Antidreyfusard Et Dreyfusard

procès Dreyfus. Il est de nouveau reconnu coupable sur la base d’un faux dossier. Il est gracié par le Président de la République. 1906 : Alfred Dreyfus est réhabilité. Dreyfusards : * Prônent la Justice et l’Egalité * Luttent pour les Droits de l’Homme * Création de la Ligue des Droits de l’Homme | Antidreyfusard : * Prônent l’honneur de l’armée, la grandeur de la France * Défendent le catholicisme * Création de : L’action Française (monarchistes) de la Ligue de la Patrie Française

d’Emile Zola Durant les dernières années de sa vie, le romancier naturaliste Emile Zola, s’est fortement engagé dans l’affaire Dreyfus, qui a bouleversé la société Française, et qui l’a profondément déchiré en deux camps opposés les ‘’dreyfusards’’ et les ‘’antidreyfusards’’ , ce qui a provoqué des manifestations violentes d’étudiants d’antisémitisme. C’est pourquoi l’auteur va s’adresser aux jeunes Français, dans une lettre classée dans « J’accuse » (article de presse résumant l’affaire Dreyfus qui

mais il ne sera pas condamné, et Dreyfus reste au bagne. En 1898, Dreyfus est défendu par Zola, il publie « j’accuse » → accuse le Pr de la R, ministres.. de mentir. Le débat politique divise la société en 2 : ceux pour Dreyfus (dreyfusards) et ceux contre (antidreyfusards) L’affaire remets en cause les valeurs de la république : liberté de conscience ( croire en une religion) , justice, égalité. En 1906, Dreyfus réhabilité et réintégré à l’armée. Victoire de Dreyfus = victoire des républicains

l’affaire. La deuxième partie se divisera elle-même en 3 autres parties. La première abordera l’affaire en général, de ce qu’il s’est passé et de comment cela a fini, la seconde parlera des dreyfusards (les premiers défenseurs de Dreyfus, ceux qui le soutiennent dès le début.) et la troisième, des anti-dreyfusards (ceux qui sont « contre » celui-ci). PREMIERE PARTIE : LE CONTEXTE POLITIQUE A. La Troisième République La Troisième République a été fondée en réaction contre le second Empire

Zola publie un article intitulé « J’accuse » dans le journal L’Aurore, ou il accuse l’armée d’avoir condamne un innocent. Deux partis émergent alors de l’affaire Dreyfus : les Dreyfusards et les antidreyfusards. La ligue des droits de l’homme est créée en cette occasion pour soutenir Dreyfus, alors que pour les antidreyfusards le prestige de l’armée et la décision de l’État ne doivent pas être remises en cause. A la suite d’un procès de révision en 1899 Dreyfus est condamné à dix ans de détention avant

l’arrestation d Alfred Dreyfus fait l’objet de 100 000 articles publiés jusqu’à sa réhabilitation en 1906. L’opinion publique entière est mobilisée et divisée du côté Dreyfusard, ou antidreyfusard. Soulignons d’ailleurs que si l’édition du journal l’Aurore du 13 janvier 1898 en faveur du capitaine Dreyfus est mythique, le nombre d’articles antidreyfusards est grandement majoritaire. Dans le cadre de cette affaire, la presse contribue fortement à la culpabilisation de Alfred Dreyfus. En définitive, l’influence

de trahison et condamné sans preuve par un tribunal militaire. L’armée, l’Eglise catholique et le parlement refusent de remettre en cause la chose jugée malgré les preuves de l’innocence de Dreyfus. Le pays est divisé entre dreyfusards et antidreyfusards. Le mouvement dreyfusard s’organise autour d’intellectuels, comme Emile Zola. Il considère que la République doit d’abord sauvegarder les droits de l’individu en application de la DDHC. Le pays est divisé en deux. Dreyfus est finalement réhabilité

citoyens, permettre l'ascension sociale et la diffusion des progrès. *1894-1906 : Affaire Dreyfus : Elle débute par l'accusation, à tord, pour espionnage, d'un officier français juif. La France se divise entre dreyfusards qui dénonce l'injustice fondée sur l'antisémitisme et les antidreyfusards, nationalistes et xénophobes. *1905: La séparation de l'église et de l'état : Elle fait de la république un état laïque qui garantit la liberté de culte mais n'en finance aucun. La religion est considérée comme

est retrouvé à l'ambassade d'Allemagne. Le coupable est alors désigné . Dreyfus, membre de l'armée et juif. Des analyses graphologiques sont faites et peuvent confirmer les soupçons. Deux camps se définissent alors. Les Dreyfusards qui soutiennent l'accusé et les Antidreyfusards, antisémites en général. Alors que le véritable coupable est connu, Zola et Clémenceau défendent fermement Dreyfus. Zola notamment dénonce l'armée française dans « J'accuse! » publié dans le journal l'Aurore. A l'issue de

fin de la tentation autoritaire. Le scandale politico financier de Panama anima lui aussi le camp de l’antiparlementarisme (régime corrompu, etc). Ce fut suite à la longue « affaire Dreyfus » que la république fut définitivement acceptée : les dreyfusards ont défendu plus largement des notions de valeur morale par exemple, dont on retrouve trace ensuite au XXe siècle. La minorité royaliste ou Bonapartiste du XIXe n’est plus influente : la république prend le dessus. Plus précisément, la France