes et m’en

parc, et beaux jardins, qui dans votre clôture Avez toujours des fleurs et des ombrages verts, Non sans quelque démon qui défend aux hivers D’en effacer jamais l’agréable peinture; Lieux qui donnez aux coeurs tant d’aimables désirs Bois, fontaines, canaux, si parmi vos plaisirs Mon humeur est chagrine, et mon visage triste Ce n’est point qu'en effet vous n'ayez des appas; Mais quoi que vous ayez, vous n’avez point Caliste Et moi je ne vois rien quand je ne la vois pas. INTRODUCTION

bleue comme une orange » (L'Amour, la poésie), c'est que, pour le poète, tout est possible à qui sait « voir ». C'est en affranchissant la pensée de ses limites qu'il découvre l'absolu poétique. Chez Éluard, la parole affirme : « J'ai la beauté facile et c'est heureux » (Capitale de la douleur). Chez Cernuda, le poète raconte ses rêves et cauchemars : un acteur unique se fait l’écho du poète pour raconter ce conflit entre le moi et le monde qui l’entoure. Bien que très romantique dans l’approche

le gris » ; – le vocabulaire empruntant largement au champ sémantique du malheur : « tourments », « malheur », « bannir », « manquer », « mal », « mal », « mauvais chemin » ; – les sentiments tour à tour exprimés dans le monologue. Se succèdent chez Tristan le désespoir et l’apitoiement sur soi de la plainte initiale, le remord suggéré par la reconnaissance du tort causé au roi Marc, le regret de la vie qui aurait pu être la sienne, la culpabilité éprouvée à l’égard de la reine et finalement

en communiquant une sorte d'enthousiasme. (se trouve dans les articles de presse, discours, textes argumentatifs, les conférences...) Emploi massif du je/ nous/ vous, interrogations et apostrophes, questions oratoires (voir les figures de style), anaphores, images, impératifs, phrases amples (longues et complexes) ayant un rythme périodique... Le ton didactique Il veut expliquer et définir le discours du maître qui a comme but d'instruire et d'enseigner. On peut le dégager des textes explicatifs,

filée pour servir de comparant à l’exercice du pouvoir, du gouvernement. Ex : gestion domestique (tenir une maison), gestion d’une classe, direction d’une équipe sportive, etc. On peut aussi penser, pour une lecture complémentaire, à la fable de La Fontaine « Les Membres et l’estomac » (Fables, livre III). Petits Classiques Larousse - 11 – Ubu roi de Jarry Vers le Bac À l’écrit Sujet 2 Objet d’étude : le théâtre, genre et registre ; le travail de l’écriture ; la poésie. TEXTE 1 : Ubu roi, acte V