Antithèse Sur La Peur

dans certains poèmes la laideur peut être transformée en objet esthétique, telle que dans le poème de Charles Baudelaire " Une charogne " issue des fleurs du mal. Ici le poète crée une fusion entre la laideur et la beauté. Pour cela il utilise des antithèses v13"carcasse superbe" v9"soleil rayonnait sur cette pourriture" c'est une association ironique mais aussi une façon de traduire le lien entre le beau et le laid tout comme entre les « fleurs » et le « mal ». Charles Baudelaire multiplie les apostrophes

sens figuré) . VH désigne un nb considérable d'enfants : "tous ces" v.1, développé par les expressions "Ces doux êtres pensifs" v.2 et "Ces filles de huit ans" v.3 (pluriels) . Il insiste sur le mal-être de ces enfants : "pas un seul ne rit" (+ antithèses "un/tous" et "rit/enfants"), "que la fièvre maigrit" (chp lx de la maladie) . Et sur leur fragilité : "doux êtres" v.2, "filles de huit ans" v.3 (innocence, vulnérabilité, jeunesse) . Il souligne leur solitude : "pensifs" v.2, "cheminer seules"

elle connaît l’humanité : « Comme tous ceux de son sexe » (l.6-7). Le temps passe, avec : Le champ lexical du temps : « Vite (l.1, 4), heures (l.3), tard (l.4), minute, mois, années (l.8), siècles (l.9), heure (l.9), ans, aujourd’hui (l.11) ». Les antithèses : « Minute (l.8) ┴ Mois (l.8) ┴ Années (l.8) ┴ Siècles (l.9) » ┴ « heure » (l.9). La forte présence de la modalité injonctive, soulignée parfois, par la modalité exclamative : « Embrassez-vous tous les deux, et vite ! (l.1), Embrassez-vous (l.4)

certificats ». Dans un second temps Voltaire promeut le Huron « héros national », mais ce héros se trouve être un amoureux transit qui possède de moult qualités. En effet, l'auteur va animer l'Ingénu de sentiments contradictoires en utilisant des antithèses « tenté de tirer sur lui-même; mais il aimait encore la vie », « tantôt il maudissait son oncle, sa tante, et toute la Basse-Bretagne, et son baptême; tantôt il les bénissait » et « il prenait sa résolution d'aller brûler le couvent, et il s'arrêtait

théâtrale : mélodrame et tragique : ridiculisé par Stendhal , le jeu des personnages -épée ridiculisée :épée raillée , qui ne peut pas « tuer » toujours qualifiée négativement -Mathilde paraît être contente de se faire tuer par son amant ne prend pas peur => admiration -Julien cherche une explication en « cherchant des taches de rouilles » => se rend compte tout seul du ridicule -il reste dans ses intérêts : s'il tue « la fille de Mr de la Mole » => mal pour lui, calculateur. Ne pense pas

comme un son strident qui fait entendre le cri de souffrance de ces petites vieilles. Enfin, l’exclamation « Eponine ou Laïs ! » fait résonner dans le poème l’image de l’héroïne gauloise et de la courtisane grecque. Ces références, comme des antithèses, accentuent encore l’effet dévastateur de la vieillesse : qu’elles qu’aient été ces femmes, elles sont devenues des monstres. Pourtant, bien que la description soit cruelle et frôle le fantastique, le poète s’adresse au lecteur à l’impératif

comme l' allégorie  et la  métaphore  pour mieux frapper l'imaginaire, l' hyperbole  ou l' euphémisme  pour exalter les émotions, et des  antithèses  pour illustrer les sentiments contradictoires. 1. variété de tons et de genres = allant de la poésie au théâtre en passant par le roman 1. La mort est un des thèmes de prédilection des artistes baroques. Elle est souvent associée

et qu’on n’ait plus d’yeux pour personne ? » b) Style oratoire : Rythme ternaire ( mieux imprégner l’auditeur de ce qu’on veut lui monter. Comme un avocat plaidant. c) Métaphores : la mort « s’ensevelir » « être mort » Antithèse « mort ( jeunesse » d) Référence au droit : Retournement de l’argument du droit : il se bat pour l’intérêt des femmes, pour leur égalité. e) Inexplicable, victime : « Les inclinations naissantes ( =début séduction, attirance)

de chaque côté'==> Parodie du registre épique : pers apparaissent grandis, glorifiés, images valorisantesb. Une brusque rupture : la fanfare tourne au cauchemar :• 'Canons' à la suite des instruments de musique : idée de mort• 'harmonie/enfer (antithèse) Voltaire marque son opinion ironique et amorce un subtil renversement• Derrière la brillante façade : le chaos et la terreurc. Un regard déshumanisé : Armes, hommes = chair à canon• Le narrateur donne un bilan d'ensemble objectif, sinistre sans

Jacques Prévert est un mauvais poète, c’est avant tout parce que sa vision du monde est plate, superficiel et fausse. Il reproche surtout a Prévert de faire apparaitre le monde de son époque comme étant un monde de cliché ou règne la désolation, la peur et l’injustice. Par ailleurs celons luis le style de Prévert est léger, limpide et manque de qualité contrairement a des poètes comme Baudelaire. En disant « la forme est cohérente avec le fond, ce qui est le maximum qu’on puisse exiger d’une forme