Anaphore

livre » par « cela, qui par ailleurs est livre » ? Si on suit cette idée, on en vient à distinguer deux types de « ce » : d’une part le « ce » déictique qui s’associe à un geste pour désigner un référent, et d’autre part le « ce » utilisé dans les anaphores. Lever une ambiguïté entre l’un ou l’autre « ce » revient à choisir l’interprétation déictique ou l’interprétation anaphorique. L’intervention d’un geste en lien avec l’action de référence suffit alors à retenir l’interprétation déictique. Mais dédoubler

destiné à être lu et transmis oralement Parce que ce texte était destiné aux Résistants, Eluard retrouve la tradition de la poésie orale qui doit frapper les esprits par sa ligne mélodique. A. Le souffle des anaphores • 20 strophes construites sur le même canevas : - Anaphore de la préposition "sur", répétée 3 fois par strophe et suivie de compléments circonstanciels de lieu - Dernier vers de la strophe : "J'écris ton nom"      -> Eluard cherche à ce que son texte soit

rhétoriques sont au service d’un parallélisme de construction, accentuant cet effet d’opposition entre la femme et le mari. Cela permet au lecteur de prendre conscience de la situation, qui est largement expliquée ici, et de prendre position. De plus, ces anaphores rhétoriques, sont suivies d’un enchaînement d’antithèses. Nous pouvons le voir de la ligne 7 à 13 : « sage et expérimenté […] connaître et savoir éviter le mal … » s’oppose à « jeune et sans expérience aucune de la force et puissance d’amour ». Mais

opposition de prose et de verscela accentue le ridicule du personnagegradation ascendante « va, cours, vole » qui permet exagérer. Personnification de l’alambic (machine) Anaphore de « sans » comparaison de « sueur d’alcool » à « source lente et entêtée » Mise en valeur de la machine qui montre son pouvoir sur les hommes. Hyperbole

Dans l’une de ses anaphores, Henry David Thoreau dit ;«Rien ne choque tant l’homme vaillant que la monotonie et l’ennui». Cela me fait penser au principe de la distanciation que Thoreau apporte dans le principe d’une bonne et longue amitié de deux personnes. Lors d’une bonne amitié, l’éloge de la distance est très important afin de ne pas avoir de la monotonie qui s’installe entre les amis. Cet éloge qui provient de la logique du manque est facile è comprendre; Lorsque deux personnes sont trop souvent

lecteur. L’auteur décrit donc ses actions « J’ai passé (vers 1), J’ai marché (vers 5)… », et son ressentit  « mes yeux et mon corps sont pesants (vers 12), j’ai soif (vers 13) ». Il accentue sont implication grâce à des procédés expressifs comme les anaphores : « d’un bords à l’autre bords » (V1), « J’allais vers le gazon, J’allais vers la forêt » (V7), « J’ai nagé. J’ai passé » (V9), « Que par ma propre chair et par ma propre peau». Il insiste donc sur ses actions et sur certains mots. Nous

Le Réalisme « Le cousin Pons ». Plan du portrait de Mme Cibot : Quelle image le narrateur donne t'il de Mme Cibot ? Anaphore : anaphore :figure, repetition qui consiste à repeter un meme mot Gradation :figure de style consistant en une succession d'expressions énuméré. Pour crée un rythme dans la phrase et persuade par la beauté de la musique des mots. Énumeration de sentiments plus ou moins fort. 1.Un portrait élogieux : Madame Cibot portière depuit 25 ans, ancienne belle écaillère

texte. Le lexique. On peut recourir aux termes techniques les plus courants de l’analyse littéraire (anaphore, personnification, champ lexical, type de phrase, temps verbal, registre tragique, etc.), ils ne sont pas si nombreux mais on ne doit pas s’y limiter : il faut chercher à expliquer le texte de la façon la plus précise, la plus claire, la plus vivante possible. Si on a oublié le mot « anaphore », le mot « répétition » fera l’affaire ; l’essentiel est de bien expliquer l’effet produit par cette

présente des les premières strophes. Il y a également de nombreuses personnifications : « demain viendra l’orage » v2, « ce soleil joyeux »v14 et enfin dans le dernier quatrain on peut voir que Hugo exprime ses états d’âmes. Présence du « je » en anaphore v14 et 15, avec l’idée de solitude. De plus, le mouvement romantique est caractérisé par de nombreux thèmes présents comme la souffrance lié a la fuite du temps, que l’on retrouve dans ce texte, avec la fatalité des hommes face aux temps. Enfin les

l’innocence de la famille Calas agrémenté de nombreux connecteurs logiques de cause/conséquence. * Tournures impersonnelles telles que « il paraissait impossible » (l.1), « il fallait absolument» (l.3), « il était évident » (l.14, 15 et 16 anaphores après les points virgules dont l’aspect répétitif renforce le caractère implacable de la démonstration de Voltaire) * Désignation collective des juges au travers du pronom personnel « ils » (l.32, 33 et 35) et de l’expression « les juges » (l