Antithèse Sur La Peur

obscure » et d'une antithèse « buvant … nourri » souligne les efforts nécessaires à une telle maturité, avec pour la première fois dans ce poème un parallèle avec la maturité de l'être humain, qui parfois aussi peut être considérée comme lente mais pleine de promesses vers 7 « Et les soleils d'un siècle ont longuement mûri » : ce fruit se fait longuement attendre mais sûrement comme une beauté cachée. Dans le vers 8, « bouton colossal » peut d'abord se voir comme une antithèse, bouton symbole de

pensée de la peste et cela se traduit par la syntaxe. B – Les étapes de son raisonnement. 1ère étape : Prise de conscience qui associe à la peur, l’angoisse des images passées. Énumération de symptômes « la stupeur, la prostration, les yeux rouges (…) ». + 3 répétitions de « au bout de tout cela » = souffrance intense « tout » = adj indéfini. Tout la peur se résume en une phrase : « Le pouls devient filiforme et la mort survient à l’occasion d’un mouvement insignifiant ». Il va ensuite énumérer

concrétisation de l’appel« Quand cesserez vous d’être aveugle ? » =  question rhétorique -> connotation provocatrice : rend femmes responsables de leur conditionDialogue fictif de questions/réponses : connotations positif -> termes péjoratifs ( antithèse = « avantages » / « mépris », « dédain » = souligne dépossession subit par FIsotopie du pouvoir « régné sur la faiblesse » ; « empire détruit » + négation restrictive « ne … que » + question rhétorique « que vous reste il donc ? » = femmes bercées

ironique. Ex : « Quelle réussite remarquable ! » pour dénoncer un échec complet, ou : « C’est malin ! ». Antithèse : figure qui oppose fortement deux termes évoquant des réalités contradictoires. « Un noble, s’il vit chez lui dans sa province, vit libre mais sans appui. S’il vit à la cour, il est protégé, mais il est esclave. » (LA BRUYÈRE, Les Caractères). Grâce à une double antithèse (« sans appui/ protégé » ; « libre/ esclave »), le moraliste oppose ici la vie du noble en province et sa vie

« m » insiste sur la perte du temps. «  Consomption » a pu influencer une lecture romantique de du Bellay puisque mort par consomption caractéristique des romantiques. De plus il est placé typographiquement juste au-dessus du mot fruit rappelle les antithèses pétrarquistes selon la théorie des 4 éléments d’Aristote le feu sec et chaud de la consomption s’oppose au fruit froid et humide. « Le meilleur de mon âge » genre élégiaque déplore un bonheur perdu, idée que jeunesse période d’insouciance et

chaque côté » ; Parodie du registre épique : pers apparaissent grandis, glorifiés, images valorisantes. b) Une brusque rupture : la fanfare tourne au cauchemar « Canon » à la suite des instruments de musique : idée de mort « harmonie/enfer » : antithèse, Voltaire ironise et amorce un subtil renversement Derrière la brillante façade, le chaos et la terreur. c) Un regard déshumanisé : Armes, hommes = chair à canon * le narrateur donne un bilan d’ensemble objectif, sinistre sans marque d’indignation :

gestes, de situations ; -la déformation et les inventions : elles sont risibles car elles constituent un écart par rapport à la norme, à ce que l’on attend ; (invention verbale : néologisme) -les décalages et le mélange des tons (antithèse, antiphrase) ;( exemple : pointe d’humour au sein d’un passage sérieux, solennel...) -les sous-entendus et les allusions : il y a sous-entendu quand un personnage connaît et comprend les références utilisées par un autre, mais quand un troisième

historiques en question. II / Hymne au courage des 23. Vers 1 et 2 : répétition du ni « itératif ». C’est une mort sainte, sobre, sans marque affective, sans cérémonie religieuse. Ils ont fait sa pour la liberté. Vers 5 => La mort ne leur faisait pas peur, il s’avait qu’ils risquaient la mort. Vers 6 à 10 : Affiche de propagande Allemande envers les 23 sous leurs aspects les plus mauvais. Cela dissuade de faire de la résistance. MORT POUR LA France => mort pour la France écrits par des sympathisants

"belle, magnifique, bien commode" (l.14. Il définit l'idéal comme la croyance en une seule idée ( noter le singulier) plus forte que la mort (l.23), qui donne du sens à la vie et surtout empêche d'avoir peur de la mort, peur qui obsède Robinson. 2.Un idéal disqualifié. Une antithèse oppose cette définition de l'idéal aux idées de Robinson, nombreuses mais sans grandeur, sans valeur qui "vadrouillaient, tremblaient comme des bougies pas fières et clignoteuses" (ce dernier adjectif constitue

systématiquement opposée à la vie. Le reflet de la mort est plus horrible que la mort en elle-même chez Maupassant, car c’est une vision subjective et pessimiste. Nous pouvons observer cette vision pessimiste de la mort et de la vieillesse ainsi que de la peur liée à ce phénomène à travers les personnages de Nobert de Varenne, Charles Forestier et Georges Duroy lors de son duel. Apparitions de la mort dans le livre : la mort apparaît à différents moments spécifiques du livre : lors du monologue de Norbert