Anticholinergique

dépresseurs du SNC ANTIHISTAMINIQUE H1 : HYDROXYZINE 1- Propriétés : Antihistaminique H1 dérivé de la pipérazine : un antagoniste compétitif des récepteurs H1 de l’histamine Antiallergique Antiprurigineux Sédatif Anxiolytique Effet anticholinergique Sans dépendance physique ou psychique Cas de surdosage : pas de dépression respiratoire 2- Données pharmacocinétiques 3- Indications : - Anxiété, insomnie d’endormissement - Manifestations allergiques diverses : Prurit, urticaire,

poidsSomnolenceAnxiétéÉpisode maniaqueEffets anticholinergiques : sécheresse buccale, constipation, trouble de l’accommodation (flou visuel), rétention urinaireLevée d’inhibition (risque suicidaire) et le risque de virage maniaque les 15 premiers joursAmélioration de l’humeur au bout de 2-3 semainesApparition des effets indésirablesAlimémazine (Theralene ®)5mg – 2 à 3 cp si insomnieTraitement des insomnies (antihistaminiques) Allergie connueInsuffisance hépatique ou rénale SédationEffets anticholinergiques : sécheresse buccale

rectale, la résorption étant moins efficace et très variable. Les concentrations plasmatiques thérapeutiques sont de 8 à 32 µg/ml [6]. Le pic de concentration plasmatique peut être retardé avec la prise de nourriture, d’opioïdes et de substances anticholinergiques [8]. Le paracétamol diffuse passivement dans tous les tissus et son volume de distribution est de 1 l/kg. Il traverse la barrière hémato-encéphalique et le placenta, et peut donc être hépatotoxique pour le fœtus. Sa concentration dans le lait

Désensibilisation = seul traitement curatif ( rhinite et asthme ++) Immunothérapie allergénique GRAZAX : extrait de pollen de graminées (cp) 4) Antihistaminiques H1 * Anticholinergiques POLARAMINE ATARAX APAISYL PRIMALAN : somnolence , sécheresse CI : 1er trimestre de grossesse, glaucome, adénome prostatique * Non anticholinergiques CLARITYNE VIRLIX AERIUS XYZALL KESTIN MIZOLLEN TELFAST WYSTAMM ; nov 2011 : BILASKA et INORIAL * d’action locale : - crème, nasal ( ALLERGODIL), collyre ( LEVOPHTA

Dyschinésies aiguës : ce sont des épisodes de contractions musculaires involontaires et incoercibles touchant la face, le cou, la langue, les yeux ; elles sont favorisées par les émotions et associées à une forte angoisse. Elles sont corrigées par des anticholinergiques : 1 amp LEPTICUR* inj. , puis relais par les comp., si nécessaire, LEPTICUR*, PARKINANE*, AKINETON*, ARTANE* ou par des BZD à fortes doses. - Syndrome hyperkinétique : akathisie : impossibilité de rester assis, takinésie : manifestations

synthèse de lymphocytes T régulateurs TRAITEMENT  Traitement de la crise : soulage rapidement les symptômes, ouvre les bronches * les bronchodilatateurs bêta 2 mimétiques d'action rapide sous forme inhalée * en cas d'urgence associés aux anticholinergiques * en cas AAG : hospitalisation + bêta 2 stimulants courte durée d'action en S/C + corticoïdes IV + oxygène à fort débit  Traitement de fond : soigne cause de l'asthme ( inflammation), sur du long terme, en cas d'asthme non contrôlé, crises

l’estomac 2. La vitesse d’absorption est augmentée par les anticholinergiques 3. Son absorption percutanée est possible 4. Son volume de distribution chez l’homme adulte est de 7 litres par kg de poids corporel 5. L’éthanol ne diffuse pas dans le placenta QCM 13 • Concernant l’éthanol, quelles propositions sont justes ? 1. Est absorbé partiellement au niveau de l’estomac 2. La vitesse d’absorption est augmentée par les anticholinergiques 3. Son absorption percutanée est possible 4. Son volume de

mouvements rapides incontrôlables, qui font intrusion dans le flot normal de l’activité motrice. Les hyperkinésies sont : -Supprimées ou atténuées par des antagonistes D2 de la DA et par l’Ach. -Favorisées par la DA ou ses agonistes et par les anticholinergiques. On distingue dans les hyperkinésies les chorées et les tics. - La chorée apparaît sous la forme de mouvements rapides du tronc, de la tête, du visage et des membres interrompant brutalement un mouvement normal. Elle correspondrait

niveau des vésicules synaptiques centrales, mécanisme impliqué dans le contrôle de la transmission de la douleur. |Somnolence, Sueurs, nausées, vomissements, hyperhydrose (transpiration anormalement abondante localisée ou généralisée) -Signes anticholinergiques : sécheresse des muqueuses, Tachycardie, palpitations et Rétention urinaire -Vertiges -Irritabilité. |Il ne provoque ni accoutumance, ni dépendance, ni phénomène de sevrage. Son utilisation prolongée n’est pas suivie d’un épuisement de son

épaules -Pneumonies ayant nécessité des hospitalisations en 1999, en 2010, et en 2013. Traitement à domicile : -Oxygénothérapie 2 litres par minute, 12 heures par jour - LOXEN 20 mg (antihypertenseur) 1 gel x 3 par jour -Aérosol ATROVENT (anticholinergique) 2 fois par jour -Aérosol VENTOLINE (bronchodilatateur) 2 fois par jour -DAFALGAN (PARACETAMOL, antalgique et antipyrétique) 500 mg 3fois par jour. Quelques jours avant son hospitalisation, Mr P. s’est senti de plus en plus fatigué, essoufflé