Anticipation rationnelle

cette logique par : Optimisation des ressources (adéquation ressources et besoins) Organisation rationnelle (système d’information adapté, planification de ses activités) Mise en œuvre d’une stratégie permettant de mobiliser aux mieux les ressources disponibles (homme etc…) Mise en place de structures de contrôle (reporting), d’évaluation permettant de déterminer les écarts entre les anticipations (prévision) et réalisations 2. « La réalité » et le management Le management n’est pas une science

Efficacité Equité 2. Le coût d’une chose mesure à quoi on renonce pour l’obtenir Comparer les coûts et les bénéfices des alternatives qui se présentent Coût d’opportunité : c’est à quoi il faut renoncer pour obtenir qc 3. Les individus rationnels raisonnent à la marge Variation marginale : ajustements de faible ampleur concernant un plan d’action choisi 4. Les individus réagissent aux incitations (Ansporn) Leur comportement peut changer lorsque les coûts ou les avantages se modifient

autres choix possibles  vont choisir celle qui procure le maximum de satisfaction pour un cout donné Rationalité d ‘un individu : capable de classer les choix possibles par ordre de préférence et recherchent le maximum de satisfaction Un individu rationnel cherche à satisfaire ses besoins au mieux : ne laisse pas passer l’occasion d’améliorer sa situation, c’est a dire de bénéficier d’avantages supérieurs aux couts supportés pour les obtenir. Attention, seuls les individus ont des besoins  dans une

« bulle spéculative » lorsque le prix d’un actif, qu’il soit un titre financier, une devise, une monnaie, un immeuble… s’écarte de sa valeur d’équilibre déterminée par ses fondamentaux. La bulle se caractérise par des anticipations auto-réalisatrices, elle éclate quand les anticipations se retournent. Les bulles spéculatives s’accompagnent d’une hausse des prix, des taux d’intérêt et de la vitesse de circulation de la monnaie. Phase de détresse financière : les spéculateurs les plus avertis commencent

c’est la concurrence réalise la situation optimale. Les deux courants, aboutissant à des propositions normatives différentes, ont néanmoins un point en commun : ils reposent tous deux sur l’hypothèse de l’électeur rationnel. L’électeur est peut-être mal informé, mais il demeure rationnel (c’est-à-dire, pour retenir une définition consensuelle, cohérent avec ses préférences). Il est même « rationnellement mal informé », comme le disait Downs : il faudrait être irrationnel pour payer le coût de s’informer

Deux thèmes chez Smith sont encore au cœur des débats : * La conduite des individus est dictée par leurs intérêts personnels. On parle d’homo oeconomicus : dans le comportement de production et de circulation des biens on considère les agents rationnels. * Ce qu’on appelait l’harmonie sociale c’est à dire le « tenir ensemble «  de la société pour Smith est produite non pas par l’Etat mais par la coordination des intérêts individuels sur le marché. Ces deux thèmes sont des thèmes centraux de

est fragile. La passé renvoie à l’histoire personnelle. Il est lacunaire et déformé. c’est une interprétation, parfois un refoulement. Il laisse des traces indélébiles. Nous faisons une réappropriation constante de notre passé. Le futur est une anticipation. c’est une continuité ou une rupture. Il rencontre des imprévus que nous ne gérons pas. Il peut être une indétermination qui peut générer des angoisses. C’est un horizon temporel qui sans cesse recule. Dans le cadre du projet, le futur trop éloigné

long terme et, d'autre part, les répercussions directes des indirectes (cf. Buiter, 1977). Dans une analyse de l'éviction à long terme, les variables qu'on suppose normalement exogènes dans le court terme - notamment les stocks d'actifs et les anticipations - peuvent devenir endogènes, ce qui permet d'apprécier les répercussions d'une modification de la politique économique une fois que ces variables ont pris leur valeur d'équilibre. Dans ce type d'analyse, la question cruciale est le Comportement

Donc il résulte des inefficacités dans les activités de la production et de la consommation. Dans la troisième partie, l’auteur nous donne une description de la limite de la théorie. Il va principalement nous parler du concept de l’anticipation rationnelle: les agents économiques se mobilisent toute l’information disponible pour prendre des décisions sur la base de la théorie. Donc ils anticipent correctement les conséquences de toutes les décisions de la politique économique. Cette théorie n’affirme

considérées comme des politiques non optimales induisant à des résultats inflationnistes. A) le modèle d’analyse de Barro & Gordon Cette analyse est issue de toutes les controverses issue de la courbe de Phillips et la théorie de l’anticipation rationnelle. Barro et Gordon vont montrer que si l’objectif d’un gouvernement est a la fois le plein emploi et la croissance alors sa politique mènera toujours à l’inflation. Il n’y a une notion très importante a expliquer c’est la notion de crédibilité des