Antihéroe

1953; Fin de partie, 1957) ou Jean Vauthier (Capitaine Bada, 1950) introduisirent l’absurde au sein même du langage, exprimant ainsi la difficulté à communiquer, à élucider le sens des mots et l’angoisse de ne pas y parvenir. Ils montraient des antihéros aux prises avec leur misère métaphysique, des êtres errant sans repère, prisonniers de forces invisibles dans un univers hostile (La Parodie d’Adamov, 1949 ; Les Bonnes de Jean Genet, 1947 ; La Cantatrice chauve d’Eugène Ionesco, 1950).

son habit d’employé de bureau pour se retrouver dans le domaine du journalisme comme l'a fait Maupassant). Et cela permet de donner à son personnage un caractère plus proche de la réalité de son temps. En revanche, le personnage de Duroy est un antihéros, soit, toutes les caractéristiques du personnage principal ne sont pas équivalentes à celle de l'auteur. Les femmes ont un rôle marquant dans la vie de Maupassant aussi bien que dans son roman. C'est grâce aux rencontres de différentes femmes que

luxure et la richesse. 2. Lectures d’Emma erronées. a) Elles la font rêver d’une vie utopique et romantique. b) Elles la font rêver d’une vie trop luxueuse et irréalisable dans la réalité. 3. Emma pense devenir une héroïne de roman à son tour. a) antihéros car pas les caractéristiques du héros conventionnel (valeurs antihéroïques, antisociales, ne vainc pas les difficultés). 4. Relation et comportement inadaptés à la religion. a) Tempérament sentimental contre-nature (piété différent de plaisir).

« Voyage au bout de la nuit » Un témoignage authentique A. La présence du narrateur B. La sincérité de ce récit apparaît à travers les choix d'écriture C. Les informations sur le champs de bataille, la vie au front Bardamu : un antihéros A. Il n'est porteur d'aucune valeur héroïque B. Il fait preuve d'un individualisme forcené Ce récit n'en constitue pas moins une dénonciation de la guerre A. Elle est absurde B. Elle est atroce C. Elle déshumanise LA n°6 : Stendhal

ironique par rapport à son personnage. C'est autour du héros que se construit l'intrigue du roman. Les autres personnages peuvent se définir en fonction de leurs rapports avec lui : opposants ou adjuvants. Que ce personnage soit un héros ou un antihéros (personnage médiocre et banal), le romancier exprime à travers lui une certaine vision de l'homme et du monde. Ainsi, le roman médiéval présente ainsi des héros relativement stéréotypés incarnant des valeurs essentielles. En revanche, les romans

fatigue : cf accumulation : « Cette hâte, cette course, c’est à cause de tout cela sans doute, ajouté aux cahots, à l’odeur d’essence, à la réverbération de la route et du ciel, que je me suis assoupi ».Ccl : personnage médiocre, passif, faible = antihéros.2. C’est un journal intime sans intimitéa. Ecriture mimant le journal intime- Personnage-narrateur : je- Récit au passé composé avec référence au temps pour préciser la chronologie des faits comme pour relater une journée : « J’ai pris l’autobus

début dans phrase syntaxe obsc = perso noyé dans masse de perso insignifiants. Nom réduit perso à un stéréotype/caricature = déshumanise. Incarnat° envie (jalousie etc) Perso aura qu'un ressort = detestat° d'autrui. Dès qu'il est nommé devient un antihéros. 2) La Rancune, une carrière théâtrale dérisoire. = Rôle de femme dégradant, doit travestir voix – rôle parlé. =Rôle parfaitement inutile, le réduit à l'insignifiance. =Perd parole, devient figurant et quand il chante : voix fausse, horrible

roman philosophique d’Albert Camus, écrivain et essayiste français né en 1913 en Algérie et mort tragiquement dans un accident de voiture en 1960. Ce récit atypique, paru en 1942, prend la forme originale d’une chronique réaliste mettant en scène un antihéros qui répond au nom de Meursault, personnage transparent et insipide, que rien ne semble affecter ni émouvoir. Ce narrateur personnage vit une existence paisible et monotone jusqu’au jour où, sans raison apparente, il tire sur un homme, transformant

condition inférieur (paysan roturier) à l'origine. Il change de profession et se sens puni même si cela à été son objectif. Il est sur de lui, criminel, amant d'une femme mariée, de valeurs morale douteuse. Ce n'est pas un homme parfait mais pas un antihéros. Il n'aime pas qu'on le méprise, il est très nuancés. Vue négative de la société, inégalité sociale. 3 classes sociale bien distincte, il est difficile de se faire une place et de grimper dans dans l'échelle sociale. Société rigide ou l'on accepte

même pas monter » => les personnages se connaissent depuis longtemps. A l'inverse, le présent est fait d'errances. Des personnages malmenés par la vie, vagabonds. Dans le théâtre classique, ces personnages ne seraient pas des héros => Ce sont des antihéros, allant à l'encontre des pièces de théâtre plus classiques. Les objets ont une importance symbolique : les chaussures (Estragon) => très terre à terre, le chapeau (Vladimir), côté plus cérébral. La relation entre les deux personnages semble tendue