Aporie

celui de nécessité ? " Mettre ensemble la justice et la force ", mais quelle justice : 1) celle qui est idéale, " ce qui est juste " ou 3) la justice de droit, qui fait de la force un prédicat nécessaire ( et non " juste " ) ? Il faut dénouer les apories et voir en quoi ce qui pourrait se donner comme contradiction n'est pas nécessairement " marque de fausseté " ( 250 [384] ). N'est-ce pas dans l'ensemble de ces déplacements ou décalages que réside la justice du penseur, dans cette pensée de

peuvent interpréter que les spectacles qu’ils peuvent voir ». Les limites des études de réception : * Soit elles ont un côté expérimentale avec des expériences de laboratoire, irréelles * Soit on a une base empirique limitée * On a une aporie méthodologique, une impasse, sur comment accéder aux moments de réception. On en est réduit soit à avoir quelques éléments, soit à reproduire hors sol ces évènements. C. Quel public du politique : On prête encore des pouvoirs quasi magiques

Reconstruction du roman sentimental par la polyphonie romanesqueII. Pouvoirs du roman : entre lucidité et illusion1. Illusion2. Lucidité3. La dynamique du roman de formationIII. Le roman de mariage ressourcé dans un roman de formation au féminin1. Quelques apories (=difficulté à résoudre un prblm) de la formation de Madeleine2. Une mise à nu des injonctions et stéréotypes féminins des années 198007/12 «  Le mariage est le principe et le sommet de toute civilisation. Il adoucit le sauvage

animal par essence productif (quoique vision assez caricaturale) ] Livre 1 de la République, intitulé «Qu'est ce que la Justice?» discours entre Socrate et Thrasymaque : La justice est elle l'intérêt du plus fort ? , qui aboutit à une impasse (=aporie, discussion aporétique) Il s'agit d'un texte canonique autour de la force comme fondement de la politique Thrasymaque → Pour T , le tyran est le résultat d'un monde injuste. Comment être juste et heureux dans une sté où tout le monde est injuste

Il excellait à faire naître les paradoxes, à interroger les arguments des autres. Il excellait à plonger ses adversaires dans l'embarra au moyen d'arguments contraires. Il était très habile pour créer des impasses dans le débat → c'est appelé une aporie (= impasses, voies sans issue). Il avait pris l'habitude de combattre ceux qui s'attaquaient à son maître. Mais à force d'être méprisant et de mettre en évidence des paradoxes dans le raisonnement des gens, il serait mort broyé dans un mortier avec

inconciliable, la frivolité de l’humeur avec la douleur de l’âme. C’est peut-être pourquoi « Colloque sentimental » scelle l’ absence de dialogue dans une forme paradoxalement dialoguée et où la fin du poème entérine la perte du sens des mots et l’ aporie du discours : « Et la nuit seule entendit leurs paroles ». Tout se passe dans ces œuvres comme si les mots du langage ne pouvaient plus faire advenir le sens, lequel se trouve dès lors pris en charge par le poète musicien, qui par la musique, fait

Cependant les paysans ne prennent pas les pilules. Non par superstition mais parce qu’ils ont des bonnes raisons de ne les pas prendre (la tradition). Celles-ci sont différentes de celles du gouvernement (la modernisation). Cette étude de cas soulève une aporie. La rationalité individuelle peut contredire la rationalité collective. « Les idéologies surgissent non pas bien que l’homme soit rationnel mais parce qu’il est rationnel. »[14] Pour argumenter son hypothèse, il choisit la méthode individualiste

sereinement poursuit son effort incessant, vie qui vit de son désir dont elle sait que peut-être il ne sera jamais satisfait mais qui se satisfait de cette poursuite et qui traduit son aspiration dans l'action1616. Reste donc maintenant à résoudre cette aporie d'un désir qui se satisferait de lui-même pour mieux accepter sa probable insatisfaction . Résoudre un tel paradoxe nécessite une réflexion sur la nature même du désir qui est souvent perçu comme un manque et donc comme une force, une tension n'ayant

monologue purement narcissique : Infante tente de se réconforter On a, au plan formel, un monologue d’aspect délibératif : « respect naissance »  « amour » ; « gloire »  « désirs »  dilemme spéculation (ses exploits le rendent digne de moi)  aporie (il est à Chimène) constat lucide : « n’espérons aucun fruit »  « impuissance de la toute-puissance » (S. Doubrovsky) // scène suivante, v. 1632 et suiv. : elle reformule la teneur de ses stances à Léonor  même démarche que Rodrigue, qui ne

capitalisme change avec le Page 8 sur 17 temps, générant ainsi des transformations du capitalisme luimême… • La critique du capitalisme, enfin, joue un rôle sur l’esprit du capitalisme : elle peut parfois le remettre en cause en dénonçant ses apories, ses insuffisances, sa non-correspondance avec la réalité économique, politique, sociale observable. Si la critique réussit à déstabiliser l’esprit du capitalisme, elle a aussi un effet sur le capitalisme lui-même. Mais à l’inverse, les évolutions