André Comte-Sponville

                                                                                                                                                                                                                                                                                     André COMTE-SPONVILLE et FERRY, La sagesse des modernes : vie de l’esprit à la fois produite et déterminée par la matière ⋄ pensée matérialiste, réductionnisme qui s’appuie sur le déterminisme                                                                     

travail pour tout le monde, ce qui à permis à un plus grand nombre de gens de s’enrichir, mais en comparaison avec encore tout les riches dirigeants qui roulent sur l’or alors que beaucoup trop de monde sont dans le besoin. Comme mentionne André Comte Sponville dans son ouvrage Le capitalisme est-il moral ? : «Dans un pays capitaliste, l’argent va d’abord aux plus riches et non à ceux qui en auraient le plus de besoin, les pauvres». Par exemple, un grand actionnaire d’une multinationale peu faire

J'ai appris que pour être prophète, il suffisait d'être pessimiste. » Voltaire « Tous les événements sont enchaînés dans le meilleur des mondes possible. » 2. Livres disponibles à la Maison des Savoirs. ♦ Le bonheur, désespérément / André Comte-Sponville. - Pleins Feux, 2000 ♦ Candide ou l'Optimisme : texte intégral / Voltaire. - Larousse, 1998 190 COM* 190 VOL ♦ Le Choix des mots ; suivi de La joie et son paradoxe / Clément Rosset. - les Ed. de Minuit, 1995 190 ROS ♦ Eloge du pessimisme

contrat social, manifestation formelle du respect de l’autre, hypocrisie, mensonge, absence de spontanéité. Si la politesse est une valeur, c’est souvent une vertu de pure forme. Diderot dénonce la « politesse insultante des grands » et André Comte-Sponville parle de « celle, obséquieuse ou servile, de bien des petits ». Pour La Bruyère, « La politesse, si elle n’est pas la vertu, en donne au moins les apparences et fait paraître l’homme au dehors comme il devrait être intérieurement ». Kant

peux témoigné que je vis aussi des moments de bonheur et de malheurs comme tout hommes croyants ou non. Je ne vis pas sans cesse dans le malheur et le désespoir. Depuis que j'ai lu et travaillé sur « La plus belle histoire du bonheur » de André-Comte Sponville, je me suis déjà plusieurs fois surprise à penser, en entendant une phrase ou une parole, à ce livre et à comparer avec les choses dites dedans. Je me suis rendue compte qu'inconsciemment les gens se projettent sans cesse dans le futur en voulant

dans l'urgence reviennent à se poser la question de l'éthique du capitalisme et de sa capacité à être moral. Une question qui mérite sans doute un détour par la philosophie ; c'est justement la démarche adoptée par le Figaro qui a rencontré André Comte-Sponville. • Plus belle la vie…avec un meilleur de pouvoir d’achat ? C'est la question que semblent se poser les acteurs de PBLV. En effet, leurs salaires n'ont pas augmenté en 2009, si bien que certains " récurrents " songent à partir… Mais leur

opprimer, ne pas asservir, ne pas violer, ne pas voler, ne pas humilier… Fondé sur le respect et la justice, cet humanisme-là revient donc à respecter les droits fondamentaux de l'être-humain(AkA E-V). C'est dans ce sens qu'André Comte-Sponville s'exprime : « _L'homme n'est pas mort : ni comme espèce, ni comme idée, ni comme idéal. Mais il _est mortel ; et c'est une raison de plus pour le défendre ». (_Présentations de la philosophie_) Un courant humaniste en émergence depuis

inégalités proviennent elles aussi de ce dernier. Pierre Bourdieu, et Jean-Claude Passeron, tout comme Pierre Merle, remettent en question l’égalité des chances et juge cette dernière défaillante. Ils montrent que l’école favorise les favorisés. André Comte-Sponville, philosophe français, croit lui que l’égalité des chances, si elle était pleine, pourrait lutter contre la reproduction sociale. Les enfants auraient une chance de ne pas rester prisonnier de la catégorie socio-professionnelle de leurs parents

de Sisyphe, Paris, Gallimard, 2010, 187 p. -CHESTOV, Léon, Kierkegaard et la philosophie existentielle, Paris, Librairie philosophique J. Vrin, 1998, 384 p. -CHESTOV, Léon, Les révlations de la mort, Paris, Librairie Plon, 1923, 230 p. -COMTE-SPONVILLE, André, Pensées sur la mort, Paris, Albin Michel, 1998, 69 p. -JANKÉLÉVITCH, Vladimir, La Mort, Paris, Flammarion, 1966, 426 p. -JANKÉLÉVITCH, Vladimir, Penser la mort?, Paris, Liana Levi, 1994, 139 p. -JOLIVET, Régis, Le problème de la mort chez

raisons complémentaires à ce retour de la mo- En même temps que se développe le prolétariat, naît une autre classe sociale détentrice du capital : la bourgeoisie rale, qui relèvent de trois durées différentes[66] : capitaliste. Le philosophe André Comte-Sponville avait posé la question de savoir si le capitalisme était moral dès avant la crise économique de 2008. Selon lui, on parle davantage de morale dans les discours et les préoccupations du fait que la morale fait défaut dans les comportements humains[65]