Antigène HLA

vésicules de Golgi, qui permettent de fabriquer des anticorps en masse, afin de neutraliser efficacement les antigènes. Les plasmocytes sont donc des lymphocytes B activés et capa les de produire des anticorps dirigés contre l’antigène activateur. Les lymphocytes B sont des cellules participant à la réponse immunitaire spécifique, c'est-à-dire qu’un lymphocyte B donné ne peut réagir que contre un antigène précis. Le système immunitaire est fait d’un système d’interactions complexe qui met en œuvre différents

virus. Les anticorps correspondent à la réponse immunitaire de notre corps, se sont les effecteurs. Les anticorps sont sécrétés par les lymphocytes B (plasmocytes). Les anticorps sont des protéines circulantes. Les anticorps vont venir se lier aux antigènes des cellules infectés ou des virus, puis ils vont créer des complexes immun. Il apparaît des lymphocytes T cytotoxiques (Ltc ou T8), ces lymphocytes sont spécifiques aux cellules infectées par le VIH. Les lymphocytes T cyotoxiques amènent à l'élimination

d'anticorps dans le sérum. Ainsi, le groupe sanguin A possédera des anticorps « Anti-B » et des antigènes A. Le groupe sanguin B possédera des anticorps « Anti-A » et des antigènes B. {draw:frame} Le groupe sanguin AB, lui, ne possédera pas d'anticorps mais les antigènes A et B. Inversement, le groupe sanguin O, possédera les deux types d'anticorps (« Anti-A » et « Anti-B »), mais aucuns antigènes. Le facteur Rhésus Les facteurs Rhésus (nommés Rh) sont des facteurs présents à la surface

membranaire du LT4. Il existe donc une grande diversité de LT4 permettant d’assurer le plus de reconnaissances possibles d’antigènes. 3. LE RÔLE PIVOT DES LT4 : 3. LE RÔLE PIVOT DES LT4 Stimulation de la RIMH et de la RIMC par les LT4 Lorsqu’un antigène est reconnu par un LT4, via le TCR, une modification cellulaire induit une expansion clonale (mitoses successives) et une différenciation de ces LT4 en LT4 sécréteurs ou LT auxiliaires (LTa/LTh) et en LT4 mémoire. Les sécrétions émises par les LT4

maquettes magnétiques Antigène (Ag) : molécule étrangère à l’organisme Anticorps (Ac) : molécule en forme de Y permettant de neutraliser les antigènes. Bilan : les micro-organismes portent des molécules ou produisent des toxines que l’organisme reconnait comme différentes des siennes : les antigènes. Les anticorps se fixent spécifiquement sur une sorte d’antigènes pour les neutraliser (complexe antigène-anticorps). Les cellules phagocytaires détruisent les antigènes. Cette réponse immunitaire

donneur possède le même groupe sanguin que le receveur ou bien un groupe très voisin : c’est la compatibilité tissulaire et le greffon est accepté, tandis que dans le cas contraire la greffe ne sera pas acceptée on appellera ça le rejet. Les antigènes sont là pour protéger le corps en cas de rejet c ‘est eux qui s’occupent de la défense immunitaire du corps humain c’est pour cela que plus le receveur et le donneur en ont en commun, meilleur est le pronostic de la greffe. Un crossmatch négatif

Maturation et activaton et différentiation des cellules T Influencé par les molécules du CMH Réduit lors de la maturation par un processus de sélection qui permet la maturation des cellule restreintes au CMH et des cellules T non auto-réactives. --la maturation des cellules effectué 2 voies de dévelloppement = donne CD4+ et CD8+ l’activation des cellules T périphérique mature début par l’intéraction du récepteur des cellules T et d’un peptide antigénique – présenté dans la cavité d’une

Généralités sur les méthodes utilisées en sérodiagnostic I Introduction Techniques immunologiques utilisées dans de nombreux domaines pour mettre en évidence et/ou doser des substances très variées tel que des anticorps, des antigènes, des hormones, des médicaments … Elles sont largement utilisées pour effectuer des sérodiagnostics. Sérodiagnostic : Détermination d'une maladie basée sur la recherche d'anticorps spécifiques. C'est un diagnostic indirect par opposition au diagnostic direct

comme chez les souris A4, les deux types de LT étaient en nombre suffisant. En effet, dans une première phase, les LT4 spécifiques d'un antigène donné, sélectionnés au préalable par une cellule présentatrice d'antigène, stimulent par des messagers chimiques les LT8 précytotoxiques sélectionnés de façon similaire et donc capables de reconnaître le même antigène du soi modifié. Il en résulte, dans une deuxième phase, la formation et la multiplication des LT cytotoxiques (LTc) qui détruisent les cellules

antigénique. Leur mise en évidence dans le sérum est réalisée par des tests (test Elisa par exemple) qui reposent sur la capacité des anticorps à se lier spécifiquement à des antigènes du VIH. Une molécule d’anticorps possède deux sites identiques de reconnaissance qui se lient à un antigène précis. Ils sont spécifiques de cet antigène. II – Les cellules immunitaires à l’origine de la production d’anticorps Les chaînes polypeptidiques d’un anticorps, comme tout polypeptide sont produites par des