Anticipation rationnelle

« Pourquoi certains économistes sont-ils dénommés hétérodoxes ? »Introduction : L’hétérodoxie correspond à toutes les théories et paradigmes qui diffèrent du paradigme dominant, le mainstream ou l’orthodoxie. L’orthodoxie est le courant auquel adhère la majorité des économistes. Depuis le XIX ème siècle, elle est constituée du courant classique, néoclassiques avec également la synthèse classico-keynésienne qui se fondent sur la rationalité des agents, . Les hétérodoxes sont donc les économistes

des fluctuations plus importantes du produit. La préference pour la liquidité , c'est à dire la demande de monnaie, qui explique comment la politique monétaire affecte les taux d'interet et la demande effective. Enfin, l'importance des anticipations , qui influencent la consommation et l'investissement ; et l'idée que des esprits animaux (des modifications d'anticipations) sont un facteur majeur des variations de la demande et du produit. Les politiques keynésiennes de relance par la demande

LA FINANCE COMPORTEMENTALE OU LA PSYCHOLOGIE DE L’INVESTISSEUR La remise en cause de la théorie d’efficience des marchés est le point de départ de la finance comportementale. Selon l’hypothèse classique, les agents sont pleinement informés et rationnels, ils interprètent donc correctement ces informations, et ont pour seule motivation de maximiser leur « utilité financière ». Ils agissent en toute indépendance et leurs décisions mènent à un équilibre des prix. La théorie traditionnelle considère

fait, elle peut être sujette à caution, car, comme le remarque P. VALERY : "Ce qui est simple est faux, ce qui ne l'est pas est inutilisable". Cependant, comme la démarche statistique, dans la recherche de la simplification, est relativement rationnelle, il est possible d'affirmer qu'il n'y a de vérité que statistique, que tout le reste n'est que littérature. La réalité se traduit par des objets caractérisés par des distributions d'effectifs (absolus) et de fréquences (relatives). L'observation

puissance. Classification d’Oppenheim : - Processus psychologique «général» : analyse de la perception et du comportement organisationnel (socialisation politique, agression, réponses aux tensions) - Processus psychologique «spécifique» : (anticipation, surprise) Courant perceptuel (autonome face à l’approche psychologique) : - Précurseur : Brecher - Postulat : toute politique étrangère est la conséquence d’une interaction d’éléments quantitatifs et qualitatifs, au niveau interne (environnement

de 1929. En France, lors de la récession de 1993, l’impact des dépenses publiques fut estimé à 1% de la croissance. D’autre part, selon KEYNES, les dépenses publiques sont une composante de la demande effective. Cette demande effective est une anticipation par les entreprises de la demande globale de biens de consommation et d’investissement à venir. C’est donc sur cette demande anticipée par les chefs d’entreprise que Keynes base ses politiques de relance, ensemble de mesures et de dépenses mises

Cependant, la flexibilité des prix est une condition nécessaire au bon déroulement de ce processus. De même que les agents rationnels doivent formulés des anticipations correctes. Autrement, l'économie serait confronté à des chocs récessif ou bien un chômage persistant. Ce phénomène est décrit par la Courbe de Philips (relation décroissante entre inflation et chômage). Si les anticipations coïncident avec l'augmentation des prix, alors le chômage est à son niveau d'équilibre, et la courbe de Philips est

sous l'hypothèse d'anticipations rationnelles. 3) On introduit à présent l'équation de la demande agrégée : yt = a(mt − pt) + bπ e t où πt = ˙p désigne le taux d'ination. a) Pourquoi la demande dépend-elle positivement des anticipations d'ination? b) On suppose que le taux de croissance de la masse monétaire est constant et égal à θ. En déduire un système diérentiel exprimant π˙t et y˙t en fonction de πt et yt, sous l'hypothèse d'anticipations rationnelles. c) Tracez le diagramme de phase

un équilibre ? II - Est-ce que l’État a les capacités d’influencer sur le long terme les variables macro et microéconomiques ? A/ L’État peut-il établir des équilibres durables ? B/ L’intervention de l’État est-elle efficiente et rationnelle ?   De nos jours l’on constate facilement que sur des marchés déterminés, comme celui du travail en France, il y a de graves déséquilibres. Ceci provoque un chômage important et une exclusion sociale cruelle. En premier lieu, il convient de

pour revenir à un équilibre ?II - Est-ce que l’État a les capacités d’influencer sur le long terme les variables macro et microéconomiques ?A/ L’État peut-il établir des équilibres durables ? B/ L’intervention de l’État est-elle efficiente et rationnelle ? De nos jours l’on constate facilement que sur des marchés déterminés, comme celui du travail en France, il y a de graves déséquilibres. Ceci provoque un chômage important et une exclusion sociale cruelle. En premier lieu, il convient de distinguer