Apologue Et Rousseau

surprendr e Lyrique, épique Sonnet, ode, ballade, poème en prose GENRES Argumenta tif Exprimer des idées, défendre une opinion Texte en prose L’auteur Convaincr e, persuade r Polémiqu e, satirique , oratoire Essai, dialogue argumentatif , apologue, pamphlet Exercice Pour chacun des extraits suivants, dites à quel genre il appartient. Soyez le plus précis possible, c’est-à- dire préférez « comédie » à « théâtre ». Texte 1 La surface du pain est merveilleuse d’abord à cause de cette impression

met en scène avec humour des féministes avant l'heure : le public préfère sans doute aborder le problème de l'égalité entre hommes et femmes dans une comédie, plutôt que de lire les considérations de Rousseau sur l'éducation des filles dans son traité Émile ou de l'Éducation. Le succès des apologues, le plus souvent plaisants, confirme le pouvoir de séduction et de persuasion de l'humour. C'est ce qu'avait bien compris Voltaire qui, dans ses contes philosophiques, aborde sur le mode plaisant, en

concerné, plus à l’écoute d’un discours, et de le pousser à combattre un mal auquel il est confronté. Ensuite, l’écrit est un moyen de convaincre. Les procédés de l’argumentation sont très présents dans les apologues (contes et fables) mais surtout dans les essais et pamphlets. Dans ceux-ci, on nous décrit le problème dont il est question, et l’auteur donne ses arguments. L’argumentation est également très présente dans les œuvres des philosophes des Lumières

de l’argumentation directe passe par la dimension logique de cette argumentation. L’auteur cherchera à convaincre son lecteur en touchant sa raison à travers un développement logique et claire comme on peut l’observer dans Emile ou De l’éducation Rousseau réfute pas à pas l’utilité des fables. Commençant tout d’abord par le récit puis par la morale pour arriver une conclusion générale sur l’interprétation possible de fables. L’écrivain cherche aussi l’exhaustivité dans son propos et présente alors

remonte surtout à l’Antiquité gréco-latine avec Esope et Phèdre (environ 15-50 ans après J-C). L’apologue existe sous différentes formes comme : la fable, le fabliau, la parabole, le conte et l’utopie. Après avoir défini le sens et l'origine des apologues, nous verrons qu'ils peuvent avoir une double vocation en s'adressant à des publics très différents. Ainsi on peut se demander si l’apologue ou les fables sont réservés aux moins instruits ou s’il existe une autre approche qui en fait

différemment ces « pièces » du bonheur. Ainsi un moraliste philosophe comme Pascal, un fabuliste comme La Fontaine – pratiquement contemporains au XVIIe siècle – ou des philosophes des Lumières aussi différents – et presque « ennemis » – que Voltaire et Rousseau font tous dépendre le bonheur d’éléments différents. • Pour Pascal, être heureux c’est combler un « gouffre », un manque et remédier à une « impuissance », celle de l’homme. Ce ne sont pas des éléments terrestres concrets qui peuvent « remplir

But: convaincre grâce à la raison, car les choses sont présentées de manière rationnelle. L’auteur a donc un point de vue humaniste sur l'enseignement et essaie de convaincre le lecteur avec cette argumentation. « Émile » de Rousseau (1762) p. 274: Dans ce passage, Rousseau critique le fait de vouloir absolument avoir une méthode pour apprendre à lire. Selon lui la meilleure manière d'apprendre, c'est d'en avoir envie. Il faut donc savoir motiver l'élève, que celui-ci ait une motivation intrinsèque

l'esthétisme de la coiffe de la femme. Rousseau, Emile ou de l'éducation, extrait du livre V (1762) de « La femme et l'homme … » à « pour leur bonheur ni pour le nôtre. » L'extrait de Rousseau est un traité d'éducation, c'est un texte argumentatif qui par ses registres didactiques veut défendre sa thèse qui est le fait qu'une femme doit être éduquée à seule fin de servir l'homme et de le rendre heureux. Le regard que porte Rousseau sur les femmes est radical : il adopte et même légitime

de la Fontaine 1. La Fontaine, 17ème siècle, appartient au classicisme ( "plaire et instruire"), fable inspirée de Phèdre, auteur latin,lui même inspiré d'Esope auteur grec, personnages souvent des animaux, pas de morale explicite, seulement apologue donc lecteur sollicité pour tirer la leçon de l’histoire, fabuliste discret, genre de la fable= récit à fonction didactique, tient à la fois du récit ( narration d’action, description, personnages, schéma narratif, points de vue), du théâtre par

et les oxymores. Il doit adhérer aux idées de Voltaire pour comprendre ce qui est implicite dans le texte. L’ironie de Voltaire se fait d’ailleurs remarquer dans les discours et raisonnements de Pangloss. Plusieurs chapitres de Candide sont des apologues à eux seuls dont la morale est à chaque fois une initiation. Voltaire propose à la fin de son récit une morale pragmatique, sérieuse, utile. Ca ne l’empèche pas de faire le maximum pour que son œuvre soit une parodie, rendue présente par les exagérations