Antigone Droit

LE MYTHE D’ANTIGONE Le mythe d’Antigone est la prolongation de celui d’Œdipe, Antigone étant sa fille.  Souvenez­vous le roi de Thèbes eut avec sa femme qui était également sa mère,  quatre enfants. Deux garçons : Etéocle et Polynice puis deux filles : Ismène et  Antigone. Techniquement ce sont les enfants d’Œdipe qui sont censés succéder au  trône. Mais la question est de savoir qui d’Etéocle ou Polynice va avoir ce privilège. Les  deux garçons tombent d’accord et acceptent de se partager le trône une année sur 

Cette notion de devoir retrouve aujourd’hui une certaine actualité. Face aux incivilités et violences urbaines, mais également face à la montée de l’abstention lors des élections, on fait valoir que si le citoyen jouit légitimement de ses droits, il est aussi tenu de respecter des devoirs qui résultent également de sa qualité de citoyen Les types de pouvoir On a tous un pouvoir….sûrement pas un pouvoir magique…  mais un pouvoir qui nous permet de détenir une sorte d’influence ou d’autorité

d'Antigone,Polynice,condamné (en tant que traître et fratricide) par le despote de son pays à ne pas recevoir de sépulture, celle-ci se dresse contre Créon son oncle, qui la rend coupable de désobéissance...En effet Antigone a décidé de rendre seule les honneurs funèbres à son frère! Antigone représente à travers les siècles, le symbole de toute résistance face à l'oppression... La soeur d'Antigone, Ismène déclare:"Nous sommes des femmes et nous pouvons lutter contre des hommes." Cette tragédie

Antigone ou le Décor Antigone...quartier Sud-Est de la ville méditerranéenne de Montpellier..véritable flèche dans la continuité de la promenade du Peyrou a l'Ouest. Son Architecte, Ricardo Boffil, reste fidèle a son œuvre (espaces d'Abraxas) et à sa doctrine de l'urbanisme: nous vivons en démocratie et nous devons nous même aménager les espaces publics, rendre la vie agréable aux « civis », aux citoyens. Une composition presque ludique de pièces de béton moulées en colonnes, frontons, pilastres

Dissertation « La morale et le droit » Le Droit est en son sens objectif, qualifié comme étant un ensemble de règle visant à organiser la conduite de l'homme en société et dont le respect est assuré par la puissance publique. Cet ensemble de règle ce vit modifié au cours du temps par les différentes sociétés misent en place. Mais, la morale qui est perçut comme étant un ensemble de règles de conduite, considérées comme bonnes de façon absolue ou découlant d'une certaine conception de la vie

1: Le droit au miroir de la littérature | Bien des juristes ont tendance à considérer que le droit doit rester l'affaire des juristes et que les non spécialistes ne peuvent en avoir qu'une approche d'amateur, d'incompétent. Par conséquent, étudier le droit à travers la littérature semblera incertains, une démarche discutable, risquée. Pourtant, le droit dit à sa manière quelle sont les valeurs collectives d'une société, elle fournit des repères aux individus que nous sommes. Le droit dit ce

est un exemple flagrant : la fille d’Œdipe réclame une sépulture pour son frère mort à la guerre dans le camp des ennemis de Thèbes, son oncle Créon, le roi, refuse sa requête au nom de la loi. Quand bien même il comprend les raisons qui motivent Antigone, quand bien même il entend les mobiles du cœur, il ne peut s’y soumettre : « dura lex sed lex » (la loi est dure mais c’est la loi). La justice ne doit pas écouter les raisons mais se soumettre à la raison, elle ne doit pas faire d’exception même

parlait de « futurologie », designer, c’est une intention des futurs possibles. Urbanisme perspectif (Déterminer la destination générale des sols et les projets d’intérêt général) > Urbanisme réglementaire (Définir un projet d’aménagement et les droits attachés à chaque terrain) > Urbanisme opérationnel (Opération d’aménagement d’ensemble. Maitrise d’œuvre). Quelles approches possibles du projet urbain ? Opération localisée d’aménagement (le site, le lieu) c’est à dire sur un périmètre assez

nous invite à réfléchir sur la relation de l’obéissance à la loi et de la justice morale, et sur les notions de légal et de légitime. On verra que obéir aux lois semble d’avantage synonyme d’être juste car c’est défendre le légal, la loi et le droit. On sera ensuite alors tenté de dire que même les lois ne sont pas toujours justes, qu’il existe bon nombre d’injustices et qu’il faut parfois y désobéir afin d’être juste. Alors faut-il forcément désobéir pour être juste ? Pour être juste, il

socratere INTRODUCTION L a question ne se pose que si l’infraction à la loi est possible, donc dans le champ du droit et de la cité (c’est ce qui distingue les lois de la nature et lois de la cité. L’interdit n’est pas l’impossible, en raison de la présence d’une médiation, par la volonté ou la liberté). D’un point de vue simplement formel, • Ou bien c’est la loi elle-même qui autorise la désobéissance, et par définition