Antithèse Sur La Peur

« lui tenait lieu » - survie, il se débrouille comme il peut Evocation réaliste, assez violente pour choquer/scandaliser le lecteur Souligne l’aspect monstrueux et inhumain de ce massacre « restait encore assez de vie pour sentir la mort » - antithèse entre vie et mort – omniprésence de la mort dans le peu de vie qui reste B. Mise en scène de la mort (théâtralisation) « fatale » - annonce, dramatisation de la boucherie qui va suivre « Des files de carcasses alignées semblaient garder

lignes, de la gravité des actes que les personnes sont obligées de faire à cause d’une forme de justice « injuste ». Montaigne dénonce le fait qu’il est préférable, pour des malheureux, de laisser un homme mourir plutôt que de lui porter secours par peur d’être jugé… Puis, Montaigne ne s’arrête pas à une anecdote, il continue ses propos avec notamment des questions rhétoriques (lignes 11 et 12) qui ne sont autres que des questions affirmatives. Il ne pose pas réellement de question, il affirme son

décalage entre un fait et son interprétation de façon que l’événement paraisse étrange et dépourvu de sens. Les procédés des registres satirique et ironique : Figures de style : antiphrase, hyperboles, images fortes et frappantes, oxymore et antithèses Lexique : allusions, sous-entendus, souvent péjoratifs Les genres satiriques : le libelle : petit écrit de caractère satirique l’épigramme : petit poème satirique La pointe : mot d’esprit blessant, qui peut avoir une valeur polémique ou satirique

de Nemours ; je ne vous demande point de me l’avouer : je ne suis plus en état de me servir de votre sincérité pour vous conduire. Il y a déjà longtemps que je me suis aperçue de cette inclination ; mais je ne vous en ai pas voulu parler d’abord, de peur de vous en faire apercevoir vous-même. Vous ne la connaissez que trop présentement ; vous êtes sur le bord du précipice : il faut de grands efforts et de grandes violences pour vous retenir. Songez ce que vous devez à votre mari ; songez ce que vous

qui se sentent finir d’avance par la perte de leurs agréments voudraient reculer vers la jeunesse. » Ici elles apparaissent comme des femmes futiles qui veulent changer avec l’âge (le physique ici, le savoir pour Voltaire). 3. Peur de la mort, peur de vieillir. -Elles ont peur la mort, si elles se donnent tant de peine à soigner leur apparence c’est qu’elles fuient la vieillesse. « se dérober à la plus affligeante de toutes les idées. » entre-autre, la Mort avec une périphrase doublé d’un euphémisme

a des antithèses : rosefumier, orcendres. On passe d’un extrême a l’autre, métamorphose brutal des situations, illusion que peut avoir l’homme d’être tout puissant, riche => inversement des rôles, pouvoir inexorable. La mort ne peut être arrêtée, domination de la mort. III- Sort de l’humanité On ne peut lutter contre cette mort, elle touche tout le monde, le poète ne peut agir contre cette fatalité. IV- Champs lexical de la mort Peur, nuit, mort, angoisse…, évocation de la peur « doigts

« âme », « yeux » (sens noble). 2. Le ferme et insolent refus d’Isabelle : dimension comique de ce qui aurait pu être pathétique L’appel à la pitié ne fonctionne pas : - Affirmation sans ambiguïté de l’absence d’amour d’Isabelle (antithèse soutenue par le rythme binaire de l’alexandrin, 6/6) : « (Que) bien que vous m’aimiez / je ne vous aime point » (14), « Des épines pour moi / vous les nommez des roses » (20), « Il vous fit pour m’aimer / et moi pour vous haïr » (37) - Elle

« Le plus beau sang du monde » texte1, par une description de l’angoisses, par des interrogations angoissées« Voix à peine altérée par l’angoisse, à la limite des larmes (texte3) » « Quand ?, Tu es sûr que ce ne sont pas des cailloux ? », par des antithèses par une série de symétries, d’inversions «affreux sérail/lieux de délices et de plaisirs » « Transport de l’amour/ violence de la haine » « servitude/libre » (Texte 1), par le vocabulaire du destin et de la mort « en agonisant», « perdue de stupeur»

Nous allons maintenant nous intéresser à la fin de ces deux scènes, sont-elles tragiques ou comiques ? On peut remarquer que dans la scène 5, Sganarelle est assez comique, il fait ressortit par de nombreuses antithèses la noblesse du jeune libertin. Par exemple, à travers la peur du valet, on ressent l’audace de Dom Juan. On ressent cette crainte car Sganarelle répète tout ce qui se passe en s’exprimant toujours avec « Monsieur », ce qui est inutile puisque, comme lui, tout le monde voit le

l’intelligence de chaque être humain est déterminée scientifiquement avant sa naissance. Une troisième forme de voyage littéraire est plus intime, le territoire inconnu y est l’autre ou les autres, les sentiments de chacun : la passion, l’amour, la peur, la jalousie, la haine, la timidité, le remords. Toutes ces sensations sont différentes d’une personne à l’autre : c’est la découverte de la psychologie d’autrui dont le tempérament diffère du nôtre. Elle nous amène sur des pensées jusque là étrangères