Antithèse Sur La Peur

et analysez les antithèses qui parcourent tout le poème : que suggèrent-elles sur la beauté ? Antithèses : « ciel profond/abîme »,  « infernal/divin », « bienfait/crime », « couchant/aurore », « héros/lâche », « gouffre noir/astres », « joie/désastres », « tout/rien », « ciel/enfer », « Satan/Dieu». Ces antithèse suggère que la

ce que veut dire « être condamné à mort ». Cet homme nous dit tout ce qu’il fait quand il est en prison ; il devient aussi le spectateur de la scène horrible du ferrage des forçats. Puis il pense au moment où il devra aller à la guillotine ; il a peur mais il ne veut pas que les autres le sachent. Il continue à espérer dans la grâce qu’il n’aura jamais. Il nous parle aussi de sa fille et du jour où il a pu la voir et il nous dit qu’il a été content parce qu’il a pu la voir, mais il n’est pas

craignait plus l’ennui » car il y a répétition de terme de même racine sous différentes formes. Une paronomase à la page 464 ligne 28 avec « il est rempli de bonheur, à la bonne heure » car il y a répétition visant à rapprocher des paronymes. Une antithèse à la page 464 ligne 33 à la page 465 ligne 2 avec « dans cette circonstance de la vie qui donne quelques illusions tendres même aux âmes les plus sèches, elle était en proie aux réflexions les plus amères » car il y a expression d’un contraste entre

qui obéit aux ordres. Mentionne le symbole de la royauté à Paris « les Tuileries » afin d’insister sur la régression historique. B) Au présent : Réquisitoire contre l’Empire - Lexique extrêmement péjoratif et dénotant la mort : « morte, cadavre, peur, tombeau, trépassés » = témoigne de l’atmosphère générale dans laquelle baigne l’Empire, funeste et tragique + lexique de la traîtrise « trompeur » ; « trahisons »// Adjectifs immoraux à valeur dépréciative pour désigner NIII « ivre, affreux, exécrable »

travers les rapports de domination imposés par le mari on note que l’usage de «maître» est employé par les deux personnages ce qui souligne encore plus la liaison de la personne dominé et de celui qui domine. Nous avons ensuite la présence d’une antithèse qui est construite à l’aide de termes qui rappellent des systèmes sociaux abolis tels que l’esclavage et la féodalité. En effet Page 1 elle site « Je suis l’esclave et vous le seigneur », ceci nous expose bien que le statut imposé à la femme

qu’est la mort même si on ne l’évoque pas à chaque instant. On sait dès le début comment ça va finir autant dans la vrai vie que dans le poème. 2) Le Temps tout puissant / dominateur : Au vers 1, il est comparé à Dieu mais à un Dieu dont on a peur et qui n’a aucun état d’âme : « impassible ». Au vers 2, « le doigt » peut être celui de Dieu et en même temps l’aiguille de l’horloge. Ici, le temps et Dieu sont mis en relation, on peut donc dire que le temps est Dieu. Le temps parle à l’impératif

de mots (arbres, animaux, etc.) lesquelles seront reflétées dans le « parler ». ( idée intéressante, à creuser Il faut alors différencier ce processus de la rhétorique qui a comme finalité la persuasion à travers de l’utilisation du langage. Antithèse Si on utilise le terme « parler » dans le sens de “communiquer des idées” (quels seraient les autres sens du teme?), on doit prendre en compte le fait qu’il existe des registres de langue qu’un locuteur peut utiliser selon le contexte où il se trouve

(suit tout le monde) l.39 « Quoi ! » « non, ce n’est pas naturel » Formule discours général l.36 « on dit … » « cela lui suit … » Formulation montre une conformité générale (l.3-4), (l.6-7), (l16-18) « mon cœur » « le votre » « Parallélisme, antithèse » L = co les autres S = original Le conformiste par sa sensibilité L’aspect physique Si on lui présente un beau, celui lui plait « l.37 » « l.57 » Exclamation Vertuchou (l.64-65) Formulation = dicton, proverbe (l.112-113) L’utile et l’agréable

« incompréhension . A côté il y a les mot « horreur » et « fascination ». Nous pouvons en déduire que Georges Perec est troublé car sa peur intérieur certes l’effraie mais le fascine également , ce paradoxe crée l’incompréhension dans son âme d’enfant . Un paradoxe est une idée qui va à l'encontre de l'opinion commune. Cette figure de style repose sur le rapprochement de mots opposés (antithèse) au sein d'une expression dépourvue de sens logique… Du moins en apparence ! C’est le but recherché par l’auteur ici

Champs motivations conduite, peu précis, permet pas saisir vérité du personnage malgré les explications autres personnages. → spectateur doit dépasser opacité du comportement : - Quel est le ressort profond du malade imaginaire : se réfugie-t-il, par peur de la mort, dans un état de régression infantile, afin d’abdiquer toute responsabilité, d’être soigné et entouré d’attentions ? Ou bien son amour-propre le pousse-t-il, par le moyen de la maladie, à exercer une sorte de tyrannie sur ceux qui l’entourent