Antithèse Sur La Peur

Plan détaillé du commentaire de texte La Mort et le Bûcheron (La Fontaine) I) Un texte qui met en évidence l’incohérence des hommes et la peur de la mort. 1) L’intérêt du recours à la fable. a) caractère allégorique de la fable (le bûcheron la condition humaine) + représentation de la mort sous une forme personnifiée et allégorique. Intérêt de l’allégorie : représenter concrètement et visuellement des notions abstraites. b) construction du récit  de la fable: deux parties déséquilibrées :

une sorte de violence mais une violence morale que les partis utilisent pour endoctriner le peuple.Les partis politiques parlent des sujets qui font peur au peuple or on constate ce dernier utilise que très peu son sens critique et se laisse guider par les slogans et par les médias. Les politiciens créent donc des sortes de préjugés qui renforcent la peur et l'insécurité des citoyens.Certains slogans de propagande sont parfois très limite.Ils utilisent des termes et des images discriminatoires voire

avec question très statistiques mathématiques : " Combien de temps vivez vous ? " ( relever toutes ces questions ) . Aussi opposition de la mort / naissance : ironie , peur de l'homme de mourir ( toujours presente ) " 500 grandes (...) mort au moment ou l'on est né " Antithèse = montre la fuite constante du temps , montre la peur de la mort , qui cette fois ne dépend pas de la durée de la vie , mais plutôt de la prise de conscience de son terme inévitable ( la mort est toujours présente à la fin

a)Elle n’épargne personne (l’imagination se confond avec la raison=cité le texte : énumération, antithèse /des victimes étonnante/ procure avantage : cité le texte et inconvénient : trompe l’esprit, l’imagination affecte la qualité essentiel de l’H) b) L’individu et la société (Pas que l’individu mais la société aussi est concerné L.19/21

batailles, monstres, la mort, la survie. Le lecteur, comme le personnage, est déstabilisé. Il ne sait plus ce qu’il doit croire ou non, si c’est réel ou imaginaire. Doute. Peur. Suspense. Champs lexicaux de la fatalité, de la mort, de la passion désespérée, figures de styles (de l’opposition en particulier : antithèse, oxymores, etc.) , dilemmes tragiques. Le niveau de langue est généralement soutenu. L’écriture peut être en vers. mythologie, Procédés de l’agrandissement : hyperboles

commettre son acte. On remarque dans dans ce néant même« rien subsistât de leur tendresse ancienne »,entre A et T. B)Incommunicabilité On constate que T se détache de son entourage, elle n'arrive pas, ne veut pas communiquer : On relève ici une antithèse entre « terrain de rencontre » et « n'en rencontrait jamais » ainsi qu'une interrogation de T : « Avaient-ils seulement un vocabulaire commun ? » ce qui montre l’absence de communicabilité entre T et les Desq. Néanmoins on trouve le champs lexical

objet où il peut arriver », « l’extrême petitesse de la nature » amène une nouvelle image, celle d’un univers à part entière, dont les éléments vont à nouveau être décomposés en allant vers le plus petit. Cette nouvelle évocation se fonde sur une antithèse violente :
« l’extrême petitesse de la nature » devient « l’immensité qu’on peut concevoir de la nature” , « ce raccourci d’atome » devient « une infinité d’univers ». La gradation est bien sûr descendante : « firmament », « planètes », «terre »

« il vous adore ». Elle est comparée à un être éminent dans un champ lexical qui renvoie discrètement à une supériorité divine : « il vous adore », « il donnerait sa vie », « vous contempler un instant » on contemple que les divinités un instant par peur d’un châtiment, « il a l’air enchanté quand il vous parle ». Cf l’étymologie du mot « Madame » du latin domina qui domine. Galanterie typique ici qui introduit d’emblée une hiérarchie des sexes. Dubois tire les ficelles

pensées, et sur les conditions de vie des prisonniers. Cet homme nous dit tout ce qu'il fait en prison ; il devient aussi le spectateur de la scène horrible du ferrage des forçats. Puis il pense au moment où il devra aller à la guillotine ; il a peur mais il ne veut pas que les autres le sachent. Il continue à espérer en la grâce du roi qu'il n'aura jamais. Il nous parle aussi de sa fille et du jour où il a pu la voir où elle ne l'a pas reconnu. Il nous décrit quelque aspect de son

lectures que nous avons dégagés, c'est à dire l'axe Jour et Nuit ainsi que la perception de Michel-Ange par la narratrice. Voici l'axe 1 et le sens de la Nuit comme première sous-partie, il existe deux aspects ou deux mondes définies par une antithèse comme « La nuit ne communique pas avec le jour. » (ligne 1). Nous avons là, la description d'un peuple qui change de personnalité selon le monde où ils évoluent grâce à une accumulation comme le montre « ses gens, ses buveurs, les poètes, les amants »