Antithèse Sur La Peur

Dans leurs yeux purs IX Les femmes les enfants ont le même trésor Dans les yeux Les hommes le défendent comme ils peuvent X Les femmes les enfants ont les mêmes roses rouges Dans les yeux Chacun montre son sang XI La peur et le courage de vivre et de mourir La mort si difficile et si facile XII Hommes pour qui ce trésor fut chanté Hommes pour qui ce trésor fut gâché XIII Hommes réels pour qui le désespoir Alimente le feu dévorant de l'espoir Ouvrons

XVII= découverte du nouveau monde. C’est aussi la période de l’humanisme qui se fini par les guerres de religion mais c’est aussi la période de la révolution de la penséele terre n’est pas plate et tourne autour du soleil C’est heureux, beau; ça fait peur (instabilité, inconstance) La littérature à toujours une «pensée» pour la religion (avec au moins une idée religieuse) Vanitésnature mortes. Dans les sonnets on célèbre leur apparence mais on aura quelque chose qui fera pensée à la mort Le Mépris

suivre ; c’est de les difficulté pour le DN de rester à distance, de ne pas exprimer ouvertement son amour, pour la respecter – et sauver son honneur < accumulation de négations et répétition de « difficile » éviter, par la peur de laisser paraître au public, et quasi à elles-mêmes, les sentiments que l’on· Il ne veut pas la compromettre (>> individu et société)// lexique de la passion amoureuse = aveu indirect des sentiments du duc pour la PC : Il veut lui prouver qu’il

à l’aise avec son corps (« dégingandé », « les mains ballantes »). * Statut social : modeste ; gradation dans la révélation (« artiste », « peintre » + noms de rues, « combles »). * Psychologie : assez développée ; angoissé (« éperdu », « peur », « tressaillement »), irritable (chp lexical de la colère), brusque (rythme irrégulier de la course), solitaire (« et sa surprise fut extrême »), faible estime de soi (association expression liée à la colère et pronom possessif « une colère de son

Introduction :· “Animaux malades de la peste” · Jean de la Fontaine· 1678· dénoncer l’hypocrisie et l’injustice dans la société du XVIIème siècle· 1er mouvement (l.1-14) mise en scène du récit, présentation· 2ème mouvement (l.15-48) "expiation" des péchés des prédateurs· 3ème mouvement (l.49-62) condamnation de l'Âne· 4ème mouvement (l.63-64) morale 1er mouvement :· proposition subordonnée relative en que (l.2–3), “que le ciel en sa fureur inventa pour punir les crimes de la Terre”, ici la subordonnée

 » « tous les hommes » : c’est une antithèse. « Tous les hommes ensemble sont à son égard comme s’ils n’étaient point » : c’est une hyperbole. « n’étaient point » : verbe être au sens d’exister « point » : néant (qui n'existe plus). La deuxième idée : Gnathon est comparé à l’animal. L’inhumanité de Gnathon est résumée par sa façon de manger. « Non content de … » : préparation d’une hyperbole. « il occupe lui seul celle de deux autres » : c’est une antithèse. « il oublie » : c’est une ironie

l’une que l’autre » l.3/4 ou «  un sépulcre à droite comme à gauche » l.34. Les antithèses opposent ici les deux futures existences plausibles du protagoniste. « Quitter »l.7 -> « reprendre »l.8, « chanter les oiseaux »l.10 -> « le cachot »l.14

puis dans un second temps nous verrons de quelle façon elle les exprimes. Premièrement, nous allons voir comment Cécile analyse ses sentiments dans ce texte. Pour ce faire nous verrons l’utilisation de comparaisons, l’emploi de l’imparfait puis des antithèses, montrant une ambivalence des sentiments de Cécile. A plusieurs reprises Cécile utilise des comparaisons, « J’avais toujours entendu parler de l’amour comme d’une chose facile » (l.20-21) , ici Cécile compare l’amour à une chose facile, cela montre

les fins et les débuts des 4 premiers strophes. Dernière strophe différente | - refrain pour renforcer l’idée d’opposition entre spleen et idéal-chute | Strophe 1 | -“ange” : destinataire-« plein » : adjectif (quantité)-« gaieté »/ « angoisse » antithèse-question indirecte, absence du « ? »-v.2 énumération de thermes négatifs-V.3 à nouveau un sentiment négatif-comparaison : « comme un papier qu'on froisse »-V.4 répétition de la première question (cette fois question directe, présence du « ? ») |

identité désignés par « ils » dans la strophe 5 et dans le reste du texte : répété 8 fois. Ce sont des gens sans visage qui se masquent : l’inconnu utilise la peur. Quand on ne connaît pas l’ennemi, on ne sait pas à qui s’en prendre : pouvoir sans limites, pouvoir masqué « disait » « désirait » « s’accabler de politesse » et au vers 15 : antithèse . Vers 14 : hypocrisie « rationnait » donnait le strict minimum , « jugeaient les fous » impossible. Accumulation de verbes d’actions, ce qui traduit l’étendue