Antithèse Sur La Peur

l’humanité, du moins pour les omnivore. Pour cela il faut les chasser, mais chasser dans le sens pour se nourrir et non pas pour le plaisir. Nous allons mettre en parallèle la deuxième, le fait de chasser pour le plaisir, tout à l’heure dans notre antithèse. L’animal est utile à l’homme aussi pour se vêtir, dans Conjectures sur les débuts de l’humanité de Kant il écrit que : « La première fois qu’il dit au mouton : ‘la peau que tu portes, ce n’est pas pour toi, mais pour moi que la nature te l’a donnée’

que De peur que Début de la page En vue de Pour que Alternative De deux choses l'une L’un ou l'autre Ou... ou... Soit... soit... Comparaison-similitude À l'instar Ainsi que Au même degré que Autant ... autant Autant que Comme Dans la mesure où De la même façon De même que D’une manière approchante D’une manière semblable Également En comparaison de Similairement Comparaison-différence Autrement que Différemment de Moins Non moins que Plus Comparaison-antithèse (opposition)

mon bien, ma sagesse » (l. 11-12) | -utilisation du présent de l’impératif-Effet de reprise | Mettre en évidence l'aspiration métaphysique de Memnon de dépasser la condition humaine (ou avoir des avantages par rapport aux humanes). | J'ai bien peur, dit Memnon, que notre petit globe terraqué ne soit précisément les petites-maisons de l'univers dont vous me faites l'honneur de me  parler. (L.39-40) | Métaphore, dans laquelle, la Terre est comparé à un petit globe terraqué | Montrer l’inquiétude

l’ennui du poète : enjambement : insistance - répétition de strophe - même sorte de vers - que des rimes féminines - impression de tristesse - antithèse - manque de diversité : champ lexical du paysage - absence de couleurs vives -> ombre : champ lexical du « gris » + animaux sombres - animaux : symboliquement connotation négative -> inquiétant, peur, mauvaise augure - question : forme d’inquiétude du poète envers les animaux - un enfermement mental, psychologique - structure circulaire

état mental. Ce sentiment est aussi représenté par l’expression : « ciel bas et lourd » (v.1) qui est en fait une antithèse qui oppose le ciel qui est d’habitude synonyme d’infini et de liberté, qui est maintenant restreint et presque suffocant. On peut ensuite s’imaginer que le ciel l’écrase ce qui crée chez lui un état anxieux. Le climat du poème grade les échelons vers un climat de peur, voir menaçant : "peuple muet d'infâmes araignées" (vers 11). En contraste avec le poème « Élévation » qui représente

- Le terme vieillard est utilisé 3 fois dans l'extrait. - Contraste entre le père et le fils => symétrie de la syntaxe, répétition de subordonnées relatives, l'âge du père et du fils est dit précisément, opposition de "faible" et "force" = antithèses. - Argument supplémentaires en faveur de Jean Calas. 2- Défense de sa famille et amis Argumentation rigoureuse fondée sur la logique et bon sens. - "absurde" => pas logique - Hypothèse de la servante qui aurait aidé : étonnant car c'est

avancée • Montmartre -> mont des martyres • Elle est réifiée (comme un objet) • Il est amoureux de Paris, et non pas de sa femme • Ses paroles ne sont presque jamais rapportées directement -> on a simplement un résumé de ses paroles • Angèle a peur de Saccard -> elle est effacée • Il apparaît est brutal, violent -> image négative de Saccard par Zola. Il critique ce monde de la spéculation. d. Saccard : un spéculateur • Zola n’a aucun mal à décrire ce qui c’est passé car quand il écrit le

celle-ci est davantage marquante. Dans la nouvelle Ariane par exemple, le début est lancinant, il raconte une journée longue et ennuyeuse. Mais dès l’arrivée des motards, on sent une rapidité dans la narration. Ainsi Le Clézio insuffle angoisse et peur dans son roman grâce à des tournures rythmiques ingénieuses.- L’auteur à aussi souvent recours aux sens pour plonger son lecteur dans l’histoire : le jeux des lumières par exemple est particulièrement visible dans la nouvelle David. La lumières est

saccadé, anti-mélodique au poème - La synérèse ainsi que les sonorités désagréables (allitération v.1 et 2) → nuisent à la musicalité du poème- Phrase qui apparaissent coupées par des points de suspensions et des tirets : « -Un crapaud ! – Pourquoi cette peur, » (v.7) → on peut dire que ces phrases ne veulent délivrer qu’une partie du message, comme si le poète avait été réduit au maximum, à l’image du « poète tondu » = les coupures nombreuses empêchent tout développement du vers, qui se trouve brisé.-

Analyse linéaire : Les animaux malades de la peste, Jean de la Fontaine Intro : Les fables de Jean de La Fontaine est un recueil de courts récits écrit entre 1668 et 1694. Ce dernier est un écrivain du mouvement classique. Constituant l’une des plus grandes œuvres classiques de la littérature française, ces fables sont des histoires issues du registre poétique et de l’apologue (courte fable) prétant à l’animal les qualités et les défauts de l’Homme pour représenter la société du 17ème