Anaxagore

culture grecque : Rien de trop par exemple. Mais on trouve également des interrogations sur la possibilité de la connaissance chez les Présocratiques : À cause de la faiblesse de nos sens, nous sommes impuissants à distinguer la vérité. Anaxagore La vérité est au fond du puits. Démocrite Il n'y a jamais eu, il n'y aura jamais un homme qui connaisse avec certitude ce que je dis des dieux et de l'univers. Quand même il rencontrerait la vérité sur ces sujets, il ne serait pas sûr

outils nécessaires au spectateur et lui permettre de comprendre qu’une vision utopique de la vie devient indubitablement piquante et qu’il a déjà ce qu’il faut, en lui, pour (re) devenir un homme heureux. Après tout, le philosophe atomiste ionien, Anaxagore de Clazomènes avançait déjà, au 5e siècle avant J.-C., que « rien ne naît ni ne périt, mais des choses déjà existantes se combinent, puis se séparent de nouveau ». Comme quoi nous pouvons être communautairement heureux même ancrés dans notre solitude

des sages (sophoi) dont les préoccupations sont en premier lieu orientées sur la nature : la formation du monde, les causes de son ordre et de sa diversité. Outre les trois auteurs cités plus haut, on mentionnera Héraclite, Empédocle et Anaxagore. (Cf. texte No 1 “Les philosophes présocratiques selon Aristote”). Les Sophistes Le système démocratique qui s’instaure à Athènes au Ve siècle av. J.-C. est sous-tendu par la parole. Tout homme libre peut, s’il le désire, influencer

celle-ci. Certes l’hommes va travailler mais s’il doit travailler c’est pas le signe d’une faiblesse mais ça montre qu’il est plus parfait que les autres. Platon et Socrate disent la même chose, ils contredisent donc Protagoras. Texte d’Aristote Anaxagore (Are) : « homme intelligent (It) pcq il a des M » C’est un philosophe du -5ème siècle (présocratique), philosophe matérialiste Pour lui les M sont la cause de l’intelligence (Ice) de l’homme. Aristote (Ate) : « homme a des M pcq il est It »

de la modénature et des systèmes constructifs de l’antiquite romaine. L’admiration que vouait la Renaissance pour tout ce qui touchait l’antiquité ne se limitait pas a son architecture mais aussi a ses philosophes :Socrate, Platon, Aristote et Anaxagore pour qui « L’homme est la mesure de toute chose » Ce qui a amené une nouvelle vision de de l’homme et de sa destinée et comme une valeur en soi. Base de tout l’humanisme de la Renaissance. Le voyage a Rome était un impératif pour les architectes

chose » : signe de purification, de renaissance, de vie. Sans guerre, l’homme tombe dans le nihilisme. Le « cosmos » représente le monde. Le « macrocosme » est composé d’une infinité de « microcosmes » (ex : univers  homme  organes  cellules…). ANAXAGORE pose l’idée d’un principe non-matériel, supérieur, qui ordonne le monde à partir du chaos  c’est le « nous » (= intellect), qui est un esprit impersonnel (≠ création = faire advenir quelque chose « ex nihilo »). Il y a une matière informe et l’intellect

l’asservissement de l’individu par la cité. Au fil des années, le respect du culte avait disparu, il eut la croyance à l’âme humaine ou à la divinité immatérielle. Plusieurs philosophes se succédèrent pour contrer cette pratique à savoir : Pythagore, Anaxagore ; les sophistes ont parlé de la non utilisation des vieux usages et les lois sacrées mais plutôt l’utilisation de l’agissement de volontés libres ; Socrate a parlé du respect des règles de conduite et non de la tradition ; Platon et Aristote ont

⟹ N’exclut pas la prière MAIS doit être seulement une prière de louanges sans contrepartie → Référence à la notion de “religion” ↳ “Il n’y a rien à craindre de la mort” : principe de la conservation de la matière énoncé par Anaxagore de Clazomènes → “Rien ne vient de rien et rien ne retourne au néant” ↳ Âme est matérielle : quand le corps meurt il retourne à sa nature → Référence à la notion de “nature” ↳ Mort = absence / privation de sensibilité

l’accepter et nous y soumettre. Anaxagore de Clazomène Anaxagore est né à Clazomène en Ionie, vers 500. Il est notamment célèbre pour avoir été l’ami et peut-être le précepteur de Périclès à Athènes. Anaxagore considère que : « Rien ne naît, rien ne périt : il n’y a que réunion et séparation des éléments existants, et on pourrait légitimement dire que la naissance est une agrégation, la mort une séparation. » Diels-Kranz, Fragments des présocratiques, Anaxagore B 10 Tout est dans tout, chaque

liberté de choix, n'oublions pas que les règles impliquent aussi la transgression, ou notre indifférence face à elles, et aussi, ce n'est pas parce que nous suivons les règles que nous sommes d'accord avec elles, ce sont les anciens philosophes comme Anaxagore qui disaient que nul ne pouvait jamais être vraiment contraint, car quand on oblige quelqu'un à quelque chose, c'est qu'on reconnaît sa liberté, sinon on ne dirait pas qu'on l'oblige. De même dire que la liberté est une illusion, c'est se contredire