Antithèse Sur La Peur

|l’étonnement et l’effroi. Personnages assimilés à des |- figures d’amplification (hyperboles, gradations). | | |héros de combat. |- antithèses (pour marquer l’opposition entre le héros et ses adversaires) | | |Emotions liées à l’amour, la mélancolie, la nostalgie, la |- emploi de la première personne.

impression de terreur et de fascination devant le destin implacable qui frappent les personnages. Il y a une forte présence de la mort que le héros tente de bravé. | * Vocabulaire de la mort * Fatalité * Beaucoup d'interrogation * Langage soutenue * Antithèse | Pathétique | → Inspire attendrissement et la pitié du lecteur devant l'intensité du malheur qui accable les personnages. | * Vocabulaire de la souffrance, du malheur, du chagrin * Beaucoup d’apostrophe* Supplication, lamentation

15), « deuil » (v. 18)… mais aussi le champ lexical de la peur : « dans l’ombre » (v. 4 et 17), « tremble » (v.4), « noirs grabats » (v. 14), « bruissait » (v. 15), « éperdus » (v. 16), « sombre » (v.16), « frissonnant » (v. 17), « épouvante » (v. 18)… sont présents à travers l’ensemble de celui-ci. Ensuite, nous pouvons remarquer qu’HUGO a utilisé un chiasme au vers 8 : «Le trône en l'échafaud et l'échafaud en trône» et deux antithèses au vers 9 : «Les roses en fumier, les enfants en oiseaux »

prix national de poésie en 1984. Sa première œuvre , après ses œuvres de jeunesse, est terraqué publiée en 1942 il fut bien accueilli par la critique et le public, Dans Terraqué Guillevic s’intéresse et interroge les choses les plus modestes. La peur d’être exclu habite Terraqué et le poète y combat ce sentiment, comme celui de la mort. Le poème qui nous intéresse est «  les Rocs  » ce poème s'allonge sur une page et se présente dans un langue courte et rude, Nous pouvons rapproché ce poème de

apocalyptique allitération (cri, peur, tonnerre) harmonie imitative champs lexical de l'apocalypse : tremblement de terre, tonnerre, éclipse, astres qui tombent c) monde des morts « sang » référence à la mort « ombre » fait penser au fantôme, spectre et « esprit » connote l'au-delà « Charon » nous ramène au batelier des enfers, désignés par « le centre de la terre » 2) aucune loi physique ou naturelle a) confusion totale des lois naturelles antithèses : chaud/froid « feu brûle dedans

les comptes représente quelque un être plutôt malveillant. Juste après, on peut trouver une hyperbole « cet œil largement ouvert » (l.6) augmente le sentiment de l’arrivé du danger, le fait de parler d’un œil largement ouvert peut faire penser à la peur, la Lison ouvre grand l’œil pour faire « attention » au moindre détail. « Elle roulait, elle approchait de la tranchée, avec cet œil largement ouvert. » (l. 5) c’est ici, une hyperbole. Ici, il y a aussi une personnification, car on attribue à la locomotive

présenter le thème principal de la pièce, et certains des principaux protagonistes (Lisette, Silvia et indirectement Dorante). a) Thème et intrigue – Thème du mariage : naturel dans une comédie. Comme toujours, mariage contrarié, mais ici obstacle = peur de Silvia (cf. juste avant le passage « cela m'inquiète »). Situation femme au XVIII = toujours « mineure » (sous la coupe du père, puis du mari). – Crainte du mariage permettra de justifier le travestissement futur de Silvia/Lisette (fonction

roi n’a pas la maturité ni la connaissance pour gouverner un pays. .Antithèse (opposition) Roi/Enfant : effet de surprise  contraste  le lecteur ne s’y attend pas. .Enfant (faible, seul)-Grande armée (forts, nombreux)  monde à l’envers  le faible commande le fort  pouvoir donner à une personne incapable d’assumer  roi par le biais de la monarchie = Total déséquilibre !  Montaigne appuie sur cette absurdité. .Antithèse : l.10 « Enfant »  aucun groupe nominal / « 2 grands (…) Roi »  groupe

dans une nuit sans air... La lune plaque en métal clair Les découpures du vert sombre. ... Un chant ; comme un écho, tout vif, Enterré, là, sous le massif... - Ça se tait : Viens, c’est là, dans l’ombre... - Un crapaud ! - Pourquoi cette peur, Près de moi, ton soldat fidèle ! Vois-le, poète tondu, sans aile, Rossignol de la boue... - Horreur ! – ... Il chante. - Horreur !! - Horreur pourquoi ? Vois-tu pas son oeil de lumière... Non : il s’en va, froid, sous sa pierre. ........

coupe-papier sur la table ». Il y a une antithèse entre l’Enfer chrétien et celui de Huit Clos, en effet, il y a seulement un bronze, des fauteuils et ce coupe papier. Garcin énumère ce qu’il croyait trouver dans la pièce « le souffre, le bucher, le gril » Il n’y a pas de miroir, de fenêtre ainsi que de salle de bain, ils sont en enfer, les objets qui leurs sont disponible sont très réduit. Nous sommes en présence de morts vivants : Garcin est dominé par la peur, il est de mauvaise foi « lâche » et