Antithèse Sur La Peur

fusionnel, cependant y est quelqu’un de très indépendant, bien organisé avec des objectifs précis qui fait qu’elle ne peut s’associer à n’importe qui. Or x d’un point de vue professionnel est l’opposé de y, ce qui fait que y ne peut s’associer à x. La peur de blesser l’autre est redouté, mais on ne peut blesser lorsque l’on est dans la vérité, l’égo reste celui qui est véritablement blessé et non l’âme qui elle sait ce qui est juste et connait la vérité. Inconsciemment l’âme de x sera d’accord avec ce

les Thénardiers. Cosette leur sert de servante et était terrifiée à l’idée d’aller chercher de l’eau la nuit. Il y a ensuite ensuite une longue description sous toutes les faces des Thénardiers . Mme Thénardier ressemble à un militaire, elle fait peur, elle jure, elle avait de la barbe, elle boit comme un trou et les gens disaient que c’est le bourreau de Cosette. Mr.Thénardier , lui était petit et maigrichon, était poli en général. C’était un escroc et il en était fier. Il a sauvé un homme à Waterloo

fois ; c´est une répétition qui met en valeur la contrainte parce qu´elle est dans le contexte de l´aveu d´Hippolyte. Aussi le vers 528, « D´un secret que mon cœur ne peut plus renfermer », donne la même idée. Dans le vers 538, l´auteur utilise une antithèse pour mieux montrer ce que désir le héros « cette âme si superbe est enfin dépendante », Hippolyte qui était orgueilleux et désire le rester devient dépendant d´Aricie. Mais il désire aussi la présence de cette jeune fille car il ne peut pas l´oublier

une caractéristique du drame romantique qui vise à montrer le sublime relié au bien, versus le grotesque qui est relié au mal. Dans l’œuvre étudiée, Gennaro se montre d'une extrême douceur et d'une grande gentillesse. En effet, par le biais d'une antithèse, GENNARO « Je sais que j'ai une mère, qu'elle est malheureuse, et que je donnerais ma vie dans ce monde pour la voir pleurer, et ma vie dans l'autre pour la voir sourire.» (Page 28, ligne 25 à 27), il exprime ainsi son côté bien intentionné, en dévoilant

lutte : c’est pour les victimes des nazis qu’il faut se battre Il les désigne ainsi : « des innocents partout traqués / et qui partout vont triompher » : chiasme qui met en valeur le retournement de situation qu’ils vont vivre grâce à la lutte. Antithèse « traqués » / « triompher » (remarque : les mots riment, donc sont mis en valeur) : idée du retournement de situation idée de triomphe mise en valeur par un mouvement ascendant dans la dernière strophe : drainer + lever + haute + triompher 1. Il

poète se sert d’une antithèse pour mettre en opposition «jour» et «soir», de façon à expliquer que personne ne peut prévoir la mort : « À nous, qui seront peut-être/ Ou ce matin, ou ce soir/ Victime de l’Orque noir?». Par ailleurs, l’euphémisme est aussi utilisé dans la deuxième strophe, Ronsard écrit « Orque noir » au lieu de « mort » pour atténuer cette réalité trop cru. Le point d’interrogation, accentue le doute qui gagne le poète de ne savoir quand il va mourir. « De peur que la maladie/ Un de

J'ai peur ! | Irréel du présent par formule interro-négative valeur hypothétique = « pourquoi ne suis-je, si seulement j'étais... » exclamation | Choix du destin. Responsabilité. Regrets. Angoisse explicitement formulée. | Quel dégoût, après avoir méprisé les autres, la meme lâcheté ds l'âme | Voca péjoratif | Haine de soi. Personnage qui reconnaît sa bassesse à l'heure de sa mort. Pas de dignité, pas d'honneur. Il a tout perdu. | Cela ne fait rien. La peur non plus

Hernani sont exposés au péril, mais ils voient leurs volontés respectives s’opposer quant à la solution à adopter. b) Le péril est imminent. Trois exclamations de Doña Sol (« Hernani ! Dieu ! Je tremble ! ») en sont l’expression : en proie à la peur, elle en appelle au ciel et à son amour car le temps est compté (« hâtons-nous ») et le moment décisif. Le présage d’Hernani (« dans cet instant où la mort vient peut-être… ») renforce l’intensité dramatique du face à face : l’évocation d’un « sombre

du destinataire. Il désigne le groupe Manouchian. Cette première partie illustre le contexte de guerre et d’occupation : le champ lexical de la guerre et de la mort est particulièrement développé (« larmes, agonisants, armes, mort, menaçant, sang, peur, couvre-feu, morts, mornes »). La métaphore de l’hiver au vers 16 (« Tout avait la couleur uniforme du givre »), symbolise cette période noire de l’Histoire de la France. Le premier quintil souligne l’héroïsme de ces Résistants. Les vers 1 et 2 montrent

Il veut dénoncer la nature des moines en reprochant leurs inactions et en faire référence à l’esprit du mal qui se trouve être opposé aux croyances des moines, mais encore une fois le Frère Jean n’est pas inclus dans cette antithèse puisque plus nous avancerons dans l’histoire plus il sera considéré comme un héros. Rabelais nous prouve alors que Jean des Entommeures n’est pas un moine comme un autre. En conclusion, nous pouvons donc remarquer que Rabelais démontre bel et bien