Antigone Contexte Historique

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différents mais complémentaires, pour comprendre les différentes conceptions des dramaturges au sujet des passions dans le théâtre et la façon dont ils conjuguent les passions à l’action, selon des modalités d’approche poétique, politique, religieuse et historique. Quels rôles jouent donc les passions dans l’action tragique ? Nous étudierons la mise en scène des passions selon une dramaturgie des passions, qui passe d’abord par l’analyse de ces mêmes passions dans la structure interne du texte tragique :

littéraire théorisé par Victor Hugo (chef de file du mouvement romantique) et influencé par le théâtre baroque de Shakespeare ainsi que par les romantiques allemands (Heinrich von Kleist, Friedrich von Schiller...). C'est un théâtre le plus souvent historique où se mêlent différents styles, le tragique, le pathétique, mais aussi le comique et le burlesque (ou encore héroïcomique). Cette nouvelle forme de théâtre, développée par des auteurs aussi variés que Victor Hugo, Alexandre Dumas, Alfred de Vigny

permet aussi de mieux diriger l’esprit de son lecteur. « Composer » son histoire de toutes pièces • Liberté d’accentuer les situations et les événements au service de la dénonciation ou du plaidoyer. • Les événements et les actions n’étant pas historiques, on peut les exagérer pour apitoyer le lecteur (pathétique) ou le faire rire (comique). • L’auteur peut choisir ses personnages et les adapter à sa démonstration : – en faire des victimes ou les rendre totalement sympathiques (Fantine dans Les

répétition de formules apprises, mais par élaboration d’un jugement « instruit » (au sens où on instruit un dossier). Ces démarches sont essentielles pour la formation de l’esprit critique. – Une troisième finalité est l’accès conjoint à une conscience historique enrichie. Il ne s’agit pas de répéter les contenus vus en classes de seconde et de première, et même au collège, mais de reprendre et approfondir l’étude de domaines qui y ont été seulement abordés, de compléter ainsi la formation à l’histoire littéraire

Il est alors possible de prendre son temps pour s’intéresser aux richesses du texte. Le lecteur peut lire les notes de l’auteur. Cette lecture permet de bien saisir la pensée du dramaturge. Il est alors plus facile de comprendre dans quel contexte historique, économique, politique la pièce a été écrite. Ces indications permettent de saisir pleinement le message que l’auteur a voulu transmettre. Par exemple Molière dans les placets écrits explique au Roi ses intentions quant-à la pièce Tartuffe qui

droit privée). lorsqu'il y a eu un dommage c'est la victime (ou sa famille, ses proches) de ce dommage qui va elle même appliquer la peine. Donc le droit pénal à Rome est une affaire principalement privée entre particulier. Chapitre I. Introduction historique au vocabulaire du droit public Nous allons nous intéresser dans une première section aux fondements du droit: rapport entre droit et religion. Dans une deuxième section nous nous intéresserons au cadre politique à l'intérieur duquel le droit a été

Senlis |«موعد في سنليس» (1941) | |Homolus le muet |«هومولوس الأبكم» (1958) | 3 المسرح الأسود الجديد ويضم المسرحيات التالية: |Antigone |«أنتيغون» (1944) | |Jézabel |«جيزابيل» (1946) | |Roméo et Jeannette |«روميو وجانيت» (1946) | |Médée

est la raison d’être de la comédie ? Cherche-t-elle simplement à rappeler un passé révolu, à exposer aux générations nouvelles les mœurs et les idées des siècles passés ? Dans cette hypothèse, qu’est-ce que la comédie sinon un vestige, une trace historique exploitable par les historiens ? Et assurément, le théâtre ne peut ni ne doit se résumer à cette fonction. Enfin, le déclin si rapide des comédies peut aussi s’expliquer par l’une des caractéristiques fondamentales de la comédie : l’humour

au personnage que la fiction s’anime et produit une forte illusion. Flaubert décrit le rapport particulier qui se crée entre le lecteur et le personnage romanesque dans le chapitre V de Bouvard et Pécuchet. Les protagonistes lisant des romans historiques voient progressivement les personnages qui au départ n’étaient pour eux que « des noms » devenir des « êtres vivants, rois, princes, sorciers, valets, gardes-chasse, moines, bohémiens, marchands et soldats […] ». c) Le portrait et l’identité