Antithèse Sur La Peur

I) Peuple héros et victime Le titre peut surprendre : " Victoire " étant ici utilisée antinomique (antithèse). C’est la victoire du peuple alors que c’est celle des Allemands. Ce poème n’a pas de ponctuation. Strophe hétérogène, distique, tercet, quatrain, quintile donne un rythme tantôt lent, tantôt haché qui traduit bien l’indignation d’Eluard. 1- Le beau monde et les valeurs morales L’expression " Beau monde " est située en tête de vers : insiste sur la beauté du peuple. Il parle du monde

printemps et de lait purEt de duréeDans leurs yeux purs IX Les femmes les enfants ont le même trésorDans les yeuxLes hommes le défendent comme ils peuvent X Les femmes les enfants ont les mêmes roses rougesDans les yeuxChacun montre son sang XI La peur et le courage de vivre et de mourirLa mort si difficile et si facile XII Hommes pour qui ce trésor fut chantéHommes pour qui ce trésor fut gâché XIII Hommes réels pour qui le désespoirAlimente le feu dévorant de l'espoirOuvrons ensemble le dernier

cependant, pas de commentaires, narrateur ne donne pas ses sentiments. Pas de peur, d’effroi, de rire exprimé → simple constat II. Une esthétique du bizarre au service de l’image de la chute 1) Un monde renversé physiquement/ moralement génant (grâce à des images + verbes d’action) - 2nd dizain: monde inversé, passage dans l’irréel (doute de la réalité); spectacle où nature ne fonctionne pas normalement → contribue à effet de peur - narrateur remarque des sons, présages de foudre, de colère divine –

négation partielle syntaxique + métaphore (peindre un sentiment comme une couleur) + hyperbole (Rien) + champ lexical de la peur (<<anxiété, terreur, tremblant, horreurs>>) ■ Rien ne peut décrire cet événement : caractère indescriptible de la scène ■ hyperbole insiste sur les sentiments négatifs (d’Ourika et de ses compagnons) ; renforcé par le champ lexical de la peur ■ Montre que l’événement est grave et a eu un impact important ● <<chaque soir>> ○ C.C. Temps ■ situation quotidienne

tortures infligées à Grandier. Les personnages (désignation et caractéristiques) : - les religieuses : « bacchantes » (l.14), cf. Bacchus, dieu Romain du vin, de l'ivresse et du débordement. Terme qui annonce l' « orgie » (l.42) : folie démesurée. Antithèse : les religieuses deviennent des femmes débauchées. -les accusateurs : « ses ennemis » (l.8 et 53) : manque d'objectivité des accusateurs. - l'apothicaire « condamné » (l.15) : rappel de l'injustice dont il est capable, homme peu fiable. - un moine

mort), les antithèses (p. ex. « roses » et « fumier », « or » et « cendre »). Néanmoins, Hugo ne fait pas l’antithèse entière en ce qui concerne l’enfant et son cadavre supposé. Il utilise donc l’expression « oiseau » qui semble être un peu plus positive en proposant l’espoir pour l’âme et sa liberté. Davantage, Hugo emploie l’hyperbole pour agrandir la souffrance des mères : « les yeux des mères en ruisseaux ». Ensuite, nous y trouvons le champ lexical de la mort, de la tristesse et de la peur : « tremble »

visage 2- Un ennemi hypocrite et monstrueux III) La présence de la mort 1- L’obsession de la mort 2- Le gâchis Etude méthodique I) Peuple héros et victime Le titre peut surprendre : " Victoire " étant ici utilisée antinomique (antithèse). C’est la victoire du peuple alors que c’est celle des Allemands. Ce poème n’a pas de ponctuation. Strophes hétérogènes : distique, tercet, quatrain, quintile donnent un rythme tantôt lent, tantôt haché qui traduit bien l’indignation d’Eluard.

la bibliothèque en utilisant une personnification, renvoyant tout de suite et aux contes de fée, et qui est censé ouvrir la porte vers un autre monde imaginaire: "La clé était sur les différents corps de la bibliothèque.". Aussi l'emploi d'une antithèse soulignant le côté presque surnaturel de l'entreprise: "Ces clés brillaient dans la pénombre." Ensuite on peut remarquer la chute de l'enfant sur un tapis qui semble tout à fait intriguant, l'auteur emploi une hyperbole afin de souligner son

on relève une autre hyperbole et une antithèse « L’obscurité y était profonde » qui insiste sur l’aspect secret. Ici, ils se retrouvent dans le noir donc tout peut se produire sans que personne ne s’en rendent compte. Mais on a également une opposition entre la clarté du soleil « chaleurs » et l’obscurité. On peut lier ça au fait que l’amour peut réchauffer les cœurs, il redonne confiance et dirige les âmes perdues, cependant il contient des aspects qui font peur. De plus, dans cette scène romantique

-LES MANIFESTATIONS DE L’AMOUR A) Les manifestations physiques Des sentiments contradictoires  v.5 : « Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue »  Antithèse : opposition des termes « rougir » et « pâlir », séparés par la syntaxe  « Rougir » évoque la passion amoureuse extrêmement intense qui s’empare de P à la vue d’H ; « pâlir » évoque la peur qu’elle éprouve en réalisant la nature interdite de cet amour : H est son beau-fils, elle ne peut l’aimer. Cet amour conduira à sa mort ; le spectateur