Antithèse Sur La Peur

début la sueur coule puis elle la mouille pour enfin la piquer , peu a peu la sueur devient donc gênante jusqu'à lui faire mal. B) Une peur présente -l'adverbe « peu » pour « un peu peur » qui passe à l'adverbe « même » pour « même le dôme lui fait peur » → augmentation de la peur → au début un peu peur et à la fin la peur la totalement envahi. -De plus cette peur est nouvelle , ceci est marqué par l'adverbe « Mais aujourd'hui » . l'angoisse qu'elle a est donc nouvelle. -« poil hérissé » → cette

reprend le minotaure et le dragon le fantastique. Ce monstre sucite le peur grâce à la répétition de mots comme « monstre » et grâce a des adjectifs qualificatifs comme « furieux ; menacent ; indomptable et impétueux ». Il y a l’expression de la peur qui provoque la fuite des gens marqué au v.11 « tout fuit » ; v.12 « Dans le temple voisin chacun cherche un asile » On distingue une antithèse. Il y a une amplification de la peur grâce au registre epique qui implique l’univers entier. Le courrage

intrigue et une morale. C'est donc un raisonnement inductif. Texte étudié : Jupiter dit un jour : « Que tout ce qui respire S'en vienne comparaître aux pieds de ma grandeur : Si dans son composé quelqu'un trouve à redire, Il peut le déclarer sans peur ; Je mettrai remède à la chose. Venez, singe; parlez le premier, et pour cause. Voyez ces animaux, faites comparaison De leurs beautés avec les vôtres. Etes-vous satisfait ? - Moi ? dit-il ; pourquoi non ? N'ai-je pas quatre pieds aussi bien

dynamisme. « la frayeur de la mort » → est ce que la mort provoque la peur ou le fait de la mort fait peur ? « ébranle le plus ferme » le terme ébranler évoque la fin, alors il s'agit de la grandeur du mot. Une âme ne peut pas « s’étonner ». « cordeau » → antithèse, paradoxe → baroque. « il n'a goutte de sang qui ne soit lors glacée » → peur, hyperbole. « son âme est dans les fers » → être couvert de chaîne à cause de la peur. Imagination, il voit après sa mort. Imagination trouble la réalité par

réside le sens du récit + aspect très vivant, dynamique du récit). La question du Charton est rhétorique, le Charton sachant pertinemment ce qu'il adviendra du Cochon = hypocrisie de la bienséance. Tu nous étourdis tous, que ne te tiens-tu coi ? Antithèses « tu » / « nous tous » + « étourdis » / « coi » : le Cochon est clairement le fauteur de trouble d'après le Charton. Allitération en [t] : rythme et détache les reproches du Chareton : le Charton accusant le Cochon de ne pas savoir aller vers

tragique. II. Une rupture amoureuse simulée : le supplice de Junie / une torture, un piège 1. La peur L’obsession de Néron qui envahit son discours : « la crainte » se marque aussi dans son économie de parole (9 vers contre 22 à Britannicus). 2. Le double jeu forcé, le double sens des mots de Junie • Des mots destinés à Britannicus – Elle ne peut ni répondre à ses questions, ni le regarder : peur de trahir son amour ; la théâtralité du jeu des regards (didascalie interne : « Vous craignez de

phrase -effet d attente et de peur -opposition=V1/V2 -peste pas nommée des le début=attente -changement de rythme=8 a 12 syllabes -rejet du mot peste au 4eme vers=effraie de nommer l peste -guerre a la fin du vers 8=retour a octosyllabes cette peste fait la guerre ●Surnaturel -tonalité -mythologie=classicisme, texte antique, Achéron VS personnification du ciel -ciel accentue par la césure -peste=vengeance céleste -colère=V19 le céleste courroux -enrichir ? Antithèse périphrase antiphrase 3-Universalité

moral. Malédiction romantique, victime de la société et de Don Salustre « rêveur profond et mélancolique ». Grandeur sublime « placé très bas, aspirant très haut Eléments Importants de l’œuvre Antithèse Principe qui régit le monde, esthétique des contraires. Couple antithétique et antithèse au sein du même caractère. « J’ai l’habit d’un valet, vous en avez l’âme » (vers 254 Ruy Blas. Le lion et le tigre. Amour Admiration. Adoration. Jalousie (Océane, prose, 2) Confession de Ruy Blas

un premier temps, ne comprend pas.A. Confirmation de l'amour de Phèdre pour Thésée· Ce constat est fait par H : souligne les effets physiques de l'amour sur P, qui souffre : hyperbole "effets prodigieux" (au-delà du possible) + PSCCCConcession et antithèse mort/présent qui souligne que la passion est toujours présente + antéposition du mot "amour" + image toujours filée de la flamme amoureuse· Constat confirmé par Phèdre : affirmation (oui = premier mot de sa réplique) + énumération binaire avec gradation

satellite par rapport aux autres courtisans· L.11-12 : insignifiance sociale du personnage exprimée par réduction physique, métaphorique et littéraire· L.20 : chuteAnalyse linéaireON/IL GITON/PHÉDON1. · L. 1-2 : apparences physiques  antithèse de Giton, pas de masse corporelle + physiologie maladive (« yeux creux, teint échauffé » et mauvais sommeil) personnage désagréable dès le début pour le lecteur ; portrait dépréciatif· Physiologie comportement/façon d’entretenir une