Annexe embryonnaire

exposé 5 Les cellules souches embryonnaires de souris et les premières étapes de Knock-out Notre sujet traite des cellules souches embryonnaires, également appelées les cellules ES (pour Embryonic Stem). Nous les étudierons particulièrement chez la souris, car c’est un organisme proche de l’homme au niveau du développement embryonnaire. Les scientifiques ont donc beaucoup utilisé ce modèle pour l’étude des gènes (99% des gènes de la souris ont un homologue chez l’homme). Nous allons vous expliquer

personnels encadrés année 2013 - classe de Première S Travail réalisé par: * Perez Imanouel * Pirnay Guillaume * Sadia Ouri Sommaire INTRODUCTION 3 I. Les cellules souches 4 a) Définition 4 b) Les cellules souches embryonnaires 6 c) Les cellules souches fœtales 7 d) Les cellules souches adultes 8 e) Thérapie cellulaire et applications 9 II. Utilisation des cellules souches pour les maladies dentaires 11 a) Une pathologie principale: la carie 11 b) Cellules

peut s'opérer un clonage reproductif (vrais jumeaux) par scission embryonnaire. Étymologiquement totipotence signifie "tout pouvoir" indiquant que théoriquement ces cellules peuvent être différenciées en tout type cellulaire de l'organisme qu'elles devaient conduire à former (cellules épithéliales, neuronales, hépatiques...). Les cellules souches pluripotentes dont font partie les cellules ES (embryonnaires souches) : les cellules ES ne peuvent pas produire un organisme entier

des tissus. Cependant la découverte des cellules souches remonte au milieu du XXème siècle. Dans les années 1950, les médecins Leroy Stevens et Barry Pierce déduisent l’existence grâce à leur études des tumeurs, ont isolé les cellules souches embryonnaires dans la moelle osseuse, c'est-à-dire des cellules qui sont capables de générer toutes les cellules sanguines. Les premières greffes de moelles osseuses ont été faites chez l’homme en 1957 par E. Donnall Thomas à New-York, aboutissant au décès

de vieillissement) par transplantation de cellules saines qui vise à remplacer les cellules malades de l’organe concerner et lui redonner une entière activité. Le plus souvent ces implants cellulaires sont produits à partir de cellules souches embryonnaires (cse) ou cellules souches pluripotentes induites (ips) Régulièrement, des malades atteints de cancers du sang sont traités et guéris par thérapie cellulaire, tels que des patients atteints de leucémie, par exemple. Les greffes de moelle osseuse

souches embryonnaires et les cellules souches adultes, qui ont des caractéristiques distinctes (on utilise également des cellules souches fœtales, qui ont des caractéristiques intermédiaires). Des cellules souches ont été isolées à partir du blastocyste d'embryons de souris il y a plus de 20 ans. Les techniques utilisées chez la souris ont permis, en 1998, d'isoler des cellules souches humaines, dérivées d'embryons fertilisés surnuméraires. Les cellules souches embryonnaires, dérivées

cellules hautement différenciées (nerveuses, musculaires, hématopoïétiques). IL Y A DIFFERENTS TYPES DE CELLULES SOUCHES Soit des cellules souches embryonnaires Soit des cellules souches fœtales Soit des cellules souches adulte Les cellules qui vont nous intéressée ici sont les cellules souches embryonnaires. Les cellules souches embryonnaires sont des cellules obtenues à partir d'un embryon à un stade très précoce, elles vont être à l'origine des lignées cellulaires d'un individu, Ces cellules

Les cellules souches embryonnaire Les cellules souches embryonnaires ont été identifiées en 1981 chez la souris par Martin Evans, Kaufman et Martin, et en 1998 chez l’homme par les équipes de James Alexander Thomson, de Joseph Istkovitz-Eldor et de Benjamin Reubinoff les cellules ES humaines n’ont cessé de se développer, en raison notamment des enjeux thérapeutiques considérables qu’elles suscitent.  Les cellules souches embryonnaires proviennent de l’embryon humain aux tout premiers stades

appartiennent. 167 états membres ont ratifié la Cites (dont tous les pays de la communauté européenne). Au total, quelque 25 000 espèces végétales et 5 000 espèces animales sont couvertes par les dispositions de la convention et inscrites à l'une des trois annexes de la Cites selon le degré de protection dont elles ont besoin. L'annexe I comprend toutes les espèces menacées d'extinction, comme les grands singes, l'esturgeon, le bois d'acajou... Le commerce de leurs spécimens n'est autorisé que dans des conditions

zone du golfe du Lion, mise en place par la CGPM afin d’assurer la protection des grands reproducteurs (merlu, baudroie, thon rouge)) A noter: les acteurs du Grenelle de la mer étaient parvenus à un consensus sur l'inscription du thon rouge en annexe de la CITES mais n'étaient pas parvenus à un accord sur le numéro de l'annexe. Et pour cause, puisque l'annexe II est moins protectrice que l'annexe I. Le 9 septembre 2009, la Commission européenne propose aux pays de l’UE de soutenir une interdiction