Antithèse Sur La Peur

la répétition du mot Mal ainsi que les 2 propositions relatives créent un effet d’attente. Mal   « Malin »  connotation religieuse (XVIIème siècle) Majuscule à Ciel et à Mal  crainte du monde divin Rimes « fureur » et « terreur »  renforce la peur  association sémantique (relative au sens)  la fureur divine a pour conséquence la terreur. Chiasme (vers 7)  « Ils ne mourraient pas tous, mais tous étaient frappés »  impression de puissance  universalité du mal L’abondance de négations 

ne s’y attendait, elle est la mort d’un peuple (pronom « vous » à la strophe 3) 10. A quoi est opposée la mort dans le poème ? Comment appelle-t-on ces figures de style ? A la vie : mort/cœur renversé ; vivre/mourir = oxymores Antithèses à la fin du poème : peur/courage, vivre/mourir, mort difficile/facile 11. quelle impression donne cette mort opposée à la vie? Une impression de gâchis : rose rouge = passion, or ici rose rouges associées à sang = mort Impression de gâchis renforcée par

de liberté. → connecteur logique d’opposition «mais en fait» (L.4) : la réalité est différente. B. LA PESTE, UNE FORME DE FATALITÉ - La peste est devenue un sort commun → antithèse : « destins individuels≠ histoire collective»(L.7) → « Le plus grand était la séparation et l’exil avec ce que cela comportait de peur et de révolte(L8) - la souffrance des amants séparés(L13) » - Un sort inévitable → « la peste avait tout recouvert »(L6) contraste avec « un mouchoir ou la main sur la bouche

elle consiste à opposer des pensées les unes aux autres pour leur donner plus de jour. Les antithèses bien ménagées, plaisent infiniment dans les ouvrages d’esprit : elles y font à peu près le même effet que dans la peinture, les ombres et les jours qu’un bon peintre a l’art de dispenser à propos, ou dans la musique, les voix hautes et les voix basses qu’un maitre habile sait mêler ensemble. Les antithèses expriment un rapport d’opposition entre des objets différents, ou dans un même objet, entre

Etape 1 : Analyse du sujet : n’ayez pas peur d’y consacrer du temps, puisqu’il s’agit d’une étape essentielle, qui évite tout hors-sujet. Dans le cas d’une question simple comme celle qui était proposée, vous devez analyser tous les termes-clés du sujet, même si cela vous semble artificiel. Une fois l’analyse faite, vous pouvez reformuler le sujet, de façon à aboutir à la problématique. -Etape 2 : Elaboration du plan : bien souvent, dans une dissertation qui suggère un plan dialectique (c’est-à-dire

initial -v 183 : massacre de son frère : 1er meurtre dans la Bible - frère : contexte des guerres de religion entre chrétiens, frères au départ - Donne une dimension encore plus dramatique au texte, ce n'est pas le meurtre d'un étranger -v 183-184 : antithèse entre 'agneau doux' et 'amer courroux' : le contraste sert à faire ressortir 1) l'innocence du frère : l'agneau est le symbole de l'innocence. C'est l'agneau qu'on sacrifie à cette époque. Jésus est appelé 'agneau de Dieu' 2) la culpabilité du

 : Comment Lamartine exprime-t-il ses émotions à partir du poème ? Mouvement du texte  : strophe 1 à 5 = les rêveries du poète Strophe 6 à 9 = le temps qui passe.Les rêveries du poète · Champs lexicale de l’eau · antithèse toujours/jamais adv = montre que l’homme est impuissant face au temps · « nouveaux rivages » la métaphore filée associe et compare le temps à de l’eau· PP a valeur adj « empotés » = l’impuissance de l’homme face au temps/ homme est un jouer pour

SIMPLE ! 3) LE TEXTE ENTIER JOUE SUR UN SYSTEME D’OPPOSITIONS (ENTRE LES 2 POLES DE LA POLEMIQUE ? L’AUTEUR / LES FRANÇAIS) : COMMENT LES INDICES PERSONNELS PARTICIPENT-ILS A CE SYSTEME ? a) L’opposition au sein de la phrase (les antithèses) b) L’opposition entre les deux strophes c) L’opposition entre les énumérations d’adjectifs possessifs. REPONSES : 1)marques personnelles nombreuses. Pourquoi ? renvoie au caractère polémique du texte. Le style polémique a souvent

-> Arguments d'autorités Bible/Dieu --> Une argumentation qui lutte contre les préjugés -> Valorisation de Dieu -> Antithèse entre [Valorisation de Dieu] et [Jugement erroné de l'homme]. Conclusion : Montaigne évoque froidement le monstre, ce qui justifie qu'il n'est pas victime de préjugés. Or d'après Montaigne, l'homme est victime de la coutume, il a peur de l'inconnue et de la nouveauté. --------------------------------- 3- Leprince de Beaumont : La belle et la bête ----------------------------------------------

Console avec son corps, « seins triomphants » personnification, victoire de son savoirsur la tristesse des hommes « fais rire les vieux » = pouvoir de rajeunissement (« rire des enfants », antithèse) - « Nue », se compare aux astres qui illuminent le ciel, les « remplace » même = ( gradation dans la distance avec la Terre,énumération + exclamation ) = mise en valeur de sa beauté , aspect inaccessible et évocation