Antithèse Sur La Peur

soutenue un « ne explétif ». Exemple : C’est le plus grand acteur que je ne connaisse . » * Dans une proposition conjonctive, Exemple : J’ai peur qu’il ne vienne ». A ne pas confondre avec « J’ai peur qu’il n e vienne pa s ». La négation lexicale. La phase négative n’est pas la seule possibilité pour exprimer un refus, une opposition, une négation

ton couvent (…) créé par mon orgueil et mon ennui. “ CAMILLE Vous me faites peur ; la colère vous prend aussi. CAMILLE Ni pour moi, n’est-ce pas ? Tirades répliques Ici, Perdican parle tout seul : c’est une longue tirade, interrompue par deux répliques très courtes de Camille. Cela révèle que Perdican en a lourd sur le coeur. elles te les ont fait toucher # Vous me faites peur ; la colère vous prend aussi. Pronoms personnels tutoiement vouvoiement P

Nous observerons donc ces différentes réactions, telles la peur, la tristesse et l’incompréhension, et comment Victor Hugo les a mis en valeur dans le poème. Commençons par la peur. Le sentiment de peur est omniprésent, ainsi que l’est son champ sémantique : « tremble et recule » (v.4), « suivait des yeux » (v.5, je me permets de le rattacher au champ sémantique de la peur, puisqu’il représente l’incapacité d’agir liée à la peur), « criaient » (v.11), « éperdus » (v.16), « frissonnant » et « s’enfuit »

l'homme et ce qu'on appelle plus précisément la curiosité. Mais est-ce toujours bon de vouloir tout savoir ? Parfois, ses révélations nous attirent des ennuies ou une peur qui se créer au fil du temps. En premier temps, je développerais mon idée en me basant sur le côté défensif de la question. Puis, en second temps, une antithèse fera opposition à la question posée et à ma première partie. De tout le temps, les hommes se sont intéressés à cette soif de connaissance en s'instruisant. Et on ne

(V694); Phèdre a peur qu’Hippolyte écarte son fils de la succetion du royaume. *cet aveu involontaire domine “cet aveu honteux, le crois-tu volontaire?” (V694) *souffrance => “j’ai langui, j’ai séché, dans tes feux, dans les larmes” (V690) (opposition) *vocabilaire du regard => “si tes yeux un moment pouvaient me regarder” (V692) *feu fatal montre la haine => Phèdre a une volonté réduite à n”ant de fuir cet amour. II) Gradation de la souffrance. *antithèse amour/haine

Ce faisant l’utilisation du verbe « voir » indique que l’Aïeul ne voit pas forcément ce qui l’entoure, mais comprend mieux que quiconque ce qui est caché. Ajoutons que cette antithèse perceptible dans le dialogue entre les personnages est doublée d’une antithèse lexicale : le champ lexical de l’angoisse avec danger, peur, effraie,inquiéter, malade, plus de rossignol s’oppose au champ lexical du bonheur bonne mine, bonne soirée, rire, rossignol. Ainsi une tension se noue dans l’intrigue en train

chaque côté' ==> Parodie du registre épique : pers apparaissent grandis, glorifiés, images valorisantes b. Une brusque rupture : la fanfare tourne au cauchemar : • 'Canons' à la suite des instruments de musique : idée de mort • 'harmonie/enfer (antithèse) Voltaire marque son opinion ironique et amorce un subtil renversement • Derrière la brillante façade : le chaos et la terreur c. Un regard déshumanisé : Armes, hommes = chair à canon • Le narrateur donne un bilan d'ensemble objectif, sinistre

de chaque côté' ==> Parodie du registre épique : pers apparaissent grandis, glorifiés, images valorisantes b. Une brusque rupture : la fanfare tourne au cauchemar : • 'Canons' à la suite instruments musique : idée de mort • 'harmonie/enfer (antithèse) V marque opinion ironique et amorce subtil renversement • Derrière la brillante façade : chaos et terreur c. Un regard déshumanisé : Armes, hommes = chair à canon • Narrateur donne bilan d'ensemble objectif, sinistre sans marque d'indignation

Agace / mime / boitant Infirme qui volait dispartion assonance en « en » locution adverbiale synecdoque = le bateau et par expansion = la scène de théâtre antithèse allitération en l allitérartion en e comparaison rythme saccadé lié aux phrases + courtes antithése, périphrase expriment le désarroi l’étonnement face à la transformation de l’oiseau Ces deux prases donnent un effet de basculement, de rythme binaire verbes d’action

: « les fleurs excitées brûlent du désir (...) », marie Krysinska opte pour le symbole du « merveilleux serpent », figure biblique de la tentation. Apollinaire quant à lui ne réussit pas à nommer ce qui semble l’inquiéter : « (...) elle me faisait peur », mais il insiste au moyen de la répétition de l’intensif « si » sur le transport éprouvé : « Elle était si belle ». Chez les trois poètes, le désir est associé aux couleurs du printemps et à la chaleur. À « l’œil brûlant du soleil »