Anaphore Et Rimbaud

mouvement en termes philosophique et psychologique. Le précurseur immédiat est Dada dont la réaction nihiliste au rationalisme et à la modalité régente qui produisit la première guerre mondiale. Autres précurseurs : Lautréamont (1840-1870), Arthur Rimbaud (1854-1891) et Raymond Roussel (1877-1933) Nous allons présenté un poème de Paul Eluard, l'une des figure majeures du surréalisme. L'amoureuse écrit en 1923. Elle est debout sur

(nombre de syllabes). La prose : tout ce qui n’est pas le vers ! Donc tout écrit qui n’est pas disposé en vers et en strophes, le langage oral, … COMMENT LA PROSE PEUT-ELLE ETRE POETIQUE ? Musicalité : allitérations et assonances, répétitions, anaphores, … Rythme Le poème en prose présente une souvent des associations d’images au lieu d’une histoire. (même si parfois il peut suivre un schéma narratif) Lexique et syntaxe très recherchés : un texte très construit. Multitude de figures de style (comparaison

groupe de 3 phrases, comme les 3 vers dans les haïkus. Yuko montre sa passion pour la neige. Il est question de sa « compagne » donc personnification. Relation d’amour. Manière d’évoquer la neige : phénomène de répétition, proche de la poésie : anaphore pour parler de la neige « elle » à chaque début de phrase. N’est plus nommée, c’est une évidence. Les explications de Yuko sont plus structurées que celles de son père : argumentation sous une forme fixe, rythme ternaire, chaque argument est composé

personne, en respectantla présentation d'une lettre (formule d’adresse, signature). toutefois lettre a deux destinataires, le Président et le public. C’est une lettre argumentative qui utilise des procédés pour convaincre : des répétitions (anaphores) et une stratégie argumentative, il refuse de faire la guerre et invite surtout les autres à ne pas la faire non plus.C'est un appel à la paix. La valeur du poème réside avant tout dans sa simplicité, un vocabulaire simple, compréhensible

déterminante que la brièveté, puisque « beaucoup de genres conventionnels, la maxime, la fable, la nouvelle, l’épigramme, la plupart des poèmes à forme fixe tels que le sonnet, sont courts » (Poétique du fragment. Essai sur les « Illuminations » de Rimbaud, 1985, p. 192). yves vadé, Le poème en prose, op. cit., p. 179. Le verset : entre le vers et le paragraphe d’Ildikó szilagyi • 95 versets12 et de vers libres, mais aussi entre les « couplets » des poèmes en prose (ceux d’Aloysius Bertrand, par

comme ce qui n’est pas prose, et vice versa. Mais Baudelaire n’est pas l’initiateur de la formule : le précurseur en est Aloysius Bertrand avec Gaspard de la nuit. Les héritiers successifs feront évoluer le genre jusqu’à de splendides réussites, avec Rimbaud, Lautréamont, Claudel et les surréalistes. S’opposant à la versification classique, le poème en prose en refuse les lois de métrique et de prosodie. La poésie du langage est alors assurée par d’autres systèmes de rythmes et de répétitions : petits

les parnassiens. Les plus grands symbolistes, Rimbaud, Verlaine ou Beaudelaire ont tous eu une vie mouvementee, difficile, souvent passee dans des situations precaires et hostiles, ils s'appellent Les Poetes Maudits. Ils ont donc beaucoup d'inspiration pour retranscrire ces evenements dans la poesie symbolistes ou ils vont souvent parler d'evasion et de mysteres mais pas d'emotions personnelles. Un des poemes type symboliste est Le Bateau Ivre de Rimbaud qui exprime parfaitement les idees symbolistes

syllabes). * La prose : tout ce qui n’est pas le vers ! Donc tout écrit qui n’est pas disposé en vers et en strophes, le langage oral, … COMMENT LA PROSE PEUT-ELLE ETRE POETIQUE ? * Musicalité : allitérations et assonances, répétitions, anaphores, … * Rythme * Le poème en prose présente une souvent des associations d’images au lieu d’une histoire. (même si parfois il peut suivre un schéma narratif) * Lexique et syntaxe très recherchés : un texte très construit. * Multitude

de ces ouvriers, qui semblent oubliés par Dieu, ils lui adressent donc une prière (vers 14 et 15). On note de nombreuses tournures exclamatives et interrogatives tous au long du texte (vers 1, 2, 3, 11, 16, 17). Mais aussi des figures de style : anaphores : (vers 2, 3, 4, 5, 13, 14, 23,24) , une comparaison (vers 24) et des hyperboles (vers 7, 8, 16, 17). Tout ces procédés sont typique du registre tragique, c’est donc un poème tragique qui cherche à susciter la pitié que nous propose ici Victor Hugo

du clown. Afin d’exister il projette de se libérer de tous les carcans qui le maintiennent dans la minorité. I. Projet de libération -Rapprochement au « bateau ivre » de Rimbaud. -Bateau = liberté, voyage, rêve. -La libération est présentée comme un projet verbes au futur (pas d’indications temporelles) -Anaphore (répétition d'un terme en tête de vers qui permet d'insister sur une idée) Un jour (v.1,2,3). -Sa libération semble immédiate pourtant, le « peut être » nuance le propos. -Une