Antithèse Sur La Peur

grande famille du cirque des " Loyal " ou Monsieur Loyal, lui-même. Il faudra, pourtant, presque un demi-siècle avant que le mariage entre " Monsieur Clown et Mouuuusssiu Auguste " soit consommé. |[pic] | | | La coulrophobie est une phobie, une peur exagérée des clowns. Le terme est commun mais non utilisé dans la psychologie[1]. Le préfixe « coulro- » vient du grec ancien κωλοβαθριστής (kōlobathristēs), « qui est sur des échasses » [2]. Les personnes sujettes à la coulrophobie sont effrayées

réclamer leurs droits face à ceux qui les emplois. 4° Il utilise « mais », il fait allusion aux changements possibles. * Les antithèses (2 choses différentes) : la nuit (misère/mine), le soleil (= rouge et jaune/germination), incendies et meurtres (= rouge/sang) : avant de connaître la libération, il y aura la violence. Autre antithèse : le grand nombre par opposition aux petits et aux privilégiés. * Emploi du futur dans le passé pour exprimer la certitude de la révolution

FRANÇAIS CONCLUSION: LL princesse de cleves Cette confession que Madame de Clèves fait à son mari révèle la grandeur héroïque des protagonistes qui se vouent un respect mutuel hors du commun. Elle met aussi en évidence la souffrance intense à laquelle sont en proie nos deux héros, suscitant la compassion du lecteur. Cette scène atypique permet en outre de faire avancer l’action puisque cet aveu sera à l’origine de la mort du Prince de Clèves.LL1313h55 à 14h55Conseils pour progresser :-Il faut expliquer

bouleversement des règles du monde (antithèse v8), + puissante que le Destin (allégorie v10) qui est à ses pieds (comparaison chien v10)· allitération « f, r » · vocabulaire des sens participent description : goût (« vin » v4), vue (« œil » v5), odorat (« parfums » v6), touché (« baisers » v7)· tempétueuse (comparaison orage v6 + adverbe « confusément » v3, « tu sèmes au hasard » v11 ) (la beauté = source de désordre), inconséquente (v 10-11), ambivalente/double : antithèses v1,2,3,5,8,11,122.· allitération

vers 18 : « Pourquoi me laissais-tu séduire ? » qui rend Oenone responsable de la situation. L'irritation du personnage est aussi mise en valeur par le portrait d'Hippolyte dressé dans la troisième réplique : le jeune homme est présenté par des antithèses avec « farouche ennemi » v.4 qui s'oppose avec « qu'on ne pouvait dompter » v.4 et avec « tigre » v.6 qui s'oppose à « soumis, apprivoisé » au vers 7, et il est aussi représenté par une métaphore animale filée qui montre ironiquement la domestication

1. Rodrigue, objet du « dilemme cornélien » 2. Une esthétique du balancement 3. Un système d’opposition II Un héros face à ses angoisses 1. La crainte et la peine 2. Le lexique de la mort et de la maladie 3. La peur de la « gloire ternie » III La progression du monologue 1. Volonté de gloire et de vengeance 2. La raison éclairée : recul de la passion Conclusion Plan détaillé : I. Le Dilemme de l’amour et de l’honneur. 1. Rodrigue, objet

d'un mode d'expression nouveau. III – Un texte révélateur de l'œuvre 1) Diversité des sentiments traduits par la diversité du style Il est conscient de la richesse de la vie affective. La variété est marquée par le procédé de style : antithèse :"vil" et "sublime" ; "avoué" et "se déguisé" ; "tout" et "rien". Il passe de l'interrogation à l'exclamation. (l. 4). Il y a des gradations de termes : "que de rien, que de misère". Rousseau cherche le vocabulaire idéal : "révoltant" puis

les sons étranglés du râle » Sentiments exacerbées : Pauline :indignation(3028),surprise3037),incrédulité(3041),terreur(3042-3045), douleur et horreur(3051-3057)désespoir(3069)+antithèse qui traduit conflit intérieur « Belle de terreur et d’amour » Raphaël : déchiré entre le désir qu’il éprouve pour Pauline et la peur d’en mourir s’il l’exprime. Champ lexical de la folie : « fou, délire, furieux » Pauline a « un mouvement de folie » Mouvements violents à partir l 3033 : Raphaël : »tira…le lambeau

qu'il faut que les gens s'obligent à la prendre comme partenaire de jeu. Elle répond d'une « tarte à la crème » (pas de rime) donc elle comprend pas les subtilités du jeu. Elle est « sotte ». Arnolphe, dans ce refus d'une femme attirante, a surtout peur du cocuage. « Un saint que pas un ne réclame » .Une femme intelligente se rend compte que son mari est sot. C'est ce qu'Arnolphe craint. c)Le but de cette éduaction, « savoir prier dieu, m'aimer, coudre et filer » L'éducation est basée sur la religion

malheureux! Mes gages! mes gages! mes gages! _ la chute de DJ : rôle du décor, une façon de matérialiser la mort, la chute, voire l'enfer, le désarroi de Sganarelle ("mes gages" à interpréter) • Comique de S fait ressortir par antithèses noblesse de DJ : - peur / courage, affront - superstition / conviction, terre à terre, rationalisme, libre penseur - matériel / spirituel (cherche défi avec D) - bassesse / héroïsme • A travers crainte S on voit la hauteur et audace de DJ • Le tragique