Anorexie

Syndrome anémique : pâleur et/ou signes d’anoxie (palpitations, dyspnée…) Syndrome hémorragique : purpura, ecchymoses ou hématomes anormaux Syndrome infectieux inexpliqué, persistant, récidivant ou grave Une altération de l’état général : asthénie, anorexie, amaigrissement, fièvre… 2) Des signes évoquant une augmentation d’une ou pluseurs lignées sanguines : Erythrose cutanée ou prurit à l’eau chaude Thromboses artérielles ou veineuse Syndrome tumoral : adénopathies, splénomégalie 3) Bilans systématiques :

.............7 La privation alimentaire n’est pas d’aujourd’hui. Durant l’époque médiévale, le jeûne était utilisé pour prendre la parole ou pour contester. De nos, il y a encore un jeûne répandu surtout dans les sociétés occidentales appelé anorexie mental, dû à un idéal physique établit par ces sociétés. Il est intriguant de constater qu’à une époque aussi différente et éloignée, les femmes encore aujourd’hui utilisent ce moyen d’automutilation. « De nos jours, nous n’accordons pas la même

Analyse de la pratique Mon analyse de pratique sur ce stage portera sur les notions de refus de soins en service de Médecine Cancéro/Gastro/Néphro. Madame H agée de 71 ans est entrée dans le service en urgence pour altération de l’état général avec anorexie. Cette une patiente qui est traitée par radiothérapie pour un cancer ORL, elle peut difficilement parler a cause de l’inflammation de ses cordes vocales liée au traitement. Madame H est dépressive, et refuse d’être accompagnée par la psychologue

importante. Mais l'adolescente ne demande rien et ne se juge pas malade. La restriction alimentaire s'est souvent aggravée et le syndrome anorexique s'est mis en place. Il s'agit surtout de la triade : anorexie, amaigrissement et aménorrhée. L'amaigrissement L'amaigrissement est le premier symptôme visible de cette pathologie, même s'il ne se voit qu'au bout d'un certain temps. Cela ne peut commencer que par un ralentissement de la croissance pondérale

orale) : Lutter contre la survenue de polyarthrite rhumatoïde. Posologie : 2 comprimés le lundi matin Effets indésirables importants : Toxicité hématopoïétique : Thrombopénie Toxicité digestive : Nausées, vomissements, douleurs abdominales, anorexie, diarrhée Toxicité rénale : Insuffisance rénale Toxicité cutanéomuqueuse : Chute des cheveux, éruption cutanée Autres : Hyperthermie, Ostéoporose STILNOX 10mg (voie orale) : Lutter contre les insomnies. Posologie : 1 la nuit à 22 heures Effets

éducatives, la maltraitance, le sentiment d'échec, la souffrance psychique et des parents en difficulté. Régulièrement au sein du foyer, ces problématiques se traduisent par une violence physique et psychologique dirigé vers soi (scarifications, anorexie, boulimie, sexualité non protégée, alcoolisation, prise de stupéfiants, fugues,...). C'est autour de ces situations que l'équipe se mobilisera. II. Façon dont l'équipe gère un problème collectif 2.1. Un ensemble de situations problématiques

ou grippe commune Elle sévit sur un mode épidémique saisonnier essentiellement autumno-hivernal. Elle se traduit chez l'être humain par un ensemble de signes non spécifiques associant fièvre, céphalées, toux, pharyngite, myalgies, asthénie et anorexie. Ces symptômes, éléments du syndrome grippal dont la grippe n'est qu'une cause parmi d'autres, font évoquer le diagnostic par la soudaineté de leur apparition, leur survenue en période d'épidémie grippale et leur disparition habituelle après quelques

futur psychisme adulte, ce sont peut-être les plus difficiles à dépister et celles qui amènent peut-être le plus difficilement l’adolescent à consulter : d’un certain côté, elles  le  protègent pour un temps d’un monde réel qu’il redoute.   4-Les anorexies : C’est la restriction volontaire de nourriture associée à : – une perte de poids de plus de 15% par rapport au poids antérieur ou au poids corrélé à  la taille (P/T²) – une aménorrhée – des troubles trophiques : peau sèche, cheveux fins et cassants

pivot de cette activité auto-immune. Ces interleukines seraient responsables : • d’une activation de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien. Elles seraient à l’origine de l’hypersécrétion de CRH ; • des symptômes non spécifiques de la dépression (anorexie, troubles du sommeil…) en agissant au niveau du système nerveux ; • d’une réduction du tryptophane libre plasmatique, précurseur de la sérotonine dans le cerveau. Les cytokines pro-inflammatoires (IL-1, IL-6, IFNγ…) activeraient une enzyme de dégradation

Altération de la conscience : Avec des troubles de l’attention et de la concentration, fascination Autres signes : angoisse persistante, Troubles du comportement, Hyperactivité psychomotrice, Trouble des fonctions élémentaires (insomnie, boulimie/anorexie, incurie), Claustration (réclusion volontaire, enfermement) Etiologie : La BDA correspondrait à l’effondrement brutal des mécanismes défensifs de la personne. Survenue d'un évènement déclenchant, à l'origine d'un choc émotionnel intense : deuil