Antithèse Sur La Peur

des corbeaux sur son corps. La mort vient de l’extérieur est présentée comme une entité envahissante. « En pleine lande intime avec des vols funèbres. » V2 créer un effet musical et renforce le ton lugubre du poème. Antithèse  : ARG : 2 toutefois, les deux poètes présentent la fatalité de façon très différente. Sous-argument 2.1. D’un côté, dans les corbeaux, Nelligan utilise le champ lexical de la mort comme :

commence par une phrase qui donne au lecteur une image précise de l’ouragan qui a changé pour toujours la vie tranquille à l’île Maurice. Le narrateur énumère les traits caractéristiques de cette force déstructive en utilisant le vocabulaire de la peur et de l’apocalypse. Lorsque la brume couvrant l’île est enlevée par un tourbillon, la sérénité et la joie éprouvées par les gens qui attend le vaisseau disparaissent immédiatement. La nature, innocente et calme jusqu’à ce moment-là, devient malfaisante

Extrait : «vous aimez mieux piétonner toujours à la même place, pliés en deux sur vos terres» p190 Explication : peur du changement, soumis Extrait : «Venant se redressa» p38 Explication : courage, changement, nouveauté Idée secondaire 2 : confrontation physique. Extrait : «Y a une mare de sang à côté comme quand on fait boucherie» p112 Explication : venant= boucher, carnage, Antithèse : Venant n’est pas vraiment en confrontation avec tout le monde au Chenal du Moine. Il reste au Chenal du

culpabilité <<Coupable>> (V.18 et 33), <<Accuse>> (V.31), <<Jugé>>(V.57) sont développés et reviennent très souvent, ce qui laisse claire le thème dans le texte. Dans la fable, le poète décrit la peste avec une idée de peur, mise en évidence par les rimes «La terreur/fureur» (V.1 et 2) et l’emploi répétitif du mot «mal» (V.1 et 2). Dans les vers 7, 8 et 9 font ressortir l’abattement général avec l’oxymore «mourante vie» v.8 ou encore «tous étaient frappés» v.7 «nul mets

perte irréversible : situtation dramatique/sans issue -repentir de Pridamant, il a eu une attitude abusive (2eme partie de la tirade, vers 22,26,27,28) -amour du père, conscient de ses erreurs, renforce l'opposition avec la récolte du fils -antithèse et correspondance : outrage fait au fils + injuste rigueur = même construction -la recherche du père est vaine et lui donne beaucoup de souffrances, qui elles même l'entrainent dans un désespoir, dont Dorante est le confident II : Du réel à l'illusion

élément important : l’incompréhension de l’homme (explicite)  la toute puissance de Dieu. (implicite). 1) Les oppositions : a) Plan du texte :  construction balancée du texte Homme  infini +  homme infini -  homme b) Les antithèses :  Effet de contraste qui permet de montrer les extrêmes, les contradictions humaines( points de vue opposés qui se retrouvent réunis) « haute et pleine majesté »  « objets bas qui l’environnent » « visible »  « imperceptible » « petit

découverte de l’aube) “je l’ai dénoncée au coq.“→Personnification du coq “A la grand’ville elle fuyait parmi les clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de marbre, je la chassais.”→Dômes, marbre=trottoir “mendiant/marbre“→antithèse “courant et mendiant“→assonance “agitant”, “elle fuyait”→énergie de la course 3- Étreinte entre l’aube et « l’enfant » : une victoire poétique, une expérience sensuelle “En haut de la route…au bas du bois”→Opposition haut et bas. “Je“=l’enfant→Chute=fin

solution ») a) Sentiments négatifs : - sentiment d’être incompris : « qu’il est dur d’avoir raison et de devoir aller jusqu’à la consommation » (= euphémisme de la mort) - regret : « que ne suis-je à leur place » - peur x3: « j’ai peur de la consommation » ; « j’ai peur », « la peur non plus ne dure pas » - dégoût de sa « lâcheté » qu’il a toujours reprochée aux autres b) Bilan dépréciatif de son passé : - il n’a pas eu la lune  et sait qu’il ne l’aura plus (: « Hélicon n’est pas venu.. ») 

faire la jeune fille et nous continuerons sur l’histoire d’amour compromise entre les deux amants. I) Une révélation inattendue a- La confusion de ses sentiments b- changement de situation c- la révélation II) Une histoire d’amour compromise a- la peur de perdre son être chère b- annonce de la séparation c- le besoin de réconfort Dans ce passage, on remarque une composition de trois parties bien distinctes les unes des autres. On peut le voir grâce aux didascalies qui séparent les parties. Les

montré tel que je fus » « j’ai dévoilé mon intérieur » «  tu l’as vus toi-même » «  découvre à son tour son cour au pied de ton trône avec la même sincérité » l’obsession de la transparence s’exprime aussi par la volonté de tout dire: contrastes, antithèses «  j’ai dis le bien et le mal avec la même franchise… quand je l’ai été.. Quand je l’ai été.. » répétition qui permet d’insister. Insistance sur la sincérité «  dans toute la vérité de la nature » «  franchise » «  rien ajouté » «  dévoilé mon intérieur »