Apologue Les Fées

d’un bois (l. 31), ou bien celui d’ogres issus d’un conte de fées (voir le rapport à la nourriture et l’envie d’être bien vêtu). Ils multiplient ainsi les jurons « Merdre », « bougre de merdre », « de par ma chandelle verte » et les injures « Vous estes un fort grand voyou », « gueux comme un rat ». Jarry leur fait parler un langage original qui rappelle l’ancien français « Vous estes », « rouler carrosse », « gueux » et les apologues qu’on aimait représenter dans le théâtre de la farce (l. 37-38)

un large public en s’adressant à différents niveaux de lecture au plus grand nombre. Les Fables de La Fontaine sont par exemple volontiers lues aux enfants afin qu’ils soient éduqués, comme l’écrit Bruno Bettelheim dans Psychanalyse des contes de fées, « non par l’intermédiaire de préceptes éthiques abstraits mais par le spectacles des aspect tangibles du bien et du mal », mais sont destinées aussi, comme le voulait le genre à son origine, au-delà de leur portée morale, par leur visée philosophique

conte universel : il n’y a aucune précision spatio-temporelle, donc le récit ne vise, en premier lieu, aucun peuple en particulier, personne ne peut se sentir plus concernée. Ce sentiment est d’autant plus renforcée grâces aux topiques des contes de fées, et aux références à d’autres modèles antiques et religieux, ce qui fait que le récit d’adresse à tous, y compris les enfants. b) Mythe et sens philosophique Dès le début du roman, comme dans les mythes épiques, Sage l’ancien est visité par un rêve

susciter l’intérêt du lecteur ? * - En quoi ce début de récit tient-il du conte ? / est-il une parodie de conte ? * - En quoi l’incipit de ce conte révèle-t-il l’ironie de l’auteur ? * - En quoi ce texte peut-il être lu comme une parodie de conte de fées ? * - Ce texte n’est-il là que pour présenter les personnages du conte ? * chap. III : En quoi ce texte est-il une critique efficace de la guerre ? * chap. IV : En quoi ce texte est-il une métaphore de la condition humaine ? * chap. V : En

moderne, le terme fable peut qualifier un roman, un film, s’ils nous délivrent un message moral. A Le conte philosophique ➜ 1. Qu’est-ce qu’un conte philosophique ? n Le conte philosophique, comme son nom l’indique, emprunte au conte et à la phi- fées de Perrault). La traduction des contes des Mille et Une Nuits va apporter le goût de l’exotisme. n Le conte philosophique combine ces différents aspects. Il peut être défini comme un récit invraisemblable et merveilleux, qui intègre une quête de la

terme fable peut qualifier un roman, un film, s’ils nous délivrent un message moral. A Le conte philosophique ➜ 1. Qu’est-ce qu’un conte philosophique ? n Le conte philosophique, comme son nom l’indique, emprunte au conte et à la phi- fées de Perrault). La traduction des contes des Mille et Une Nuits va apporter le goût de l’exotisme. n Le conte philosophique combine ces différents aspects. Il peut être défini comme un récit invraisemblable et merveilleux, qui intègre une quête de

comme « une ample comédie à cent actes divers ». Mais on y trouve aussi des éléments romanesques et épiques. n Si le « corps » de la fable est l’objet d’un travail stylistique précis, il n’en reste pas moins que c’est son âme qui lui donne un sens. fées de Perrault). La traduction des contes des Mille et Une Nuits va apporter le goût de l’exotisme. n Le conte philosophique combine ces différents aspects. Il peut être défini comme un récit invraisemblable et merveilleux, qui intègre une quête de la

avoir étudié l’efficacité que les genres littéraires possèdent dans l’argumentation directe, maintenant nous allons nous pencher sur les genres littéraires qui eux sont propres à persuader (argumentation indirecte). Ce sont : les fables, les contes de fées, les utopies, contes philosophiques, la poésie, le théâtre,… Pour persuader le discours argumentatif fait appel aux sentiments ou aux émotions du destinataire, il cherche à persuader. Il s’agit pour l’émetteur de jouer sur des valeurs et des repères

historique et philologique- à la recherche des sources...-Esope 241, "La fourmi et l’Escarbot ; Esope 336, La cigale et les Fourmis"Cet apologue servait habituellement à fustiger la paresse. Il faut travailler pendant l'été et la bonne saison pour ne souffrir la faim dans la vieillesse. On retrouve une possible source jusque dans l’ancien Testament (proverbes 6, 6-8) apologue et parabole ayant des traits communs.Traditionnellement, de la fable se dégage une leçon de prudence que représente la fourmi ; la

 : « heureux » Moralités  : ProblématiqueETC.Question transversale sur l’ensemble du conte : En quoi cette oeuvre peut-elle être considérée comme un apologue ? Mini-intro : définition de l’apologue + problématique (présentée de façon interrogative) Placere et docere I. L’art du conte, placereA. Chronotope et personnages stéréotypés