Anaphore

|ALLEGORIE | |PLEONASME | |Par substitution |METONYMIE, |Utilisant la syntaxe |ANAPHORE | | |SYNECDOQUE | |PARALLELISME | | |PERIPHRASE

travers le point de vue de l’homme.(interne) un fait divers de journal. poète qui raconte.   B Un univers pathétique voire tragique. V1 /3/5 : Répétition de « terrible » = mot dure. Prévert veut faire partager la souffrance de l’homme à ses lecteurs. Anaphore qui accentue la gravité du sujet. « Il est terrible le petit bruit de l’oeuf dur cassé sur un comptoir d’étain » antithèse : Cela signifie qu’il a faim, qu’il n’a que cela à manger. V 12 : « il s’en fout de sa tête l’homme » langage familier Il

grande charge dans les finances » l2 → proposition subordonnée relative → complète le mot « mari », l’importance de l’argent est souligné, l’argent joue donc un rôle important dans sa vie« moi qui ne suis rien, moi qui n’ai point de bien » l3 → anaphore + parallélisme de construction → Dorante se met en totale opposition avec Araminte. Il crée un portrait négatif de lui même sur le plan de l’argent, sa dévalorisation est fondée sur le plan de l’argent.« ? » l13 → phrase interrogative → souligne

lexical du corps humain + nbr pronom possesif + pronom adj démonstratif, Rime avec soleil et gratte-ciel comme si on touchait le ciel Anaphore du "si timide" -< assonance = insistance. Ch lexical de la beauté féminine mais la beauté blanche en particulier Structure accumulative du txt "et", les choses s'ajoute. b)Regard + lucide au bout de la 3ème semaine. Anaphore qui insiste sur la négation " pas un", abs de la vie et des sentiments. Ch lexical de la mort / maladie "Les têtes foudroient le

réfuté sur un point de vue opposé et à discréditer l’adversaire. Les procédés -Les marques de la première personne. -Le lexique de la colère et de l’indignation. -Les termes dévalorisants ou discréditant l’adversaire. -Les invectives et les anaphores à destination de l’adversaire. -L’implication du destinataire. -Les oppositions entre les valeurs (bien/mal ; beau/laid) -Les figures d’incitations : l’anaphore et l’hyperbole. V/ Le Didactique Le registre didactique vise à enseigner et transmettre

évocatrices - Figures d'insistance (anaphores, énumérations, répétitions...) et d'exagération - Tournures interrogatives et exclamatives  - Musicalité syntaxique - Vocabulaire des émotions et des sentiments Faire partager au lecteur les sentiments fervents et l'intensité des émotions de l'auteur Polémique : -Utilisation de la première personne  - Ton agressif  - Figures de dépréciation (métaphores dévalorisantes, antiphrases...)  - Figures d'insistance (anaphores, énumérations, répétitions

« Poésie et vérité 1942 » en 1942 * Poésie : « le temps déborde » en 1947 Commentaire du texte : I. Structure du texte 1. Thèmes essentiels : * Vie  du vers 1 à 7: * « vie » ; « aurore » ; « plus claire » ; * «notre vie » (anaphore) ; « donner la vie * Mort  du vers 9 à 15: * La mort est obsessionnelle, envahissante * « ensevelie » ; « refermé son poing » ; « la mort entre en moi comme dans un moulin » * « Mort visible » ; mort invisible » * « mais » :

Le message philosophique sous la forme d'une prière 1. Adresse à Dieu = destinataire apparent * l.1 2 : tutoiement + gradation + rythme ternaire * prière : « oser te demander qqc » + « daigne regarder en pitié » = pardon divin * anaphore « à toi » * idée de supériorité de Dieu : « décrets immuables comme éternels » * syntaxe : Que + subjonctif = prière ou impératif « fais que » * phrases très longues * hommes = créatures de Dieu l. 3 7 8 2. Adresse aux hommes =

antithèse. Don Diègue rassuré par les valeurs de son fils. CL : de la colère. Renvoie au soufflé/ outrage. Vers 6 métonymies, Don Diègue transmet ses propres valeurs. Vers 8 // de construction, anaphore du verbe venir. Impératif. Père joue de son autorité. Il le pousse à le vengé tout de suite. Vers 9 anaphores, impératif CL : de l’outrage Vers 12 personnifications de l’honneur pour donner de l’importance. Mes en évidence : affront et honneur. Assimilation du père et du fils. Vers 13 rejet, mais

entre le poète et la femme, il ne pense plus qu'à elle, un sentiment d’appartenance s'y en dégage (anaphore « Ma femme » L'union libre ; « Elle s'engloutit dans mon ombre » v5 L'amoureuse) elle est l’être le plus important aux yeux du poète. Cet amour est si puissant, qu'il en devient l'accomplissement d'un rêve pour le poète, le rêve étant avant tout expression lyrique du sentiment amoureux (anaphore « J'ai tant rêve de toi » Poème 4; « Dont j'ai tant rêvé » v3 Les mains d'Elsa). Il n'y a de vie