Anaphore

Anaphore: Une anaphore est un procédé qui consiste à commencer par le même mot les divers membres d’une phrase. Hyperbole: Elle consiste à mettre en relief une idée au moyen d’une expression exagérée. L’hyperbole est donc une exagération exprimée par l’accumulation, par l’emploi d’intensifs ou par l’emploi de mots excessifs. Ainsi, la phrase « Je meurs de faim » est une hyperbole. Gradation: La gradation est une énumération ordonnée de manière à ce que chaque terme soit plus fort (gradation

et l utilisation du vers court donne un certain dynamisme  au poème, ce  qui annonce l'espoir évoqué. Ce poème est très simple par sa forme et son vocabulaire, ce qui permettait aux résistants de le comprendre et de le mémoriser facilement. L’ anaphore " de la préposition "sur", répétée 3 fois par strophe et suivie de compléments circonstanciels de lieu. Ce poème est un mélange de forme traditionnelle (strophe régulière) et de la liberté de l'époque surréaliste: par exemple :poème sans ponctuation

qu’Antigone était dans un moment exaltation et qu’elle était capable de se jeter dans le vide s’il bougeait ou parlait. Il doit même partir " sors ". On note la brièveté de la demande ; " tout de suite " insiste sur l’ordre ; " pas maintenant, pars vite " anaphore. Il a juré de ne rien dire et doit subir le monologue d’Antigone sans comprendre. Les adverbes montrent l’urgence de la situation : elle ne pourra pas résister longtemps à cette tension " jamais ", " demain ", " vite ", " s’il te plait Hémon " (prière)

ici l’eau est la SEINE -Le poète est compare au pont puis qu’il est fixe face a l’amour qui coule avec l’eau. B-Temps unique et répétitive -Répétitions ’’vienne la nuit sonne l’heure les jours s’en vont je demeure ‘après chaque strophe (anaphore), anaphore ‘’ni’’ -Présent de vérité générale et de méditation ’’passent les jours et passent les semaines’’. Le présent du subjonctif qui exprime le souhait ’’reviennent’’, le souhait du retour aux rencontres amoureuses mais il craint se retour. Le souhait

l’apprendre et la réciter Grossière erreur de ne pouvoir l’expliquer Et pourtant, la beauté d’un poème nous vient De son sens intérieur, de ce qui est son lien En esprit étroit, fermé, ou encore ouvert La poésie à chacun peut plaire ou déplaire Anaphore, métaphore et autre oxymore Parlent à votre inconscient de vie et de mort Ou encore de la famine, de la guerre Et beaucoup d’autres choses en prose ou en vers Si c’était une peinture, elle serait au Louvres, Ineffable harmonie qu’avec joie

des échanges (amplification + enjambement v. 8-9 « fourmillant fouillis dédalien d’amarres» ; « un million de croix »v.2 ; « cent peuples » v.30 « la loi des multitudes » ; pluriel poétique « Les flots » + anaphore v.13-14 « Les Orients et les midis » v.17 ; expression de la totalité + anaphore v. 19-20 Rivalité entre la mer et le port : la structure (4 strophes séparées par refrain) suggère combat épique à l’avantage du travail humain ; v. 43-54 : rappel de la puissance surhumaine des éléments naturels

sur les mots est à travers les rythmes et les sonorités qui créent une musicalité. On retrouve des allitérations, des assonances « i » et « en » dans le Verre, des répétitions, des rythmes ternaires et binaires, des anaphores. Verre : le plus riche : assonances en i et e, et o, anaphore avec le c’est toi et le qu’on, répétition du tôt, du qu’on m’en donne, rimes plates et croisées, calligramme Pipe : rimes embrassées, allitérations en que, m, j, personnification Valise : rythme ternaire v2, v3-4

ALLITERATION  Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots Allitération en [s] dans Colombine de Verlaine :     Cassandre sous son     Capuce   ANAPHORE  Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers - Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits - Anaphore de "il y a" dans le poème Enfance III, de Rimbaud   ANTITHESE  2 termes de sens opposés dans une même phrase - Le navire était noir, mais la voile était blanche

compréhensible de tous : anaphore de « j'accuse » au début des trois premiers parag., quasiment un paragraphe par accusation portée (3 parag./ 4 accusations). Zola accuse les experts en écriture de faux documents, dénonce une campagne de presse anti-Dreyfus et les manœuvres obscures des conseils de guerre successifs. Thèse de Zola : aucune preuve, il y a INJUSTICE (champ lexicaux du mensonge et de la vérité). Écriture engagée : fermeté et implication totale de l'auteur (anaphore + omniprésence de « je »

vers libre (ni rime ni mètre régulier) construit sur une anaphore. - Problématique : En quoi ce poème est-il l’illustration de la poésie du surréalisme ? Annonce des axes Notre analyse portera dans un premier temps sur le blason de la femme bien aimée et dans un deuxième temps nous étudierons les caractéristiques surréalistes de ce poème. Commentaire littéraire I. Un blason réactualisé 1. Evocation du corps de la femme Anaphore initiale -> « Ma femme » avec possessif « ma » La description