Anarcho-syndicalisme

FRANCE Un droit bien réel, mais très dépendant des rapports de forces En France, le droit de grève existe bel et bien et les salariés ne se privent pas de l’utiliser. Depuis cent quarante ans, ce droit n’a cessé d’évoluer, en réponse le plus souvent aux épisodes marquants de la lutte de classe. Le cadre juridique dans lequel ce droit s’exerce est relativement peu contraignant, mais la tentation de le remettre en cause est forte au sein de la classe politique. Plusieurs exemples montrent cependant

21 mars 1884 = reconnaissance officielle des syndicats. Sous lʼimpulsion du ministre de lʼintérieur René Waldeck-Rousseau, les députés votent une loi qui sʼinscrit dans une dynamique de réglementation du travail et de la prise en compte des intérêts ouvriers. Ainsi, le parlement républicain instaure une liberté syndicale et dʼassociation professionnelle. La loi Le Chapelier sʼefface donc devant une volonté dʼasseoir les libertés républicaines. Le droit dʼadhérer à un syndicat et de défendre ses droits

que celui du régime quasi-totalitaire qui y règne car en refusant la reconnaissance des syndicats, le patronat se met un grand nombre de ses ouvriers à dos. Cette manifestation marquera de façon définitive l’histoire du mouvement ouvrier, du syndicalisme et du socialisme. Les ouvriers ne sont pas prêts de renoncer à ce à quoi ils aspirent, d’autres mobilisations sont prévues dans les jours à venir…

problématique patronale est une idée intéressante et réalisable. Toutefois, comme le précise l’auteur, il y a risque de rupture entre la base et les élites. La formation et l’éveil syndical de masse serait un préalable impératif à la construction du syndicalisme futur. L’identification du collectif au pair, au « team leader syndical » restant une condition impérative à l’adhésion. C’est à tous les niveaux de l’organisation que cette identification doit être en accord avec le collectif.

Cassation chambre Sociale arrêt du 22 septembre 2010, pourvoi n° 10-10678 La notion de syndicat apparaît en 1919, au moment de la création de l’Organisation internationale du travail, puis est introduite en droit interne français en 1925. La représentativité est définie comme l’aptitude reconnue à un syndicat d’être le porte parole des salariés dont il prétend défendre et promouvoir les intérêts. En France il existe un pluralisme syndical. La question des critères de la représentativité

CONCLUSIONS, SOUS TOUTES RESERVES POUR: Mr …………………………………. …………………………………. DEMANDEUR CONTRE: ……………………….. ……………………….. ………………………. DEFENDEURS FAITS ET PROCEDURE LES FAITS Mr ……..: a été embauché par la ………..le………….en qualité de…….. En date du……….Mr ……… a été nommé délégué syndical par la fédération de la …… Au sein de la sociétée……………., celui çi a du effectuer de nombreux trajets pour des entretients diciplinaires……………….. à l’égard de nombreux salariés et cela en qualité d’assitant

LE comité d’entreprise (543-579) Cette IRT est l’objet d’un « consensus à la française ». Du côté patronal celui-ci apprécie qu’elle préserve l’autorité de l’employeur : c’est une I° consultative, et l’employeur n’est pas tenu de suivre son avis. Côté salarié, elle permet d’obtenir des informations utiles et d’essayer d’influencer les décisions de l’employeur (sans être impliqué dans des responsabilités de gestion) La loi détermine : I. Champ d’application Les salariés élisent représentants

Dvlpt du syndicalisme et mise en place de legislat° sociales * Syndicat ? * Legislat° sociale ? * Les partis socialistes ft press° pr dvlp la legislat° sociale A. Dvlpt du syndicalisme ouvrier 1. Durant le 2ème moitié du 19ème, législat° des syndicats ouvriers(P.I) * 1884 : liberté syndicale(sauf pr fonctionnaire) * 1895 : créat° de la CGT en F. * Dvlpt act° synd.+croiss. Des effectifs synd.(important contrastes entre Etats) 2. 2 types de syndicalisme s’opposent

conflit est un processus qui vise à rendre plus stable et moins conflictuelles les relations entre les partenaires sociaux en les organisant par l’établissement de normes formelles et informelles. Cependant, depuis un quart de siècle, le syndicalisme connaît un reflux sensible. En France, ce mode d’association volontaire, structurée sur une base professionnelle, pour la défense d’intérêts communs, a perdu plus de la moitié de ses adhérents : ils sont moins de deux millions aujourd’hui, toutes

évoluera, mais au départ non. C’est un droit qui se révèle inégalitaire en faveur de l’employeur. Dans le code civil, l’article 1781 (abrogé), prévoit que le maitre est cru sur son affirmation quant aux paiements des gages. Ensuite la grève et le syndicalisme sont interdits. Et réprimés par ce que l’on appelle le délit de coalition. C’est la loi Le chapelier des 14 et 17 juin 1791. Un peu plus tard, un droit protecteur des travailleurs commencent à apparaitre avec la loi de 1841 qui limite la durée