Apostrophes

|théâtre. |lexical de l’affectivité (émotions + | | |[+ ÉLÉGIAQUE= texte lyrique qui exprime la |sentiments)- apostrophes- travail sur le | |LYRIQUE |mélancolie- thème= malheur en amour ou mort.]|rythme. | | |But : faire partager au lecteur ses

Perdican sait ce qu’il fait. Ensuite, Perdican s’adresse à Rosette, la destinataire directe. Il fait semblant de ne s’adresser qu’à elle, puisque cette dernière ignore tout de la présence de Camille. Pour cela, Perdican utilise de nombreuses apostrophes : « Rosette », « chère enfant », des pronoms personnels « tu » et « nous » qui excluent Camille, ainsi que des impératifs tels que « Regarde », « écoute ». Cependant on peut remarquer que Perdican fait des tirades : « Regarde à présent cette bague

l'esclave : le « on » de la fin représente les blancs contre les noirs. * L'inacceptable est accepté. II - Eléments de dénonciation A. Appel à la pitié, à la sensibilité du lecteur pour donner plus de force à la dénonciation. * Apostrophes, exclamations, interjections (l3-15). * Petits mots qui marquent le jugement (outil = énonciation). B. Dénonciation de l'esclavage. * Vocabulaire de l'horreur, de l'inhumanité : mutilation et situation de l'esclave : « couper, attraper

après chaque guerre - mais il parvient, par sa sincérité, à créer l'émotion. La tendresse et la mélancolie des apostrophes aux morts suscitent la pitié et l'émotion du spectateur pour les victimes : « pauvres amis », « vous absents, vous oubliés »... Le ton rappelle les épopées (l'Iliade) ou les tragiques grecs (Eschyle) par un ton solennel et dramatique « à l'antique » : les apostrophes oratoires : « Ô vous qui ne nous entendez pas... », « Ô vous qui ne sentez pas » ; l'impératif dramatique, presque

méridional (‘ ’ Beau Midi’’ ), mais pour mieux souligner qu’au-delà des apparences séductrices, la réalité s’avère décevante. - Personnification du Midi : apostrophe (3 fois) + tutoiement L’auteure fait la distinction entre ‘’plaire’’ et ‘’aimer’’ ➔ conjonction de coordination ‘’mais’’ pour exprimer l’opposition entre ce qui est plaisant et le véritable et profond attachement + répétition de ‘’Je ne t’aime

mort implicite. Sentiment d'abandon traduit par les « ... », cela montre qu'il réalise qu'il va mourir. Vers 16 : Résolution du grand départ Poème à chute Enthousiasme impulsif traduit par le « mais » qui montre la rupture, « ô mon cœur » : apostrophe solennelle. Impératif montre la spontanéité. Plan du commentaire A- Fuite par dépit 1- L’épuisement des sentiments Désengagement affectif : - le rejet de la nostalgie (vers 4)

incite son peuple à avoir un esprit critique Comportement des tahitiens simple et gentil mais le discours du vieillard invite à lui associer des valeurs négatives (verbe pleurer pour le lier à l’arrivée et non au départ des Européens (l.10-11). Apostrophe « malheureux » souligne pitié et destin tragique ainsi que naïveté car aucune méfiance des blancs périphrase des occidentaux avec « ces hommes ambitieux et méchants » (l.8) Anaphores « un jour » l.8-11 et emploi du futur donnent un caractère prophétique

Mouvements du texte.Par. 1 : L’exordePar. 2 : Une revendication sociale jugée criminelle.Par. 3 : Péroraison. Le réquisitoire contre un procès inique.5. Par quelle apostrophe commence le discours de Julien ? Que laisse-t-elle entendre ?Julien commence son discours par une adresse respectueuse et solennelle, « Messieurs les jurés ».Cette apostrophe montre que Julien maîtrise le protocole, les codes oratoires. Il utilise un vocabulaire juridique pour désigner ses juges, les « jurés ». Julien est donc seul

nôtres » ¬ ce mot indique une connotation politique, des gens qui s’opposent au coup d’état de Napoléon III. Ils ont une attitude différente de la grand-mère, ils agissent. b) Le poète implique le lecteur : (vers 10) ® apostrophe, question rhétorique. Hugo utilise cette apostrophe pour ne pas dire au lecteur ce qu’il voit mais le lui faire penser. Il compte sur les réflexions du lecteur. 2) L’enfant = centre du poème, centre de la lumière, centre du tableau. a) Vers 1 du Plus que parfait

nombre de connaissances humaines, contient des articles sur la tolérance. Réagissant à la publication du récit de son voyage autour du monde par le baron de Bougainville, Denis Diderot publie ce supplément en 1773. Dans ce passage, un vieux Tahitien apostrophe Bougainville qui rentre en France : ce discours d’adieu est un réquisitoire contre les blancs, leur chef et la civilisation qu’il représente, alors que les Tahitiens pleurent son départ. Il dénonce les effets funestes, pour son peuple, de la venue